1- Le frein le plus efficace est le frein avant, il faut l'utiliser et puissamment pour ralentir fortement en peu de temps, 2- Le frein le plus dangereux est le frein avant, un blocage de la roue avant entraîne (presque) systématiquement une perte d'adhérence, donc une chute.
On va donc freiner de l'avant, à deux ou trois doigts, éventuellement avec du frein arrière d'abord (en premier, pas en même temps) pour mieux asseoir la moto. Le point le plus important : il faut de préférence avoir relâché le levier de frein avant au moment d'engager le virage, quand la moto commence à pencher.
Le frein moteur ne sert à rien en cas de freinage d'urgence ! Il ne permet pas à la voiture de stopper totalement. L'utilisation du frein moteur couplé au frein est importante pour s'arrêter en douceur et avertir les usagers qui vous suivent, à l'aide des feux-stop.
Lorsque le nombre de tours se situe entre 1000 et 1500 tr/min, le conducteur doit changer de vitesse en passant à la vitesse inférieure, c'est-à-dire rétrograder.
Sur des berlines classiques, le meilleur moment pour rétrograder pour la troisième se situe aux alentours des 2 500 ou 3 000 tr/min, soit une vitesse de 70 à 100 km/h (cela varie beaucoup en fonction des moteurs), et le passage en seconde doit se faire aux alentours de 2 000 tr/min, soit une vitesse de 40 à 60 km/h X ...
1- Le frein le plus efficace est le frein avant, il faut l'utiliser et puissamment pour ralentir fortement en peu de temps, 2- Le frein le plus dangereux est le frein avant, un blocage de la roue avant entraîne (presque) systématiquement une perte d'adhérence, donc une chute.
Evitez de freiner car le transfert de charge vers l'avant du véhicule entraîne une diminution de l'adhérence de l'arrière de la voiture qui augmente d'autant le risque de dérapage. Accélérez uniquement une fois que les roues avant de votre véhicule sont droites.
Le point essentiel est de rouler « serré en bas, relâché en haut ». Tout le bas du corps doit être au plus près de la moto : pieds, genoux, cuisses, bassin. Vous devez multiplier les points de contact avec la machine, la serrer entre vos jambes, pour mieux la sentir et influer sur elle.
C'est ce qu'on appelle déhancher, ce qui sert à repousser au maximum sa moto vers le haut et déplacer son centre de gravité pour la garder le plus perpendiculaire possible du sol, offrant ainsi un meilleur grip du pneu, plus de sécurité et plus de vitesse.
Utilisez le moins possible votre frein avant dans le virage, et avec parcimonie le frein arrière. N'accélérez pas trop vite pour ne pas faire déraper la roue arrière. Évitez de braquer brutalement. Avec l'habitude, le motocycliste expérimenté aura tendance à prendre ses virages sans réduire son allure.
Le mieux est de la faire légèrement pencher à gauche et de la garder penchée. Pour cela, braquez le guidon à fond vers la droite et gardez serré le levier de frein avant. La moto va pencher à gauche. Ensuite, décollez le pied droit du sol, sans le monter trop haut.
Cela permet de diminuer l'angle d'inclinaison de la moto pour une même vitesse, donc d'aller plus vite à l'inclinaison maximum. On roule moins sur le bord du pneu et le carénage ne touche pas la route.
Abordez le virage à une vitesse d'environ 60 km/h.
C'est la vitesse idéale pour prendre un virage. Avec une boite manuelle, passez votre virage en deuxième (cela risque de faire rugir le moteur !) ou en troisième.
- Serrer à l'intérieur de la courbe, - Éviter de freiner ou d'accélérer. Les roues arrières ou avant risquent d'être légères et de déraper. - Éviter d'engager un dépassement et se protéger contre les mauvaises manoeuvres des autres usagers.
En changeant de vitesse, on actionne l'embrayage qui va transmettre l'information au moteur, puis aux roues. Quand on débraye, on appuie sur le levier d'embrayage ; par conséquent, la liaison entre le moteur et les roues est interrompue pour pouvoir changer de vitesse.
En cas de freinage d'urgence une moto parcourt 3 mètres de plus qu'une voiture à 50 km/h et 9 mètres de plus à 80 km/h.
Placez le pied droit sur la pédale de frein. Appuyez de manière dégressive, c'est à dire assez fortement au départ, puis relâchez doucement la pression en fonction de la distance que vous devez parcourir. Relâchez la pédale de frein quand vous avez atteint la vitesse ou le point désiré
Enfin, AVANT d'arriver sur le virage (une fois qu'on est dans le virage c'est trop tard pour bouger sur la selle de sa moto), décale et sort une fesse de ta selle du côté du virage. Cela te permettra de te déhancher pendant le virage et bien sûr, au moment où tu entres dans le virage, d'écarter le genou intérieur.
La direction de la moto est alors contrôlée par le guidon et la position du motard. Pour tourner à droite, on tourne le guidon à droite, on pousse à gauche et on tire à droite. Mais à vive allure – au-delà de 35km/h – la rotation d'une roue engendre un effet gyroscopique, qui permet de maintenir la roue en équilibre.
L'Espagnol est rentré dans le Livre Guinness des records avec l'inclinaison la plus forte d'une Moto GP enregistrée à ce jour. Quasiment couché sur le bitume, le pilote Hondaa est parvenu à obtenir un angle de 68 degrés avec sa machine dans le virage n°12 du circuit situé non loin de Brno.
Au moment de se pencher, le motard doit appuyer sur le pied gauche et incliner le genou droit vers le cadre de la bécane. Ça permet de bien sentir son centre de gravité. Quand le virage à gauche est très accentué, il faut également veiller à ne pas exposer sa tête sur la voie en sens inverse.
Pour savoir jusqu'où on peut angler avec une moto, c'est simple : sur terrain plat la faire basculer des 2 côtés et demander à une tierce personne de prendre une photo dès que ça touche.
S'aider du repose-pied
Le réflexe naturel du motard, habitué à monter et descendre par la gauche de sa moto, sera donc de poser le pied gauche sur le repose-pied gauche, les deux mains sur le guidon, avec le guidon droit ou braqué vers la droite, en position d'accueil.
En effet, en s'élançant en deuxième rapport plutôt qu'en premier, on provoque une usure prématurée de l'embrayage. La transmission manuelle étant ainsi conçue, le fait de démarrer en deuxième rapport fait davantage glisser l'embrayage que si on décollait avec le premier rapport comme il est prévu.
Par conséquent, un seul pied sera nécessaire au sol, lors de l'arrêt, le pied gauche. Pour assurer le déséquilibre volontaire du côté gauche, à l'arrêt, il suffira de faire un léger virage à droite à environ 1 km/h afin de provoquer une très légère inclinaison de la motocyclette sur son côté gauche.