On emploie de préférence à qui quand on se réfère précisément à une personne, et auquel quand ce n'est pas le cas.
Le pronom relatif « qui » s'emploie comme sujet, en parlant des personnes, des animaux ou des choses. L'enfant à qui tu as donné ce livre en est tout heureux. "qui" peut être également complément d'objet indirect. Dans ce cas, il est précédé d'une préposition et ne remplace que des personnes.
►Si l'antécédent désigne une personne, on doit employer QUI. Voici les gens à QUI j'ai vendu ma maison. ► Si l'antécédent est une chose, on doit employer QUOI ou les formes composées du pronom relatif.
- ' a ' : verbe ou auxiliaire 'avoir' qu'on peut conjuguer à l'imparfait. Il s'écrit toujours sans accent grave. - ' à ' : préposition qu'on ne peut pas conjuguer à l'imparfait. Il s'écrit toujours avec un accent grave.
On écrit « à » avec un accent : la préposition « à » s'écrit toujours avec un accent grave. Elle sert à compléter certains verbes comme parler à, appartenir à, céder à, aller à etc. Si vous ne pouvez pas remplacer par « avait », alors écrivez « à » avec un accent grave.
A (sans accent), c'est le verbe avoir avoir, présent. À (avec accent) est une préposition. Il a mal à la tête. Je vais à Montréal.
La règle générale d'accord du verbe dont le sujet est le pronom relatif qui est simple : le verbe de la subordonnée relative introduite par qui s'accorde avec l'antécédent de ce pronom; on aura ainsi : il connaissait bien la femme qui arrivait ou moi qui suis tellement timide, j'ai osé lui parler.
On emploiera «participer à» dans le sens de «prendre part à une activité donnée». Exemple: «Il participe à une soirée demain soir.» On emploiera, en revanche, la construction «participer de» lorsque l'on voudra signifier à quelqu'un que quelque chose ou un individu a «une similitude de nature avec...».
Quand on indique la possession avec un nom, on utilise la préposition DE. C'est une faute très courante, que même les Français font très souvent: dire “ La voiture à papa ” au lieu de “La voiture de papa”. Comme on indique ici la possession avec un complément du nom, il faut bien utiliser la préposition DE.
Après : c'est moi, c'est toi, c'est lui qui..., le verbe s'accorde avec le pronom moi (je), toi (tu), lui (il), etc. À retenir : C'est moi qui = je, c'est toi qui = tu, c'est lui/elle qui = il/elle, c'est nous qui = nous, c'est vous qui = vous, ce sont eux qui = ils.
Le pronom et adverbe où
On écrit où avec un accent grave quand il s'agit du pronom relatif ou de l'adverbe interrogatif qui servent généralement à l'expression du lieu. Notez l'adresse où vous souhaitez être livré.
L'impératif présent (ou le présent de l'impératif) est un temps simple qui fait partie du mode impératif. Il sert à exprimer une obligation, un ordre, une nécessité.
Comment distinguer les homonymes« a » et « à » ? Il ne faut pas confondre les homonymes « a » et « à » qui se prononcent de la même façon. conjugué à la troisième personne du singulier (il / elle / on). On écrit « a » lorsqu'on peut remplacer le mot par « avait » ou « aura ».
L'impératif présent se termine généralement par un « s » à la 2e personne du singulier, hormis pour les verbes du 1er groupe (se finissant par -er) qui se terminent par un e : Mange (1er groupe) ! Sors (3e groupe) !
« Il a mis » est la forme correcte de la conjugaison du verbe « mettre » à la 3e personne du singulier au passé composé de l'indicatif. Elle est obtenue par la combinaison de l'auxiliaire « avoir » au présent et du participe passé du verbe conjugué : « mis ».
Conclusion? «Continuer à» s'utilise pour commenter une action qui débute (comme la lettre «a») et qui se poursuit dans le temps. «Continuer de», pour sa part, s'emploie pour faire référence à une habitude, à quelque chose que l'on ne «cesse pas de faire».
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc. "Moi qui", "toi qui"...
QUI (QUE, DONT, etc.), entraîne généralement le subjonctif : - Il n'y a que ce complet qui m'aille. - Il n'y a que Monsieur N… que je ne connaisse pas encore. - Il n'y a que lui dont personne ne dise du mal.
Quand le pronom interrogatif qui est attribut du sujet (« Qui sont-ils ? », « Qui étaient ces gens ? »), le pluriel ne choque pas le moins du monde. Il en va autrement quand qui est sujet, comme c'est le cas dans la question, ô combien iconoclaste, qui me sert ici de titre.
Le participe passé est toujours invariable lorsqu'il est précédé de "que" et suivi du pronom relatif "qui". Dans cette construction, l'objet direct est la proposition relative complète avec son sujet, auquel renvoie "qui". Les hommes que j'avais prévu qui viendraient.
> à est une préposition invariable. Pour les distinguer: Si l'on met la phrase à l'imparfait 'a' devient avait alors que 'à' ne change pas .
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.