Attention, il ne faut pas recouvrir de peinture ou d'un autre revêtement de finition une cloison de Placo® sur laquelle a été apposé un joint dans l'immédiat. Il est indispensable d'attendre un délai de 7 jours minimum de séchage avant de pouvoir passer à cette nouvelle étape.
Le crépi d'intérieur ou l'enduit
En plus de cela, le grain est très important et le rendu doit être irréprochable afin de rattraper les bandes de placo. S'il s'agit de l'enduit, le grain sera plus fin et il sera facile à cirer et à peindre.
Le décollement généralisé des bandes s'explique par une pose effectuée par le plaquiste en période de gel et alors que la mise hors d'air n'était pas totalement assurée.
Le ponçage d'une bande de placo se réalise une fois que le support est parfaitement sec. Il est recommandé d'utiliser des grains de plus en plus fins afin d'éviter que la surface se déchire et pour un meilleur rendu final.
Pour cela, humidifiez votre bande et placez-la, face lisse vers vous, sur le joint. Marouflez avec le couteau à enduire de haut en bas pour éviter les bulles d'air. Le lendemain, lorsque votre joint à placo est sec, il faut recouvrir une nouvelle fois l'enduit afin de couvrir plus largement la bande et les débords.
Le travail du plaquiste s'arrête là où commence celui du peintre à partir du moment où ce dernier a réceptionné le support, ce qui revient à dire qu'il l'a accepté en l'état.
Si l'on ne ponce pas suffisamment, les traces d'outils utilisés (défonceuse, racloir, rabots …) vont rester visible après finition (bien que cela puisse avoir son charme en laissant apparaitre le côté « fait main »). Si l'on ponce trop, cette étape demandera du travail supplémentaire inutilement.
dans le cadre d'un chantier classique, c'est effectivement le peintre qui doit faire tout çà : c'est un lot de finition et il doit reprendre les méfaçons des autres lots. de plus, on ne doit pas peindre directement le placo mais il faut l'enduire, le poncer, ...
La règle est d'aller progressivement par étapes. On traite les bavures ou imperfections avec un grain de 80 et on passe ensuite en 120. Si la finition est propre, on peut passer avec du grain de 180 à 200 directement.
Lorsque le calicot entre deux plaques de plâtre subit des chocs thermiques importants et répétitifs, les tensions entre la plaque de plâtre et le calicot finissent par décoller celui-ci. Il est possible de tenter un collage plus résistant, par exemple en collant un nouveau calicot avec une colle Néoprène.
Dans certains cas, l'application de trois couches fines permet de mieux couvrir des murs précédemment peints dans des couleurs intenses. Lorsque c'est la nouvelle peinture qui est très colorée, l'application de 3 couches permet de mieux mettre en valeur toute l'intensité de la teinte.
Comment rattraper des traces de reprise et de rouleau de peinture ? Pour atténuer les traces de reprise, il faut poncer la surface, à l'aide d'une spatule pour de petites traces ou de papier de verre pour des plus gros défauts. Attention à bien choisir le grain en fonction du défaut à rattraper.
Il n'y a pas de bord aminci, doit on enlever le carton des deux plaques sur les premiers centimètres pour pouvoir mettre une bande? N'enlève pas le carton. Travail un peu plus long et délicat qu'avec bords amincis. Il faut lisser en dépassant largement afin de noyer la surépaisseur de la bande.
L'étape du ponçage est souvent obligatoire lorsque vous réalisez des petits travaux de rénovation. Vous devrez par exemple poncer avant de repeindre des murs qui sont en glycéro mais aussi si vous avez décidé de retaper un meuble pour lui offrir un nouveau look.
Sachez quand arrêter le ponçage
Quand faut-il arrêter le ponçage ? Tout dépend de la finition recherchée. Pour une finition bois légèrement teintée, prévoyez une surface aussi lisse que possible. Les rayures des gros grains absorberont le plus gros de la teinte et les zones rayées seront plus sombres.
Si les murs sont simplement sales ou jaunis, il faut les lessiver avant de les repeindre. L'étape du ponçage peut être évitée dans certains cas. - On le remplace par un lessivage abrasif (type St Marc à la résine de pin) avec éponges et gants. Du bas vers le haut pour éviter les coulures.
Le taux horaire d'un plâtrier-plaquiste est compris entre 35 et 45 euros (fourniture incluse) (1). À cela, vous devrez certainement ajouter les frais de déplacement : entre 20 et 40 euros, en moyenne (1).
La fourchette de prix au m² pour la pose d'une cloison en placo est de 30 € à 65 € le m² (2). Comme tout professionnel du bâtiment, le plaquiste intègre dans son tarif un certain nombre d'éléments liés à la nature du chantier, en plus du temps passé.
Selon ces considérations, le prix d'un plaquiste au m² varie généralement de 10€ à 20€, sans compter aucune fourniture. Le tarif horaire d'un plaquiste varie en moyenne de 35€ à 55€/h. À ce prix-là, le plaquiste effectuera la mise en place de cloisons sèches, mais ne proposera pas de services de plâtrerie plus avancés.
Comme sur une peinture, une cloque en surface d'un enduit révèle un défaut d'adhérence dû le plus souvent à l'humidité ou un défaut de préparation du support.
Les cloques résultent souvent d'une maladresse à l'application d'une peinture intérieure ou extérieure. Ainsi, lorsque le temps de séchage avant d'appliquer une nouvelle couche n'est pas respecté, la peinture cloque souvent.
La première source de microbulle est l'humidité.
Pour y remédier, il vous suffit de dépoussiérer les fonds ou de les laver ! Le dégazage des bétons, provoqué par des poches de gaz qui s'évacuent lors de l'application d'enduit, explique également l'apparition de ce phénomène de microbulles.