Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
On n'écrit pas « tu as fais », parce qu'il s'agit du verbe faire, conjugué à la 2e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. Le participe passé du verbe faire est fait. « tu as fait » peut être suivi d'un complément d'objet direct ou d'un verbe à l'infinitif.
« fais » s'accorde avec le sujet « je ». « vous » est complément d'objet second (COS) : faire parvenir quelque chose (COD) à quelqu'un (COS). Exemple : Je vous fais parvenir le bilan et ses annexes. La forme « fait » correspond à la troisième personne du singulier du verbe faire au présent de l'indicatif.
Quand on conjugue le verbe faire au présent de l'indicatif ! Et ce, à la 1re ou à la 2e personne du singulier : je fais, tu fais. On retient : « j'ai fait », au passé ; « je fais », au présent.
On écrit « c'est moi qui fais » et non pas « c'est moi qui fait »
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.
On écrit par exemple plein de bisous , je lui souhaite plein de bonheur , je vous souhaite plein de choses , plein de cadeaux .
Au présent, avec je , tu , il , les terminaisons du verbe faire sont -s , -s , -t : je fais , tu fais , il fait . On peut ajouter d'autres mots entre le sujet et le verbe, ça ne change rien à la terminaison ! On écrit donc aussi je te fais confiance , je vous fais part de ma décision , je lui fais un résumé .
La réponse simple. On écrit toujours « je vous fais ».
Un fait est un événement advenu ou advenant dans l'histoire d'un individu ou d'un groupe. Il est caractérisé par son extériorité, par opposition à une idée qui, elle, relève de l'intériorité.
– Tout à fait ! Tout à fait ! Par exemple, “tout à fait”. – Tout à fait.
Parce que « faits » correspond au participe passé du verbe faire conjugué à la troisième personne du pluriel de l'indicatif présent à la voix passive. Le participe passé s'accorde conjugué avec l'auxiliaire être s'accorde en genre et en nombre avec le sujet : il est fait, ils sont faits.
On écrirait, je vous ai fait parvenir (verbe faire au passé composé de l'indicatif, 1re personne du singulier). Ce temps du verbe faire se conjugue avec le verbe avoir « j'ai » + le participe passé « fait ».
le participe passé "fait", employé avec le verbe AVOIR, s'accorde en genre et en nombre avec le COD, s'il est placé avant le verbe, ce qui est le cas ici:" qu'", mis pour proposition, est le COD du verbe faire. il faut donc écrire ce participe passé au féminin singulier,(comme proposition, F,S), soit FAITE.
La locution adverbiale tout à fait signifie « entièrement ». On peut donc l'employer dans des expressions comme : L'ouvrage est tout à fait terminé ou Elle est tout à fait guérie.
On écrit toujours « j'ai fait ».
Il s'agit de conjuguer le verbe « faire » au passé composé, à la première personne du singulier. On utilise donc l'auxiliaire « avoir » et le participe passé du verbe « faire », qui est « fait » avec un « t ».
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
je ne sais pas ce que Wiktionnaire dit, mais "Fais attention" à l'impératif est la seule expression grammaticalement correcte. Comme tu l'as dit, l'impératif de "faire" à la deuxième personne est "fais", pas "fait".
Si on envoie un seul bisou à quelqu'un, on écrit gros bisou en laissant ce mot au singulier. Si on en envoie plusieurs, alors ce mot reçoit un s de pluriel et on écrit gros bisous . Exemples : gros bisous à toute la famille , des gros bisous à tout le monde , on te fait plein de gros bisous .
On écrit on t'aime , sans t à la fin de on et avec la terminaison -e pour le verbe.
On écrit "les pommes que j'ai mangées", mais on n'orthographie pas "les heures que j'ai passées". On note plutôt "les heures que j'ai passé" et on rédige aussi "le chat qui a mangé la souris".
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
« En » est ici un pronom neutre singulier qui signifie « de cela ». Le participe passé qui s'accorde avec « en » ne se met donc ni au féminin ni au pluriel : il reste invariable. Des erreurs, j'en ai commis.