La première chose à faire quand on ne supporte plus ses enfants : recharger les batteries et prendre soin de soi ! Si l'on ne se sent pas bien soi-même, il est difficile d'être bien avec ses enfants. Prendre soin de soi peut paraître être un luxe, mais j'ose dire que c'est une nécessité !
L'éloignement familial se produit lorsqu'une personne se distancie intentionnellement d'un membre de sa famille en raison d'une relation négative, ou perçue comme telle. Selon des études, au moins 27 % des adultes vivent une situation d'éloignement familial causée par eux ou un autre membre de la famille.
De façon générale, si l'on a trop tendance à crier sur nos enfants, c'est souvent parce que l'on est par ailleurs soumis(es) à beaucoup de pression. Cela peut être utile de se demander comment réduire notre charge mentale pour éviter le burn-out, et si besoin, ne pas hésiter à se faire accompagner.
La psy soutient que mépriser son enfant est acceptable: une relation intense aura toujours un côté négatif, l'amour et la haine sont liées et tous les deux sont des signes d'attachement. "Peu importe à quel point les mères aiment leurs enfants, ça ne peut jamais être à 100% et ça ne devrait d'ailleurs pas l'être.
Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce. Il a également été rejeté dans l'enfance et répète maintenant ce comportement avec ses enfants. Paternité non désirée.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
Le burn-out familial est un mal-être psychologique qui touche un ou plusieurs membres d'une même famille. Phénomène tabou, le burn-out familial existe néanmoins et peut être la source de grandes souffrances. Les cris fusent, les portes claquent, les larmes perlent.
A certains moments, il est important de ne pas réagir sur le vif. Prenez le temps de vous calmer, de respirer et de faire descendre la colère naissante. Une fois calmé, discutez calmement avec vos enfants. Ce moment de méditation vous aidera à ne pas crier sur eux.
Selon la discipline positive, il faut entrer en lien avec l'enfant avant de le corriger. Cela nécessite d'avoir une écoute de qualité, de valider ce qu'il ressent, mais aussi parfois, de prendre soi-même le temps de gérer ses émotions.
Expliquez-lui qu'elle a parfaitement le droit d'être en colère. C'est un sentiment normal comme la peur ou la tristesse. Racontez-lui comment, vous aussi, vous avez déjà ressenti la même chose. Faites-lui savoir ce que vous avez fait pour résoudre le problème.
Quand on est stressé, on perd patience. On veut que les choses aillent plus vite. Parce qu'on se dit que plus les choses iront vite, plus on pourra se libérer rapidement de notre stress. Le stress alimente donc notre impatience.
Les personnes atteintes de trouble explosif intermittent, un trouble psychiatrique caractérisé par l'impulsivité, l'hostilité et des crises d'agressivité récurrentes et incontrôlables au point de perturber la vie de leur famille et de leur entourage, n'ont qu'à bien se tenir.
La colère peut arriver seule, à la suite de la présence d'un irritant, d'un besoin non satisfait, ou d'un désir non respecté. Mais elle peut aussi être un moyen de libérer d'autres émotions enfouies telles que la peur, l'angoisse, la tristesse…
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
La colère envers votre mère est souvent une façon de dissimuler vos vrais sentiments ou une façon d'exprimer des besoins qui ne se trouvent pas satisfaits X Source de recherche .
des vertiges, des maux de tête ou des palpitations liées à l'anxiété des tensions musculaires, voire des douleurs dorsales. des troubles alimentaires liés au stress (perte de poids importante, anorexie, boulimie, etc.) des douleurs gastriques (ulcères à l'estomac, troubles digestifs, etc)
Une personne qui souffre de burn-out est disposée à travailler, mais elle n'en a pas l'énergie. Dans le cas d'une dépression, la personne a de l'énergie, mais elle n'a pas envie de travailler.