Des prévisions qui ne colleraient pas à la réalité. Alors que les Nations Unies prévoient que nous serons plus de huit milliards d'habitants sur Terre au 15 novembre 2022, pour atteindre, en 2100, 10,4 milliards d'individus sur la planète, ces projections sont remises en question.
Croissance ralentie, plafond en 2080
La population mondiale pourrait atteindre environ 8,5 milliards en 2030 et 9,7 milliards en 2050, avec un pic à environ 10,4 milliards de personnes dans les années 2080 avant un maintien à ce niveau jusqu'en 2100.
Selon des travaux menés par un économiste de HSBC, James Pomeroy, dévoilés le 22 août, la population mondiale pourrait être divisée par deux d'ici 2100, passant d'environ 8 milliards à 4 milliards à la fin du siècle en raison d'une baisse de la natalité, d'une mortalité en hausse et de l'intégration des femmes dans le ...
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Surpopulation ou extinction : en 2030, nous serons 8,5 milliards sur Terre | National Geographic.
En 2100 la Terre compte 11 milliards d'habitants, elle sort d'une crise énergétique de plusieurs décennies. Malgré une transition énergétique réussie le réchauffement climatique atteint +5°C, avec de graves conséquences pour la disponibilité de l'eau, de la nourriture et de l'habitat.
D'ici 30 ans, nous subirons une hausse des températures sans précédent. Le réchauffement climatique aura de nombreuses conséquences, qu'on peut déjà voir aujourd'hui. L'année 2019, par exemple, a comptabilisé 10 mois ininterrompus de températures au-dessus des normales avec des records de chaleur.
D'ici à 2030, le climat de la Terre pourrait revenir trois millions d'années en arrière. Si les émissions de CO2 se poursuivent au rythme actuel des chercheurs estiment que d'ici 2030, la Terre sera revenue trois millions d'années en arrière, en termes de climat.
Son déclin démographique s'explique donc avant tout par un départ massif d'une partie de ses habitants - en particulier les familles et les retraités. Et le phénomène s'accentue : "Le solde migratoire de Paris est passé de -0,6% par an entre 2008 et 2013 à -1,1 % par an entre 2013 et 2019", note Valérie Roux.
De multiples raisons expliquent la baisse du taux de fécondité. L'intégration des femmes dans le marché de l'emploi retarde l'âge auquel elles ont leur premier enfant. La hausse des prix de l'immobilier dans les pays riches limite d'autant le développement d'une famille nombreuse pour des raisons de coûts trop élevés.
Une diminution qui peut être expliquée par nombre de facteurs : l'intégration des femmes dans le marché du travail, la hausse des prix de l'immobilier dans les pays riches, un meilleur accès aux soins, à la contraception et à l'éducation dans le monde, ou encore la crise du coronavirus qui a accentué la tendance.
La population de notre planète a été multipliée par 47 en 2500 ans en passant de 150 millions d'habitants à 7 milliards au début du XXIe siècle. En l'an 0 la population mondiale était estimée à 170 millions d'habitants.
La croissance démographique de la Chine - actuellement le pays le plus peuplé de la planète - s'est quant à elle quasiment arrêtée. Les Nations unies prévoient même que la population chinoise commence à diminuer à partir de juillet 2022, une première dans l'histoire récente du pays.
La population mondiale devrait atteindre 8 milliards le 15 novembre 2022, et l'Inde devrait dépasser la Chine en tant que pays le plus peuplé du monde en 2023, selon World Population Prospects 2022, publié aujourd'hui à l'occasion de la Journée mondiale de la population.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Le destin le plus probable pour la planète consiste en son absorption par le Soleil dans environ 7,5 milliards d'années, après que l'étoile sera devenue une géante rouge et que son rayon aura dépassé celui de l'orbite terrestre actuelle.
En toutes lettres, 2100 s'écrit : « deux mille cent ». L'année 2100 est une année commune du calendrier grégorien qui commence un vendredi, c'est la 2100e année de notre ère, la 100e année du IIIe millénaire et dernière du XXI e siècle et la première année de la décennie 2100-2109.
Nous nous déplacerons avec des voitures volantes. A l'école, nous aurons tous des ordinateurs pour travailler. Les maisons seront rondes et elles se tourneront vers le soleil. Les robots travailleront à la place des humains.
Des insectes à l 'agriculture urbaine , en passant par la viande in vitro , de nouvelles tendances émergent déjà, pour changer la façon dont nous nous nourrissons. Si rien ne change, la consommation mondiale de viande devrait doubler d'ici à 2050 et la demande de produits d'origine animale augmenter de 70% ...
D'ici à 2050, les experts de l'Organisation pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) estiment que la production alimentaire devra augmenter de 60% pour nourrir une population mondiale de plus de 9 milliards d'individus, et ce alors que les effets du changement climatique se font déjà sentir sur notre alimentation.
L'urbanisation croissante (les villes s'étendent de plus en plus) représente la première cause de la diminution des terres cultivables. Aujourd'hui, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), 55% de la population mondiale vit en zone urbaine et ce nombre continue de croitre.