Certains aliments contiennent de la progestérone. C'est le cas : des œufs, le jaune en particulier, des produits laitiers à base de lait de vache et de la volaille. ► La progestérone est une hormone sécrétée principalement chez la femme, dans les ovaires.
Il est donc nécessaire de la privilégier lorsqu'on cherche à augmenter naturellement sa progestérone. On trouve de la vitamine B6 dans les légumineuses (pois chiche, notamment), dans les poissons (saumon, thon, morue), dans les oléagineux (noisettes, pistaches) ainsi que dans les graines (tournesol, lin, sésame…).
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.
En cas de manque de progestérone, la prise de gattilier peut également aider. Des études mineures ont montré que les ingrédients actifs des graines harmonisent l'équilibre hormonal féminin et peuvent avoir un effet positif sur la fertilité.
De la même manière que pour les femmes enceintes, le ventre peut être gonflé durant le cycle menstruel. Et ces ballonnements sont, une fois encore, dus à l'augmentation de progestérone qui peut entraîner des inconforts intestinaux, dont des gaz.
Le taux sanguin de progestérone est insuffisant en cas d'insuffisance lutéale, de sécrétion insuffisante d'hormone FSH, d'insuffisance ovarienne, d'hyperandrogénie et d'hyperprolactinémie.
La progestérone est une autre hormone féminine qui sert à préparer l'utérus pour une grossesse. Elle est produite dans la seconde moitié du cycle menstruel après l'ovulation, période pendant laquelle ses taux augmentent pendant quelques jours puis diminuent en l'absence de fécondation.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
Pour améliorer la qualité de l'endomètre et favoriser la nidation de l'embryon, un traitement peut être proposé durant la phase lutéale (seconde partie du cycle, après l'ovulation), à base de progestérone ou de dérivés : dihydrogestérone (par voie orale) ou progestérone micronisée (voie orale ou vaginale).
Le rôle principal de la progestérone est de favoriser la nidation de l'ovule fécondé et la gestation. La progestérone modifie les caractères vasculaires et chimiques de la muqueuse utérine pour la rendre propice à l'implantation de l'œuf dans l'utérus.
Quels sont ses effets? La progestérone appartient à la classe des médicaments appelés progestatifs. Elle s'utilise après la ménopause en complément d'une œstrogénothérapie de substitution (ETS) pour prévenir le dépôt d'œstrogènes sur la muqueuse de l'utérus (hyperplasie endométriale).
L'alchémille est une plante connue pour ses bienfaits sur le corps féminin. Son action, mimant celle de la progestérone (progestérone-like), permet de prévenir et de réduire les troubles liés au syndrome prémenstruel, à la pré-ménopause et aux règles abondantes.
Causes d'infertilité relatives au déséquilibre hormonal
Une production diminuée ou une non-production de l'hormone folliculo-stimulante (FSH) provoque le développement partiel uniquement des follicules ovariens. Les ovaires, par conséquence, ne produisent pas d'ovules matures.
DHEA : l'hormone de jeunesse pour une belle peau.
Voie orale : prendre les capsules à distance des repas, de préférence le soir au coucher.
Calcium. Il s'agit d'une substance essentielle pour l'équilibre des hormones sexuelles. Dans ce contexte, ce sont les produits entiers qui sont les plus riches en calcium. Il est conseillé de consommer deux laitages entiers par jour pour favoriser l'ovulation.
Pour traiter les symptômes de la ménopause, on utilise donc des suppléments d'œstrogènes afin de compenser la diminution de leur production par le corps. Si l'utérus de la femme est toujours présent, on ajoute un supplément de progestérone.
Outre le fait qu'elle prépare l'endomètre à accueillir l'ovule fécondé, la progestérone est l'une des hormones les plus importantes pendant la grossesse, car elle favorise l'élasticité des tissus corporels afin qu'ils s'adaptent à l'augmentation de volume du bébé.
Ce qui aide à la ménopause
Œstrogène végétal: le soja, les graines de lin et le trèfle rouge contiennent des substances analogues aux œstrogènes, qui atténuent les bouffées de chaleur. Le millepertuis: des études établissent l'effet antidépresseur du millepertuis, surtout sous forme d'extrait concentré.
La testostérone au niveau du cuir chevelu se transforme par le biais d'une enzyme : la 5 alpha réductase en dihydrotestostérone : DHT. C'est cette DHT qui est la cause de la chute des cheveux.
La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM. « Les femmes sont plus critiques à l'égard de leur corps durant la phase lutéale [post-ovulatoire] du cycle, entre l'ovulation et les règles, dit Mme Klump.
Lors de la ménopause, des troubles tels que des bouffées de chaleur, troubles vaginaux (sécheresse), prise de poids ou encore troubles de l'humeur peuvent apparaître, ainsi qu'une augmentation du risque d'ostéoporose. Ces troubles sont liés à une carence en œstrogènes.