La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
- au subjonctif : après un verbe principal exprimant la volonté, le doute (Il veut que tu croies en lui. Il demandait que tu cédasses), après un verbe principal exprimant un fait simplement envisagé ou souhaité (Je ne crois pas que l'amour soit suffisant.
Il faut écrire : Après que vous aurez rempli le questionnaire, vous le remettrez à l'appariteur. Dans une proposition introduite par « après que », le verbe n'est jamais au subjonctif. On a affaire ici à un futur antérieur de l'indicatif.
À la différence de avant que, qui implique une notion d'éventualité, après que, marquant que l'on considère le fait comme accompli, introduit une subordonnée dont le verbe doit être mis à l'indicatif. Je rentrerai après que la nuit sera tombée. Il est parti après que nous l'avons tous salué.
Selon la règle traditionnelle, la locution conjonctive après que demande que le verbe de la proposition subordonnée soit conjugué au mode indicatif et à un temps qui soit compatible avec celui du verbe de la proposition principale. Je le payai après qu'il eut fini. Je le payais après qu'il avait fini.
Avant que est suivi du subjonctif. Après que est suivi de l'indicatif.
Adam et Ornicar
Mais où est donc Ornicar ? Classique interrogation pour retenir la liste des conjonctions de coordination : Mais, ou (sans l'accent), et, donc, or, ni, car. Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre.
- subordonnée complétive introduite par : que , à ce que, de ce que... On emploie le subjonctif si la valeur de vérité de ce qui est dit est mise en doute sinon on emploie l'indicatif.
On utilise le subjonctif dans ce cas pour indiquer le doute. Par exemple: Je cherche une personne qui peut m'aider. (Il existe une personne qui est capable de m'aider.
Je sais que où que est toujours suivi du subjonctif. Où que je sois allée, il n'y avait pas un chat.
Ici “bien que” indique que le fait d'avoir étudié n'a pas eu de répercussions, de conséquences sur la réussite à l'examen. Autrement dit la conjonction “bien que” s'utilise pour exprimer une concession. Elle permet d'affirmer qu'un fait a eu lieu mais que ce même fait n'a pas de conséquence sur un autre fait.
Bonjour, La locution conjonctive sans que introduit une subordonnée complément circonstanciel de manière. Après sans que on met le subjonctif. Les dents lui poussèrent sans qu'il pleurât une seule fois.
Il y a quatre temps au subjonctif : le présent, le passé, l'imparfait et le plus que parfait. Seuls les deux premier sont couramment utilisés.
Mieux avisé, A. Lemaire, en 1862, apporta d'utiles distinctions : jusqu'à ce qu'est suivi du subjonctif quand on veut marquer le but de l'action, mais l'indicatif si l'on veut indiquer seulement " une circonstance de temps ".
Le subjonctif est utilisé dans la subordonnée quand le verbe de la principale est subjectif et exprime généralement un sentiment : le souhait, le désir, la peur, le regret, la volonté, la crainte, l'incertitude, le doute, Exemples: Je désire que tu viennes. Je crains qu'il ne comprenne pas.
Le subjonctif est utilisé quand l'action est supposée, douteuse, désirée ou dépend d'un sentiment, d'un ordre aussi. Remarquons la conjonction que qui introduit le subjonctif dans les 3 phrases. Le conditionnel est utilisé quand l'action est soumise à une condition, à une hypothèse.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
La proposition subordonnée complétive a le plus souvent une fonction de COD ou COI dans la phrase. Elle est introduite par - que -. Son verbe peut être, selon le sens, conjugué à l'indicatif (fait réel), au conditionnel (condition) ou ausubjonctif (après -il faut que-).
Les adverbes de liaison et de relation logique
Liste d'adverbes de liaison et de relation logique : par conséquent, donc, ensuite, en revanche, encore, même, par ailleurs, en revanche, cependant, néanmoins, certes, enfin, tout de même, pourtant, toutefois, par contre, seulement, ainsi, alors, puis…
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
Après certains verbes : le subjonctif s'emploie dans la subordonnée si le verbe de la principale exprime le doute, l'improbabilité, la volonté, le désir, la défense, la nécessité, la possibilité, l'impossibilité ou un sentiment. Je doute que vous arriviez à temps.
Le gérondif est la forme adverbiale du verbe, qui indique les circonstances de l'action exprimée par le verbe de la phrase auquel il se rapporte. C'est un mode impersonnel, car il n'a pas de désignation spéciale de la personne grammaticale, mais il a pour sujet le même que celui du verbe principal.
Les terminaisons du subjonctif sont les suivantes : -e, -es, -e, -ions, -iez, -ent (sauf pour avoir et être). Elles s'ajoutent, en général, au radical du participe présent. Certains verbes du 3e groupe se conjuguent sur deux radicaux.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ».