Selon différentes études sur le sujet, la crise de la quarantaine surviendrait entre 37 et 48 ans.
5 conseils pour sortir de la crise de la quarantaine
→ Accepter le mal-être et ne plus le subir : "n'ayez pas peur de verbaliser vos angoisses ou vos frustrations et essayez d'en chercher les causes. Posez-vous les bonnes questions en y répondant avec honnêteté : est-ce que je me sens utile dans mon travail ?
Sortir de la crise demande un travail sur soi-même. On commence d'abord par faire le bilan et voir ce qui ne nous convient plus, puis on se demande ensuite de quoi on a besoin pour être heureux. Cette introspection peut se faire seul(e) ou avec l'aide d'un thérapeute.
La crise de la quarantaine s'installe en général progressivement. La personne a l'impression d'une routine qui l'oppresse. Elle devient irritable avec son entourage, se sent vide et impuissante car ses responsabilités lui rappellent qu'il est difficile de changer les choses.
Certains couples décident de divorcer après 40 ans de mariage, pour diverses raisons: envie de renouveau, les enfants ne sont plus là, c'est le bon moment… Des personnes âgées de 60, 70 ou 80 ans qui se séparent, cela arrive de plus en plus fréquemment. Retour sur ce phénomène de “divorce gris”.
Il n'existe pas une recette magique pour sortir de la crise existentielle, car il existe autant de situations de crise que de personnes. Ce qui est certain, c'est qu'il faut apprendre à se réinventer, avoir de nouveaux objectifs et oser sortir de sa zone de confort pour redonner un sens à sa vie.
Adopter un mode de vie sain : pratiquer un sport, une activité de relaxation (méditation, yoga…), respecter ses cycles de sommeil et manger de façon équilibrée peuvent être un premier rempart contre la dépression. Sortir tous les jours, afin de vous exposer à la lumière naturelle du jour. Avoir une vie sociale riche.
Quelles envies ? Ces questionnements peuvent traduire un ennui qui s'est installé au fil des ans, une envie de renouveau, d'aller voir ailleurs... C'est pourquoi cette période est propice aux séparations et aux infidélités. Aujourd'hui, les plus de 50 ans sont aussi nombreux à divorcer que les trentenaires.
Les signes de vieillissement risquent de devenir plus visibles, comme les rides, la sécheresse de la peau, le relâchement de la peau autour du cou, les plis autour des yeux et de la bouche. Les poils et les cheveux peuvent blanchir ou grisonner et devenir plus fins.
Vous pouvez tout à fait pleurer, crier, taper dans un coussin, écrire, sortir courir, trouvez ce qui vous fait du bien pour gérer vos émotions. Et quand la crise est là, prenez une grande inspiration et respirer calmement pour tenter de retrouver le calme", recommande Valérie Sengler.
En 2013, une étude anglaise publiée sur le site du Daily Express relatait qu'un tiers des sexagénaires ressentaient une période de doute au moment de la soixantaine. Trois ans plus tard rien n'a changé. "Avec l'allongement de l'espérance de vie, les plus de 60 ans peuvent désormais se projeter dans l'avenir.
Si la majorité des unions tiennent bon, voire se renforcent face à la maladie, certaines vacillent et se déchirent. Les femmes malades constatent, plus souvent que les hommes, un manque de soutien de la part de leur conjoint.
Le conjoint ou la conjointe peut faire preuve de patience, d'écoute et d'empathie. » Et surtout s'abstenir de donner des conseils. « C'est à celui qui traverse cette crise très personnelle de trouver ses réponses originales et uniques », poursuit la psychanalyste.
Avoir recours à une spécialiste peut être nécessaire face à une crise du milieu de vie chez l'homme. Cette dernière saura identifier les causes profondes de cette crise, aider l'homme à affronter ses peurs, et à éviter des décisions qui pourraient entraîner de gros dégâts.
Une fatigue (asthénie), souvent plus marquée le matin. Une perte d'appétit, souvent associée à une perte de poids. Des troubles du sommeil, avec souvent une insomnie en deuxième partie de nuit et un réveil matinal précoce. Des troubles de l'attention, de la concentration et de la mémoire chez la plupart des malades.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Le premier signe de la dépression est bien sur une profonde tristesse, elle est particulièrement douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle peut s'accompagner de pleurs inexpliqués et d'un sentiment de désespoir, de l'impression que tout va mal, que tout est noir, et que rien de positif ne peut nous advenir.
Le vide existentiel est une spirale de non-sens.
La personne regarde le monde avec une perspective différente à cause des absurdités qu'elle détecte. Ou parce qu'elle s'est laissée emporter par la recherche du plaisir pour éviter toute souffrance. Ce phénomène est très répandu dans l'actualité.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
Saviez-vous que c'est à l'âge de 31 ans que les femmes se sentent le plus belles? Une enquête menée par le magazine américain Allure l'affirme. L'étude ne révolutionne pas le genre: avant elle, d'autres avaient désigné 33 ans ou 34 ans comme le "plus bel âge", soit celui où les femmes se sentent au top de leur beauté.
D'après les statistiques officielles de l'Insee, on entre dans la catégorie des "personnes âgées" dès 65 ans. Quant à celle des "jeunes" (18/29 ans), on la quitte à 30 ans.