Les points de suspension (…), aussi appelés trois points ou anciennement points suspensifs, indiquent que la phrase est laissée en suspens (comme l'indique le terme suspension), soit parce que le locuteur a été interrompu, soit parce que l'auteur veut marquer une pause; il revient alors au lecteur d'imaginer la suite.
Les points de suspension servent principalement à : Signaler une interruption, notamment dans une énumération. Ils servent en outre à marquer une réticence, et peuvent exprimer les sentiments les plus divers, comme la crainte, l'étonnement, la confusion : J'ai lu des rapports, des comptes rendus, des procès-verbaux…
Ils peuvent être le signe d'une certaine hésitation, d'une indécision ou d'une réticence. Ils peuvent aussi symboliser une situation ou une action inachevée. Dans tous les cas, il sera fait appel à l'imagination du lecteur pour deviner quel est le sens le plus probable dans le contexte de la conversation.
Le point d'exclamation sert à exprimer un sentiment, comme la joie, l'étonnement, la crainte, l'admiration, l'indignation, l'ironie, le chagrin, la douleur, etc. Il accompagne habituellement un cri, une injure, une interjection, une apostrophe, un ordre, une imploration, etc.
Quand utiliser les points de suspension ? Les points de suspension, qui sont toujours au nombre de trois, servent à indiquer : qu'une phrase est inachevée : N'insistez pas, dit-elle, je ne peux pas croire…
Les points de suspension (…), aussi appelés trois points ou anciennement points suspensifs, indiquent que la phrase est laissée en suspens (comme l'indique le terme suspension), soit parce que le locuteur a été interrompu, soit parce que l'auteur veut marquer une pause; il revient alors au lecteur d'imaginer la suite.
Majuscule ou minuscule après le point d'exclamation
Après une interjection suivie d'un point d'exclamation, on emploie la majuscule si l'on considère que ce signe de ponctuation marque la fin de la phrase; sinon, on emploie la minuscule.
Une émotion masquée
Ils apportent une information supplémentaire de l'ordre de l'émotion au seul énoncé strict", décrit Louise-Amélie Cougnon. Il s'agit généralement d'un sentiment masqué, ce qui relève bien souvent d'un réflexe de pudeur ou d'orgueil, selon le psychologue et psychanalyste Michael Stora.
- Le point (final) se place à la fin d'une phrase et en marque ainsi la limite droite, la limite gauche étant marquée par la majuscule. Le point final est directement placé après le dernier mot. Pour commencer une autre phrase, il faut une espace entre le point final et la majuscule de la phrase suivante. Le chat dort.
Les trois points peuvent indiquer qu'elle est sans voix ou exaspérée. Il est possible que la fille n'ait pas les mots pour exprimer ce qu'elle ressent et qu'elle utilise alors « … » pour vous le faire comprendre.
Les points de suspension se placent généralement devant la virgule et le point-virgule : La littérature, la politique, l'histoire…, tous les sujets l'intéressent.
Les points de suspension sont représentés par trois points alignés horizontalement au niveau de la ligne de base d'écriture : classiquement par la suite de trois fois le caractère « point » ‹ ... › ou par le caractère unique « points de suspension » ‹ … ›.
Les deux points séparent toujours des éléments qui sont unis par un lien logique étroit. Ce signe est également appelé les deux-points, le double point et, plus particulièrement dans la langue de la typographie, le deux-points.
Comme le note Alain Riffaud dans La Ponctuation du théâtre imprimé au XVIIe siècle, les points de suspension sont une simple convention inventée par les typographes français du XVIIe siècle afin de représenter textuellement une indication scénique. En l'occurrence, l'interruption du dialogue d'un personnage.
Ainsi, selon Le bon usage de Grevisse, les signes de ponctuation sont : le point (.), le point d'interrogation (?), le point d'exclamation (!), la virgule (,), le point-virgule (;), le deux-points (:), les points de suspension (…), les parenthèses ( ), les crochets [ ], les guillemets « », le tiret (—) et la barre ...
Des chercheurs se sont penchés sur la ponctuation dans les SMS. Il ressort de leurs études que le point d'exclamation montre un message sincère, que le point en fin de phrase est mal perçu dans un SMS alors que dans le langage écrit » normal « il est parfaitement perçu.
Vous pouvez par exemple écrire quelque chose du genre : « merci pour cette soirée amusante ! J'espère que ce ne sera pas la dernière ? » Si vous êtes certain(e) que l'autre vous apprécie, vous pouvez prendre votre courage à deux mains et écrire quelque chose comme : « j'espère rêver de toi ce soir ! »
Activez ensuite votre connexion Internet (Wi-Fi et/ou données mobiles), puis rendez-vous dans les paramètres des "Fonctionnalités de chat" de votre téléphone portable, et activez l'option "Envoyer des confirmations de lecture". Vous pouvez dorénavant voir si votre message a bien été lu par votre interlocuteur.
Les guillemets peuvent n'encadrer qu'un court segment de texte (un mot ou un groupe de mots). L'élément entre guillemets est le seul qui ne soit pas assumé par le locuteur. Il ne commence pas par une majuscule est n'est pas introduit par les deux points. La ponctuation finale se place après les guillemets.
On ne met pas de point ou de majuscule à l'intérieur des guillemets, sauf si ceux-ci contiennent une phrase complète.
Ho, oh et ô : l'emploi du point d'exclamation
où le point se trouve à la fin de l'expression. Si l'interjection est répétée, on peut ne placer le point d'exclamation qu'après la dernière occurrence et séparer les autres par une virgule, ou alors faire suivre chaque interjection du point d'exclamation.
Le point d'interrogation ? se met à la fin de la phrase qui exprime une demande : Où vas-tu ? Le point d'exclamation ! se met après une interjection ou à la fin d'une phrase exprimant admiration, douleur, joie, etc. : Quelle surprise !
Vers 1360, Iacopo Alpoleio da Urbisaglia, l'auteur de Ars punctuandi, revendique l'invention du point d'exclamation (alors appelé point admiratif), composé d'une barre penchée à droite et de deux points au-dessous – rappelant la forme du scandicus, neume (notation musicale), marquant des notes ascendantes.
« Où es-tu ??? » avec trois points d'interrogation signifie que l'on s'inquiète, qu'on a hâte de revoir son ami, qu'on craint pour lui, qu'on est impatient ou alors vraiment en colère.