− Se moquer de (qqn/qqc.) 1. Tourner en dérision, en ridicule, prendre comme objet de plaisanterie (quelqu'un ou quelque chose).
Blagueur, railleur, goguenard. Qui est moqueur, malicieux ou railleur.
présomptueuse. présomptueux. Relatif à une personne qui se surestime, qui se sent supérieure.
La moquerie est amplifiée par l'effet groupe. Elle a encore plus de poids et d'impact. Se moquer est une façon d'expérimenter son agressivité, sa cruauté. C'est aussi tourner en ridicule une qualité de l'autre que l'on convoite ou un élément qui nous inquiète.
Restez calme. Quand ils se moquent de vous, soyez calme. Bien sûr, cela est plus facile à dire qu'à faire, surtout avec toute cette vague de gêne et de souffrance qui vous envahit. Cependant, garder votre sang-froid sur le moment est essentiel pour leur enlever le pouvoir qu'ils ont entre les mains.
Attitude n°3 : Se tenir droit dans ses bottes
La fermeté est une autre arme puissante pour déstabiliser les moqueurs car le but ultime de ces derniers est de vous faire douter de vous, de vos capacités… En ayant une attitude ferme vous aurez le dessus sur tout ce que votre interlocuteur aura à vous dire.
Se moquer des autres peut produire un rejet chez l'agresseur, une diminution de l'apprentissage scolaire et une faible estime de soi. Cela augmente aussi l'agression et l'insécurité personnelle. C'est, en effet, la preuve que les règles régissant le comportement social sont ignorées.
Il est d'ailleurs rejoint dans ses propos par le psychologue Sarvesh Dosooye. Selon ce dernier, les moqueries sont souvent source de détente pour certains, qui ne pensent souvent pas aux conséquences de leurs propos. « Une personne peut aussi se moquer des autres afin de camoufler son propre sentiment d'insécurité.
1/ Les narines qui frémissent. C'est plus ou moins marqué chez les gens mais souvent, quand dit des trucs qu'on ne pense pas, on a les narines qui tremblent légèrement. Autre geste « nasal » : le « je me gratte le côté du nez » pendant que j'te cause (geste que font assez souvent les politiciens, d'ailleurs,…).
Être imbu de soi-même, de son personnage, de sa dignité, de sa supériorité. Être convaincu, être exagérément conscient de sa valeur, de son pouvoir.
Souvent cette attitude de « persécuteur » devient pathologique se traduisant par de la manipulation relationnelle. Ce type de personne éprouve un certain de plaisir à rabaisser l'autre ou du moins à avoir le pouvoir sur l'autre, parfois d'une manière inconsciente.
Parfois, certaines personnes se moquent lorsqu'elles se sentent menacées, si par exemple tu es en train de devenir plus populaire qu'elles. Dans ce cas, elles essaient souvent simplement d'attirer l'attention des autres, même si c'est de manière négative.
gouaillerie, ironie, lazzi, persiflage, pique, plaisanterie, pointe, quolibet, raillerie, risée, sarcasme. – Familier : chinage.
Contraire : admirer. 2. Ne faire aucun cas de.
Le complexe d'infériorité peut se définir : " la mauvaise opinion qu'on a de soi-même " ; il faut ajouter que cette opinion est, d'ordinaire, un " sentiment obscur " plutôt qu'un jugement lucide, et qu'elle se développe dans le " subconscient ", à la suite d'impressions pénibles, plus ou moins " refoulées " comme ...
Action ou habitude de se moquer : Être en butte à la moquerie de ses camarades. 2. Action, parole par lesquelles on raille ; raillerie : Exciter les moqueries de son entourage.
Parce qu'elles étouffent nos désirs, freinent nos élans, nos prises de décisions et la réalisation de nos projets, la peur de l'opinion de ceux qui nous entourent et la crainte du rejet qui l'accompagne nous entravent.
C'est ce qu'avance la neuropsychologue Sylvie Chokron. Et ça nous fait du bien : rire libère des endorphines, nous aide à décompenser lors de moments difficiles…
La première chose la plus facile à faire, c'est l'auto dérision. Votre patient doit donc reprendre l'insulte de son interlocuteur en l'exagérant. Par exemple, si un interlocuteur dit à votre patient “tu as l'air d'un clown”, votre patient peut lui répondre : “Oui, c'est vrai justement, je suis un clown.
Utiliser un ton de voix sarcastique lorsqu'on prononce une phrase sert à transmettre le message inverse que nos mots. Le sarcasme est parfois un moyen d'autodérision, mais il est utilisé le plus souvent pour marquer un sentiment d'irritation.