Il faut savoir que la montée de lait est un phénomène physiologique transitoire, ressenti au plus fort entre le 2ème et le 5ème jour après l'accouchement et qui s'interrompt en deux semaines en l'absence de stimulation.
Si on cesse de retirer du lait d'un seul coup, le sein s'engorge et la production s'arrête en quelques jours. La production de lait est indépendante d'un sein à l'autre. Si un seul sein est stimulé, l'autre sein cessera de produire du lait après quelques semaines.
Les fuites s'estompent généralement au bout de six semaines. Protégez vos vêtements en portant des coussinets d'allaitement lavables ou à usage unique dans votre soutien-gorge, jour et nuit. Ne gaspillez pas une goutte ! Les coupelles s'intègrent dans votre soutien-gorge pour recueillir le lait qui fuit.
Certaines plantes comme le persil et la menthe sont réputées pour bloquer la montée de lait. Il faut infuser une poignée de l'une ou de l'autre plante dans de l'eau frémissante et en boire un verre plusieurs fois par jour.
De plus, la montée de lait n'est pas toujours arrivée. Entre 48 et 72 heures, le lait (colostrum) de la maman se change en lait blanc et liquide, ce qui a un effet excitant sur le bébé, qui sent le lait arriver. Il semble alors insatiable et inconsolable.
Soyez rassurés, un pic de croissance ne dure jamais très longtemps : entre 24 et 72 heures maximum. Si des symptômes tels que l'agitation et les pleurs subsistent, n'hésitez pas à en parler au pédiatre pour vous rassurer et ne pas passer à côté d'autre chose côté santé.
Il est parfois recommandé de prendre la pilule contraceptive pour stopper la montée de lait. Les œstrogènes ont un effet négatif sur la lactation, réduisant la production de lait. Ils peuvent être administrés sous forme de pilule contraceptive combinée, une fois par jour pendant une semaine, puis arrêtés.
Les bébés qui ne sont pas nourris au lait maternel ont, entre autres, plus de risques d'avoir des otites, des gastro-entérites, des bronchiolites et des pneumonies (Mieux vivre avec notre enfant, 2012).
A la question comment éviter l'engorgement mammaire, le meilleur moyen est d'avoir de bonnes positions d'allaitement avec une bonne prise du sein de votre bébé, des tétées fréquentes et des massages quotidiens de vos seins.
« Dans l'idéal, commencez par la tétée de midi. Les bébés sont remarquables, ils peuvent identifier l'odeur du lait de leur mère à proximité, demandez donc à votre partenaire ou à un proche de donner le biberon à votre bébé pendant que vous êtes dans une autre pièce », explique Sarah.
Écoulement du lait
Si cette situation vous dérange, vous pouvez protéger votre lit avec une serviette pendant la nuit. Au cours de vos activités quotidiennes, vous pouvez porter des compresses absorbantes de coton dans votre soutien-gorge ou une camisole avec soutien-gorge intégré.
Tant que les selles sont molles et que votre bébé mouille ses couches, cela est normal. La plupart du temps, votre bébé est rassasié et satisfait après la tétée. Votre bébé a repris son poids de naissance en deux semaines à peu près. Vos seins sont gonflés avant la tétée et plus mous après.
Au fil des semaines, l'horloge biologique mature et permet au bébé de bien rythmer ses journées entre des périodes d'éveil et des périodes de sommeil. Les pleurs du soir sont en fait une phase normale d'hyperactivité, où le bébé emballe sa phase d'éveil et ne sait plus comme l'arrêter.
Les seins deviennent souvent gonflés, douloureux et sensibles. Il arrive qu'ils présentent des rougeurs ou un œdème diffus et que la peau prenne un aspect brillant. Habituellement, ces symptômes surviennent simultanément des deux côtés et sont généralisés.
Sauter une tétée par semaine.
Pour savoir comment arrêter le lait maternel de manière progressive, il est recommandé de sauter une session chaque semaine, en commençant par la tétée de midi ou celle que votre bébé aime le moins. Les dernières tétées qui restent sont généralement celles avant de dormir et au réveil.
La prévalence de l'allaitement maternel en France est une des plus faibles des pays européens : 56 % des enfants nés en France en 2002 étaient allaités au sortir de la maternité contre plus de 95 % en Finlande et en Norvège, plus de 90 % en Suède et au Danemark, 85 % en Allemagne, 75 % en Italie et 70 % au Royaume-Uni.
Une perte de sang excessive (plus de 500 ml/17,6 fl oz) pendant l'accouchement ou des fragments de placenta restés dans l'utérus peuvent retarder la montée de lait (qui se fait généralement environ trois jours après la naissance).
Poitrine après la grossesse
Les seins peuvent avoir perdu du volume, être relâchés. Bien sûr, rien ne peut leur redonner une taille de bonnet, mis à part la chirurgie esthétique, mais on peut leur redonner du galbe en faisant travailler les muscles qui la supportent et agir sur la qualité de la peau.
Les premiers pics de croissance apparaissent en général entre le 7ème et le 10e jour de la vie de bébé. Puis, ils interviennent à 3 semaines et à la 6e semaine. Normalement les prochains pics de croissance se situent au 3 mois, 6 mois et 12 mois.
La technique pour savoir si bébé à froid pendant la nuit
Il suffit de poser votre doigt sur sa poitrine ou sur son ventre, ou de toucher sa nuque, à même la peau. Si votre enfant a la peau froide, c'est qu'il n'est pas assez couvert.
il réclame davantage de lait aussi bien jour et nuit : qu'il soit nourri au biberon ou au sein, votre enfant réclame à téter plus fréquemment et son rythme est complètement bouleversé ; son sommeil est agité, il se réveille souvent la nuit ; bébé a besoin d'être dans vos bras, de sentir votre présence.
Il s'agit d'une accélération du péristaltisme intestinal (mouvements de la paroi) en particulier au niveau du côlon, après le remplissage de l'estomac.
Un bébé hypertonique est un bébé aux besoins intenses (BABI) d'attentions de la part des parents.
Par exemple, un bébé très actif aura tendance à gigoter beaucoup pendant l'allaitement. La mère peut alors mettre fin à la tétée alors que le bébé aurait eu besoin de plus de lait.
Si tu as un de ces symptômes dans les 24-48h après ton traumatisme : Perte ou détérioration de l'état de conscience. Aggravation du mal de tête (en particulier s'il est localisé) Vomissements persistants.