A quel âge l'enfant baptisé découvre l'hostie ? Le jeune pratiquant fait sa communion entre « 8 et 10 ans », « au bout de 2 à 3 ans de catéchisme ». La profession de foi (qui n'est pas un sacrement) a lieu, elle, quand le fidèle est en « 6e-5e », vers 11-12 ans.
S'il reste des hosties consacrées après la communion, elles sont placées dans une pyxide ou dans un ciboire recouvert et rangé dans le tabernacle ; s'il est impossible de les y placer, elles doivent être mangées par le prêtre ou par les fidèles.
Saint Paul affirme que tout le monde n'est pas en condition de recevoir la Communion : « On doit donc s'examiner soi-même avant de manger de ce pain et de boire à cette coupe. Celui qui mange et qui boit mange et boit son propre jugement s'il ne discerne pas le corps du Seigneur. » (I Cor 11, 28-29).
La manipulation de l'hostie peut prendre, quant à elle, deux formes codifiées : soit le prêtre dépose l'hostie directement sur la langue du communiant (ce qu'on appelle « communier dans la bouche »), soit il la met dans l'une des mains du communiant qui la porte ensuite lui-même à sa bouche (« communier dans la main ») ...
Le dimanche, les catholiques se retrouvent pour célébrer la messe (d'un mot latin signifiant “envoyer”), appelée aussi eucharistie (d'un mot grec signifiant “action de grâce”). Nous nous retrouvons pour faire mémoire de la mort et de la résurrection de Jésus et pour remercier Dieu de la Vie qu'Il donne.
Il participe étroitement à la liturgie de la messe : il proclame l'Évangile, il peut faire l'homélie, il reçoit les offrandes des fidèles, met le vin dans le calice et y ajoute l'eau, élève le calice à la doxologie, il invite au geste de paix et envoie l'assemblée à la fin de l'Eucharistie.
La doctrine de l'Eglise catholique interdit en effet l'accès aux sacrements comme la communion ou la confession aux divorcés remariés, estimant que leur nouvelle union est une trahison devant Dieu de leur premier -- et unique -- conjoint.
le péché mortel, dont la matière est grave (ex. violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Suivant le catéchisme de l'Église catholique, un péché est mortel s'il a pour objet une « matière grave » et s'il est commis en pleine conscience et avec un entier consentement, à la différence du péché véniel qui affaiblit la grâce divine sans la supprimer.
Un gout de pain sans levain,ceci pour la langue.
Pain eucharistique après la consécration. (Le mot latin [hostia] désigne la victime sacrifiée, en particulier le Christ dans le sacrifice eucharistique.) 2. Pain destiné au sacrifice eucharistique.
« Quand tu t'approches, ne t'avance pas les paumes des mains étendues, ni les doigts disjoints ; mais fait de ta main gauche un trône pour ta main droite, puisque celle-ci doit recevoir le Roi, et dans le creux de ta main, reçois le corps du Christ, en disant « Amen ».
Thomas les péchés les plus grave sont les péchés qui sont directement contre Dieu : L'infidélité, le désespoir et la haine de Dieu. La passion peut indirectement mouvoir la volonté, et cela de deux façons: – En épuisant l'énergie de la volonté.
Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie. Ils sont « capitaux » au sens où ils sont la cause, donc à la tête, d'autres péchés ; ce sont des mobiles pour commettre tous les crimes.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
Les sept capitaux (orgueil, gourmandise, luxure, avarice, jalousie, colère et paresse) ont été identifiés par saint Thomas d'Aquin au XIIe siècle. Ils figurent toujours en bonne place dans le Catéchisme de l'Église catholique dans sa dernière édition de 1997.
Le mariage étant indissoluble, l'Église catholique ne prévoit aucune procédure de divorce, ni de remariage, et ne reconnaît pas le divorce ni le remariage civil. Les divorcés non remariés ou remariés au civil sont toujours considérés par l'Église catholique comme mariés.
« Ce que Dieu a uni, l'homme ne doit pas le séparer » dit l'Evangile. Autrement dit, les liens du mariage religieux ne peuvent pas être rompus. L'Eglise accepte malgré tout qu'un couple marié religieusement soit amené à se séparer ou même à divorcer.
Les catholiques et les orthodoxes prient les Saints. Ils croient au Purgatoire et vénèrent la Vierge Marie comme figure sainte. Cela constitue une autre différence importante avec l'Eglise protestante qui refuse les Saints et ne voue aucun culte à Marie.
Le diacre étant rémunéré par son activité professionnelle, puis par sa retraite, il ne perçoit pas de salaire de l'Eglise, il est bénévole.
Le diacre est donc un membre du clergé, ce n'est pas un laïc plus engagé que les autres. Il peut célébrer les baptêmes, les mariages et prêcher, mais, à la différence du prêtre, il ne peut pas célébrer la messe ni confesser.
En théologie catholique, le prêtre est le signe du Christ, tête de l'Église (son rôle est celui d'un rassembleur), le diacre, lui, est signe du Christ serviteur. Le diacre, comme clerc, est astreint à la lecture de l'office divin.
Le fruit défendu est d'abord, selon le récit biblique de la Genèse, le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal planté au milieu du jardin d'Éden, qui donne la connaissance du bien et du mal.