Il est recommandé de commencer la vaccination dès l'âge de 2 mois, pour suivre le calendrier régulier. L'enfant prématuré, lui aussi, doit recevoir son premier vaccin 2 mois après sa naissance.
Cela permet au système immunitaire des bébés de réagir de la bonne façon à ces bactéries. Il est important de donner ces vaccins dès l'âge de 2 mois, car c'est à ce moment que le risque de contracter ces maladies est le plus élevé et le plus grave.
A 2 mois ? – Diphtérie, tétanos, poliomyélite, coqueluche, Hæmophilus influenzæ b : une première injection de ces vaccins (il existe un vaccin permettant de protéger contre les cinq maladies) est recommandée à tous les enfants.
Les vaccins obligatoires restent ceux contre les maladies suivantes : diphtérie, tétanos, poliomyélite. Une injection est à réaliser à 2 mois, puis une deuxième à 4 mois, complétées par un rappel à 11 mois. Les autres rappels sont effectués à 6 ans, puis entre 11 et 13 ans (selon le calendrier vaccinal en vigueur).
La vaccination est destinée aux enfants âgés de 5 à 15 ans révolus présentant un facteur de risque de tuberculose identifié et après test tuberculinique. l'obligation vaccinale par le BCG n'existe plus pour les professionnels de santé et du secteur social.
Au 1er janvier, les obligations vaccinales pour les jeunes enfants passent donc de 3 – diphtérie, tétanos, poliomyélite – à 11 vaccinations avec la coqueluche, le ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole), l'Haemophilus influenzae de type B, l'hépatite B, le pneumocoque et le méningocoque C en plus.
Il est possible d'avoir un peu de fièvre, des maux de tête ou des courbatures. Un enfant en bas âge peut également avoir moins d'appétit que d'habitude, être un peu somnolent ou grognon. Ce sont des réactions très fréquentes et normales, qui ne durent pas plus de deux jours après la vaccination.
Un professionnel de santé peut évidemment ne pas vacciner un enfant présentant un état de santé particulier, par exemple lié à une pathologie, qui constituerait une contre-indication médicale avérée à la vaccination. Le médecin établira alors un certificat de contre-indication.
Il est donc nécessaire de vacciner le nourrisson dès son plus jeune âge avant qu'il ne rencontre ces maladies. Les anticorps transmis par la mère durant la grossesse diminuent au fil des mois. La vaccination de l'enfant permet de prendre le relais de la protection transmise par sa mère.
les personnes atteintes de problèmes chroniques comme les maladies pulmonaires, cardiaques ou rénales ou le diabète; les nouveau-nés, trop jeunes pour être vaccinés contre la plupart des maladies; les personnes âgées qui peuvent être plus vulnérables aux complications des maladies.
Encouragez votre enfant à respirer lentement et profondément avant, pendant et après l'injection. La respiration profonde le distraira en plus de le détendre. Si votre enfant veut regarder l'injection, laissez-le faire. Certains enfants supportent mieux la vaccination s'ils peuvent regarder l'injection.
Notre pédiatre nous a conseillé lors des vaccins de donner du paracétamol le soir du jour de vaccination, non seulement pour éviter la fièvre, mais aussi pour éviter les douleurs liées à l'injection.
Si le nourrisson ne peut être mis au sein, lui faire boire un peu d'eau sucrée au moins deux minutes avant l'injection du vaccin. D'autres méthodes peuvent être utilisées : doudou, distraction, jouet, musique… Il est inutile de donner du paracétamol (médicament antidouleur) avant la vaccination.
Pour faire baisser la température du bébé, on utilise habituellement le paracétamol. Il est aussi possible de recourir à l'ibuprofène et à l'aspirine sauf chez les nourrissons de moins de 3 mois.
On vous préconise tout d'abord de ne pas trop couvrir bébé, l'habiller avec des vêtements légers, ou le laisser en body. Il est également important que sa chambre ne soit pas surchauffée, la température ambiante idéale étant de 18° à 20°C.
Comment administrer un médicament à un bébé
Pour lui donner son médicament, tenez votre bébé dans le creux de votre bras, comme si vous lui donniez à boire. Placez ensuite la seringue orale graduée dans sa bouche en l'orientant vers l'intérieur de sa joue afin d'éviter qu'il s'étouffe avec le liquide.
Il s'agit des vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), l'hépatite B, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites), les infections invasives à pneumocoque (bactérie provoquant ...
Le BCG est un vaccin qui permet de protéger les nourrissons et les enfants contre les formes graves de la tuberculose. La tuberculose est une maladie infectieuse due à une bactérie, qui atteint le plus souvent les poumons mais qui parfois peut atteindre d'autres organes.
Le vaccin BCG est utilisé pour l'immunisation active contre la tuberculose, en particulier pour protéger les jeunes enfants des formes graves de tuberculose dont certaines méningites.
Enfant né avant 2018. Les vaccinations obligatoires sont les suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP). Et, pour les résidents de Guyane, la fièvre jaune, à partir de 1 an. Les personnes titulaires de l'autorité parentale doivent veiller au respect de cette obligation.
D'autres vaccins restent encore facultatifs mais conseillés : le BCG, le papillomavirus humain, la grippe et le zona.
Le patch se pose sur la face antéro-latérale des cuisses ; dans le tiers supérieur. Pour les petits, jusqu'à 2 mois, on pose 1/2 patch par cuisse, pour les plus grands de 3-11 mois on peut effectivement utiliser un patch par cuisse.