Lorsqu'on tire le piston, on augmente le volume du gaz : on le dilate. Remarque : Si on enlève la cale, le piston revient à sa position de départ : on dit que l'air est élastique.
Inversement, si le volume augmente la pression diminue (on retrouve cette fois le résultat correspondant à une détente). Si la pression augmente alors il y a une diminution de volume. Inversement, si la pression diminue alors le volume augmente.
Si on appuie sur le piston le volume occupé par l'air diminue : cette opération est donc une compression. Pendant cette compression, plus on appuie sur le piston, plus il est difficile de maintenir le doigt sur l'extrémité de la seringue et d'appuyer sur le piston.
Un gaz est compressible, car on peut diminuer le volume qu'il occupe. Ainsi, le nombre de chocs sur la surface sera plus important, c'est pourquoi sa pression augmente. Lorsqu'on pousse le piston d'une seringue reliée à un manomètre, on le comprime.
Si la compression finit par être trop faible dans l'un des cylindres, votre véhicule ne pourra pas rouler normalement. Ensuite, vous remarquerez que les performances de votre moteur sont considérablement réduites, ce qui rend difficile l'accélération et la conduite de la voiture comme d'habitude.
Un taux de compression élevé se situe entre 12:1 et 14:1. Une explosion efficace, plus de puissance, une meilleure économie de carburant et donc moins de pollution sont autant d'avantages d'un fort taux de compression.
Afin de mesurer la masse d'un litre d'air, on utilise à nouveau le ballon. Par déplacement d'eau, on prélève un litre d'air contenu dans le ballon, puis on pèse de nouveau le ballon. Lorsqu'on enlève un litre d'air dans le ballon, on constate que la masse du ballon diminue.
Quand on appuie sur le piston de la seringue bouchée, on voit que le volume d'air dans la seringue diminue et on sent que l'air pousse sur le doigt.
On peut expliquer cette variation à l'aide de la théorie cinétique des gaz. Selon cette théorie, une augmentation de température résulte en une augmentation de l'énergie cinétique des particules. Le risque de collisions est donc plus probable, ce qui provoque un changement de pression.
À température constante, pour une quantité de matière donnée de gaz, le produit de la pression P par le volume V de ce gaz ne varie pas : P × V = constante. Application : On considère une seringue remplie d'1 litre d'air et reliée à un manomètre qui indique 1 bar, ce qui correspond à la pression atmosphérique.
C'est l'augmentation de volume d'un corps quand sa température augmente. Cette dilatation s'explique par l'augmentation de l'agitation thermique des particules qui constituent le corps.
La pression théorique du vide absolu est nulle. La pression du vide interstellaire est d'environ 1 fPa , soit 10−15 Pa .
Lors de la compression de l'air dans la seringue, la pression à l'intérieur est supérieure à la pression atmosphérique. Si on lâche le piston, seules ces deux pressions s'appliquent sur celui-ci et c'est la plus forte qui provoque le mouvement du piston revenant alors à sa position initiale.
Le poids p d'un mètre-cube d'air est donc 33N /3.1 = 10.65N, et, vu la formule p = 9.81 × m, sa masse est 10,65 / 9.81 = 1.09 kg. La masse volumique de l'air à la pression atmosphérique normale et à la température de 20℃ est 1.20kg/m3.
Bouche avec un de tes doigts l'extrémité de la seringue, afin d'emprisonner un certain volume d'air dans la seringue. Appuie sur le piston avec ton autre main. Que constates-tu ? On constate que le piston s'enfonce dans la seringue.
On sait qu'un litre d'air a une masse d'environ 1g.
Il faut donc convertir en litres ( L ) le volume de l'air exprimé en m3 dans la question 1. On sait que 1 dm3 = 1 L. V = 35 m3 = 35 000 dm3 Donc V = 35 000 L . 1 L d'air a une masse d'environ 1 g.
La raison est que dans un liquide les molécules sont proches : on ne peut donc pas les rapprocher davantage. Comme les molécules sont dures, on ne peut pas envisager non plus de les déformer.
La loi de Boyle-Mariotte décrit la relation entre la pression et le volume d'un gaz. Elle stipule que, à température constante, le volume occupé par une certaine quantité de gaz est inversement proportionnel à sa pression.
· 1 litre d'eau douce pèse 1 kg; · 1 m³ d'eau douce pèse 1 000 kg; · 1 m³ d'eau de mer pèse 1 020 kg; · Un volume d'eau douce de 1 000 mm x 1 000 mm x 1 mm (c'est-à-dire 0,001 m³) équivaut à 1 litre et pèse donc 1 kg.
Pour indication, la masse volumique de l'air varie suivant la température, la pression et l'humidité. À 20 °C et à pression normale de 1 013 hPa, la masse volumique d'un air sec est de 1,204 g/l, et à 0°C, de 1,292g/l.
Dans l'atmosphère, la poussée d'Archimède est estimée à 1,2kg par mètre cube. Il faut cependant retrancher à ce poids, le poids de l'hélium soit 0,167 kg/m³. il reste donc 1,04kg/m³. En arrondissant, on arrive à la conclusion qu'il faut 1m³ d'hélium pour soulever 1kg.
Afin de conserver un taux de compression correct (ce qui a une grosse influence sur le rendement moteur), il nous faut augmenter son rapport volumétrique. Pour cela, il faut diminuer le volume de la chambre quand le piston est à son Point Mort Haut.
Afin de détecter si il s'agit bien d'un problème de moteur tournant sur trois cylindre et sur quel cylindre se situe le problème, débranchez l'injecteur (Diesel) ou la bougie (essence) sur le premier cylindre, si la voiture cale, c'est que le cylindre fonctionne.