Les légumes secs et légumineuses, une fois par semaine
Les légumes secs et les légumineuses (Haricots secs, fèves, lentilles, lupins, pois chiches…) sont sources de fibres, vitamines, protéines, fer … et sont de véritables carburants pour l'organisme !
Après analyse statistique, les résultats montrent que les grands consommateurs de flavonols (oignons, pommes), d'anthocyanines (myrtilles et baies rouges, et vin rouge) et de polymères de flavonols (thé) ont 2 à 4 fois moins de risque d'avoir une maladie d'Alzheimer que les personnes qui en consomment moins.
Mais il lui faut pour cela 3 vitamines : B6, B12 et folates. Plusieurs études montrent que la prise de ces 3 vitamines peut réduire l'atrophie cérébrale jusqu'à 7 fois.
Une épice anti-Alzheimer que vous avez probablement dans vos placards. Il s'agit de la cannelle. Les personnes malades d'Alzheimer ont des amas caractéristiques de protéines Tau dans le cerveau. Or, la cannelle contient de l'aldéhyde cinnamique (de cinnamon, qui veut dire cannelle en anglais et en latin).
Accident vasculaire cérébral, traumatismes crâniens, diabète, médicaments, etc.: de nombreux facteurs favorisent l'apparition de démences et la perte de la mémoire.
Comment prévenir les troubles de la mémoire ? Manger sain : Consommer des aliments riches en antioxydants et oméga-3 contribue au contrôle de l'oxydation des cellules du cerveau. Faire du sport : L'exercice physique participe au développement des neurones et baisse le risque de troubles de la mémoire.
Selon des chercheurs lillois, la caféine serait d'abord bonne pour la mémoire, car elle stimule l'hippocampe. Cette zone du cerveau essentielle favorise l'apprentissage et la mémorisation. En la faisant travailler, la caféine réduirait les risques de la maladie d'Alzheimer par exemple.
La maladie touche 23% de la population après 80 ans. Après 65 ans, elle concerne environ deux fois plus de femmes que d'hommes. Compte tenu du vieillissement démographique, des travaux annoncent un doublement du nombre de cas d'ici à 2050.
le faible niveau d'instruction ; Les facteurs de risques cardiovasculaires: l'hypertension artérielle non traitée, les accidents vasculaires cérébraux, l'hypercholestérolémie, le diabète, le surpoids, l'obésité ; le sexe féminin ; les facteurs environnementaux (tabac, alcool, pollution, certains médicaments…)
Âge, génétique et environnement, le cocktail des facteurs de risque. Le principal facteur de risque de maladie d'Alzheimer est l'âge : l'incidence de la maladie augmente après 65 ans et explose après 80 ans. L'environnement joue également un rôle important.
Des troubles du sommeil croissants avec le temps
Ainsi, les personnes touchées se plaignent volontiers d'une altération de la qualité de leur sommeil, d'insomnie, de désorganisation du rythme veille/sommeil, voire de déambulation nocturne au point de rendre la vie au domicile impossible.
On distingue souvent trois stades de démence : déclin cognitif léger, déclin modéré, déclin sévère.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.
Des chercheurs ont démontré dans une nouvelle étude qu'à partir de 40 ans, le stress peut réduire le volume cérébral, altérer la mémoire et amoindrir les fonctions cognitives.
L'agressivité fait partie de ces symptômes neuropsychiatriques et constitue un trouble du comportement fréquent chez les sujets présentant une démence. Les personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer ont tendance à se faire des illusions. Elles peuvent imaginer, par exemple, que leur famille les vole.
Incertitudes et insatisfactions, sentiment d'isolement, d'incompréhension, de peur, de révolte, les causes de l'agressivité physique ou verbale sont aussi diverses que nombreuses. La maladie d'Alzheimer est une atteinte à l'image de soi et à l'indépendance.
Une équipe de chercheurs de l'Université de Californie à Los Angeles (États-Unis) a découvert qu'un apport en oméga-3 et en vitamine D a permettrait de stimuler le système immunitaire afin qu'ils détruisent les protéines bêta-amyloïdes, responsables de la dégénérescence des neurones.
Les fruits rouges
Or, dans les bleuets, canneberges, mûres ou framboises, se concentrent de fortes doses d'antioxydants, qui combattent les radicaux libres et boostent notre cerveau.
Le flavanol contenu dans le cacao contribuerait à freiner le déclin naturel de la mémoire lié à l'âge, selon une récente étude américaine.
Les vitamines du groupe B et plus particulièrement les vitamines B1, B5, B6, B9 et B12 jouent un rôle primordial dans le maintien de fonctions cognitives et psychologiques normales (telles que la mémoire). Les omégas 3 sont également fondamentaux dans les différents processus cérébraux.