On parle de quelque chose de passé (immédiat ou non), une rencontre, une conversation. L'emploi du passé simple est un langage correct et soutenu; il est de bon ton de l'employer plutôt que " ça a été un plaisir" qui montre un degré de conversation moins évolué.
On emploie ce fut (sans accent circonflexe) quand on peut le remplacer par : c'était. La forme fût appartient à l'imparfait du subjonctif que l'on emploie dans un langage soutenu (registre littéraire) : dans une subordonnée introduite par un verbe au passé ou au conditionnel.
C'est très simple, il suffit de mettre la phrase au pluriel. Exemple : Lors de mon stage chez X, mes responsables furent satisfaits de mes initiatives », cela fonctionne donc on ne mettra pas d'accent circonflexe. Furent => pas d'accent.
La graphie ce fut sans accent
Ce fut , avec un simple u , c'est le verbe être conjugué au passé simple.
Si la phrase commence ainsi, on emploiera le passé simple (fut), et non pas le subjonctif (fût). ==> Ce fut un vrai plaisir.
Fut & fût sont des déclinaisons du verbe ÊTRE. 1er : 3ème du passé simple, l'autre imparfait du subjonctif (QU' il fût).
Troisième personne du singulier du passé simple du verbe être. Exemple : Il fut obligé de dire la vérité sur son absence au cours de mathématiques. Tonneau réalisé avec des planches de bois dans lequel on y stocke du vin ou autre alcool.
Le sens de ce genre de fausse question (quel ne fut pas..., quelle ne fut pas...) est effectivement un sens exclamatif ! Quelle ne fut pas ma surprise... = j'ai eu une grosse surprise...
Personnes ayant répondu : francais le 3 avril 2021. Qui que ce soit , quoi que ce soit, parfois quoi que ce fût (=une personne, une chose quelconques) s'emploient surtout dans des contextes explicitement ou implicitement négatifs ou dubitatifs (interrogations, propositions de condition).
Tournures correctes : Quelle fut ma surprise de l'y rencontrer ! Quelle ne fut pas ma surprise de l'y rencontrer !
l'infinitif de "fut" est "être"
Locution adjectivale
Passé ou au conditionnel de quel qu'il soit.
Au subjonctif imparfait à valeur de conditionnel, on écrit qu'il fût (ou fût-il) et non qu'il fusse. Mais on dit correctement : que je fusse, que tu fusses, qu'ils fussent. La tournure fût-il équivaut à « même si, peu importe qu'il soit ».
Tonneau, barrique. Orthographe simplifiée : fut. Exemple : Fût de bière.
Cette interrogation est au passé simple, le verbe ne prend donc pas d'accent : « fut ». Faux. Il faut écrire : Il ne revient pas souvent nous voir, ne fût-ce qu'en raison de la distance. On pourrait formuler cette phrase déclarative avec « ne serait-ce que », on écrit donc « ne fût-ce que ».
Pour le passé simple – qui est un temps du passé, il fut, ce fut…: l'accent doit être aux 1ère et 2e personnes du pluriel ; nous fûmes, vous fûtes. Pour l'imparfait du subjonctif, l'accent est en effet à la 3e personne du singulier : je ne pense pas qu'il fût content.
Le subjonctif imparfait (ou l'imparfait du subjonctif) est un temps simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation. Le subjonctif imparfait a la même valeur que le subjonctif présent, mais il est employé dans un texte écrit au passé.
„Quelle ne fut pas ma stupeur quand je le vis s'immobiliser et observer les traces de pas sur le sol.
abasourdissement, ahurissement, ébahissement, effarement, étonnement, saisissement, stupéfaction, stupeur. – Familier : épatement. 2. Événement inattendu.
stupéfaction n.f. État de quelqu'un qui est stupéfait, profondément étonné.
1. Partie du tronc d'un arbre située entre le sol et la première grosse branche. 2. Tonneau où l'on met le vin, le cidre, l'eau-de-vie, etc.
Le passé composé est un temps composé : auxiliaire être ou avoir au présent + verbe au participe passé. On l'utilise pour raconter un événement passé, terminé et limité dans le temps.