Une douleur dans le bras gauche, en particulier, peut être le signe d'un infarctus du myocarde ou d'une angine de poitrine. C'est pourquoi il est important d'accorder une importance particulière à toute douleur soudaine dans le bras gauche et consulter un médecin sans attendre.
Une douleur du bras gauche associée à une douleur dans la poitrine, une difficulté respiratoire, une fatigue et une irradiation dans la mâchoire nous vous conseillons d'aller en urgence consulter un cardiologue. Un diagnostic en urgence est impératif.
Les symptômes les plus courants
Elle est typiquement violente, intense, située derrière le sternum et provoque une sensation de serrement de la cage thoracique. La douleur peut irradier dans le bras gauche, l'épaule ou même la mâchoire, c'est une douleur décrite comme angoissante.
Tout d'abord, une douleur globale du bras gauche peut être le signe d'uninfarctus du myocardeou « crise cardiaque ». Urgence vitale absolue, l'infarctus du myocarde est une nécrose d'une partie du cœur suite à un défaut de vascularisation de cette zone par les artères coronaires.
Pouvez-vous la reproduire en appuyant sur la partie sensible ? Une réponse positive à l'une de ces questions suggère davantage une douleur musculaire. Une douleur d'origine cardiaque est, quant à elle, persistante, peu importe la position ou le type de respiration.
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
Douleur erratique : douleur qui change souvent de place. Douleur exquise : douleur vive et très localisée, généralement provoquée par la pression. Douleur fulgurante : douleur très intense qui fait penser à un éclair. Douleur irradiante : douleur qui diffuse en rayons à partir d'un point de plus forte intensité.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Il arrive qu'un second infarctus s'annonce quelques jours ou quelques heures à l'avance : sensation de malaise, fatigue, nausées, problèmes de digestion, par exemple. Dans ce cas, il est important de consulter rapidement son médecin.
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
L'infarctus peut passer inaperçu
L'infarctus passe parfois totalement inaperçu et il est diagnostiqué a posteriori lors d'un bilan cardiaque (ECG, échodoppler cardiaque...)
Les autres causes du mal de bras
Parmi ces pathologies, on note : la fibromyalgie, les tumeurs, l'arthrose, l'arthrite, le canal carpien, la polyarthrite rhumatoïde, l'infection de l'os, la phlébite du bras, la capsulite rétractile (épaule gelée) ou encore la colique hépatique.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Elles doivent s'alerter si elles ressentent de manière brutale ou intense les symptômes suivants : oppression thoracique, difficultés à respirer, palpitations, essoufflement à l'effort ou parfois au repos, grande fatigue persistante, troubles digestifs, nausées.
Compte tenu de l'urgence médicale que constitue un infarctus du myocarde, il est nécessaire de connaître les signes d'alerte : il s'agit d'une douleur aiguë et persistante dans la poitrine, qui irradie le bras gauche, le dos et la mâchoire. Peuvent également survenir un malaise, des nausées, des vertiges.
Qu'est-ce qu'une crise cardiaque
Une crise cardiaque se produit lorsque l'apport sanguin à une partie du cœur est interrompu par l'obstruction d'une artère coronaire. Privées d'oxygène, les cellules de cette partie du muscle cardiaque meurent peu à peu tant que l'apport n'est pas rétabli.
Elle affecte surtout les personnes atteintes du diabète et les personnes de plus de 75 ans. Les facteurs qui augmentent le risque de crise cardiaque sont l'âge (les hommes de plus de 45 ans et les femmes de plus de 55 ans y sont davantage sujets), le tabac, le surpoids ou l'obésité, ainsi que l'hypertension.
Quand faut-il s'inquiéter ? Comment évaluer ces douleurs ? Avant toute chose, en cas de doute, il faut appeler le 15. Pour ne pas passer à côté d'une douleur symptôme d'une maladie grave, il vaut mieux appeler le 15 plutôt que de rester à la maison et de perdre de précieuses minutes ou heures.
Le nerf radial a pour principale fonction l'innervation du bras, de l'avant-bras et de la main.
Les premiers signes de l'atteinte inflammatoire musculaire sont généralement une faiblesse musculaire, des difficultés à effectuer des gestes simples de la vie courante : monter un escalier, attraper un objet, porter son sac de courses, se relever de la position accroupie.
Pour l'infarctus du myocarde, le principal signe qui doit alerter est une douleur thoracique en barre, qui serre comme un étau et pèse sur la poitrine. C'est une douleur très forte, qui ne passe pas, avec une irradiation dans le bras gauche, la mâchoire, l'épaule ou le poignet.
Douleur du côté gauche : quand la cause est ailleurs
un trouble du système digestif (reflux oesophagien) une maladie infectieuse virale (comme le zona intercostal) un trouble nerveux ou musculosquelettique (névralgie intercostale, fracture ou perte de mobilité au niveau du bassin)
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.