Tortue de mer avalant un sac en plastique ressemblant beaucoup à une méduse qui est l'un de ses aliments naturels.
Ces larves du papillon Galleria mellonella, aussi connu sous le nom de fausse teigne de la cire, ont acquis une renommée mondiale en 2017, lorsque leur incroyable capacité à manger du plastique a été découverte par hasard. Chenille de Galleria mellonella en train de manger un bout de sac plastique en polyéthylène.
Empoisonnement: Le plastique est une matière poreuse qui, en plus de contenir des substances nocives dans leur composition, absorbent les toxines présentes dans les océans. Le plastique se transforme donc en une vraie « bombe » chimique mortelle pour les animaux qui l'ingurgitent.
L'ingestion de déchets plastique est une autre cause de mortalité, qui affecte environ 660 espèces. Les oiseaux de mer piquent les morceaux de plastique flottants, et les tortues les confondent avec des méduses. Les grands cétacés à fanons filtrent l'eau de mer, ingérant d'importantes quantités de microplastiques.
Le plastique pollue toute la Planète. On le trouve partout : au fond des océans, sur les chemins des forêts les plus lointaines, dans les glaces de l'Arctique et jusque sur les plages où les tortues font leurs nids.
L'industrie des plastiques conçoit, fabrique (plasturgie) et commercialise des matériaux polymères — communément dénommés « plastiques » — utilisés pour de nombreux usages ( ex. : emballage, construction, électronique, industrie aérospatiale, transport, agriculture, sylviculture, jouets, gadgets, sans oublier les ...
Le cochon est digne de mention, quoiqu'il produit bien moins de méthane que les autres espèces dans cette liste avec sa moyenne de 3 livres de méthane par année.
Un tout petit déchet en soit. Mais en multipliant cette donnée par des milliards, le mégot arrive en tête du « Top 10 des déchets marins », selon l'association SurfriderFoundation Europe. Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans.
Quels sont les animaux les plus touchés par la pollution marine ? Si les tortues sont particulièrement concernées par cette hécatombe*, les lions de mer, les dauphins, les baleines, les phoques et les oiseaux marins sont eux aussi.
On pense aux oiseaux de mer qui piquent les détritus flottants, et aux tortues retrouvées étouffées par des sacs plastiques, qu'elles confondent avec des méduses. Les sacs plastiques, notamment, provoquent des occlusions intestinales - un blocage de l'intestin - qui empêchent les mammifères et poissons de se nourrir.
On sait enfin pourquoi les tortues marines adorent manger du plastique : à cause de leur odeur. Le plastique continue de polluer l'environnement et de menacer la faune marine de nos océans. La tortue marine fait partie des espèces les plus touchées par les ravages des déchets plastiques.
Cela concerne toutes les espèces marines. Le bruit des océans change radicalement le comportement des animaux. Cette pollution leur crée du stress et les fait fuir de leur habitat. Elle réduit la capacité des animaux à communiquer, naviguer, localiser des proies, éviter les prédateurs et trouver des partenaires.
Traitement chimique sur les cadres et hausses : la substance chimique la plus utilisée est l'anhydre sulfureux, ou vapeur de souffre. Le traitement ne tue pas les œufs ; il est donc à renouveler à 14 jours d'intervalle.
L'étude révèle ainsi que Singapour est en tête des pays qui produisent le plus de déchets plastiques à usage unique par habitant, avec 76 kilogrammes (kg) par personne en 2019.
Ainsi, en 2020, la Chine arrive en tête d'un tel classement avec des émissions de CO2 représentant 9 899 millions de tonnes, soit plus de 30 % des émissions mondiales. Les États-Unis sont à la deuxième place avec 4 457 millions de tonnes de CO2 émis (13,8 % du total mondial).
Avion vs voiture, qui est le plus polluant ? Selon le simulateur “Mon Impact Transport” de l'Ademe, sur un trajet de 500 km, la voiture individuelle émet plus de 50 % de CO2 que le même trajet en avion.
Le putois a, en plus, la particularité de dégager une odeur très forte lorsqu'il se sent menacé. D'ailleurs, son nom l'indique bien puisqu'en latin, 'putor' signifie puanteur et 'putidus', puant. On parle plutôt du furet (Mustela putorius furo) lorsque le putois est domestiqué comme animal de compagnie.
Ces flatuosités, comme les appellent les médecins, sont la plupart du temps très malodorantes. Pourtant, la plupart des gaz libérés sont inodores : dioxyde de carbone, hydrogène et méthane. Mais le pet contient aussi du sulfure d'hydrogène, célèbre pour son odeur d'œuf pourri.
Le pet de chameau
Il rote et il pète. Sauf qu'en Australie ça commence à poser problème parce que la population de chameau s'accroît, or pour les scientifiques, les chameaux sont un des plus gros producteurs de dioxyde de carbone au monde avec leurs flatulences.
Le polyéthylène téréphtalate est obtenu par la polycondensation de deux monomères : l'acide téréphtalique et l'éthylène glycol. Ces molécules résultent de la transformation du pétrole. Pour obtenir 1 kg de PET, il faut 1.9 kg de pétrole brut. Refroidi brutalement, ce thermoplastique sera transparent.
Quelle est l'origine du plastique ? C'est en Égypte que les premiers plastiques sont nés à base de gélatine ou de caséine. Plus tard, d'autres civilisations ont utilisés des écailles de tortue, de l'ambre ou du caoutchouc. Ces matières étaient destinées à être chauffées et moulées pour être converties en objets.
Les plastiques sont généralement classés en trois types en fonction de leurs caractéristiques : thermoplastiques, thermodurcissables et élastomères.
La décomposition du verre
Pour terminer, le verre est le plus long à se décomposer en nécessitant en moyenne 4000 ans pour le faire.
Le tri des déchets et le recyclage permettent, avant tout, d'économiser des ressources naturelles. Au lieu d'extraire de nouvelles ressources du sol ou du sous-sol de la Terre (sable, pétrole…), on utilise de la matière existante (comme celle des emballages) pour produire de nouveaux objets et emballages.