Ainsi, les bois résineux, issus de conifères, produisent plus de gaz que la quantité nécessaire pour alimenter le feu. Résultat : l'excédent est éliminé « en force » des fibres du bois. C'est ce phénomène qui est à l'origine de ces crépitements.
Les bois les plus adaptés sont les feuillus durs comme le chêne, le charme, le hêtre, l'orme, le robinier ou le frêne, qui cumulent les atouts. Un stère de chêne fournit 1 700 kWh, contre 1 300 pour un stère de peuplier. Attention au châtaignier : c'est un feuillu dur, mais il éclate en brûlant.
Certaines essences d'arbres sont bien connues pour éjecter des escarbilles : les résineux, par exemple avec les pommes de pin, mais aussi des feuillus comme le châtaigner.
Le bois de hêtre est la référence en matière de bois de chauffage domestique. Fort pouvoir calorifique, une belle flamme, de bonnes braises, sans étincelle et une odeur agréable. Le chêne, le frêne et le charme sont aussi très appréciés pour le très fort pouvoir calorifique.
Choisir des essences à fort pouvoir calorifique
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.
Les bois mous tels les peupliers (tremble), les épinettes, le sapin, le cèdre, les pins etc. n'ont à peu près pas de valeur calorifique et ne sont bons que pour démarrer un feu.
Les feuillus durs (chêne, hêtre, frêne, châtaignier, charme, noyer, fruitiers, etc.) fournissent un bois de chauffage qui brûle plus longtemps que les résineux. Les résineux fournissent plus de chaleur pendant moins longtemps.
la propreté de la bûche, qui ne doit pas présenter de champignons ou de moisissures ; un bois humide crépite lors de la combustion et de la fumée plus foncée s'échappe du conduit d'évacuation. Vous pouvez également sentir la bûche : si elle ne présente pas d'odeur de sève, elle a plus de chance d'être sèche.
Le bouleau est un bois relativement tendre qui produit beaucoup de chaleur et ne provoque pas d'étincelles. Cependant, il brûle moins longtemps que d'autres essences.
L'écorce et l'aubier brûlent beaucoup moins bien que le duramen (partie centrale du tronc). C'est pourquoi, un bon bois de chauffage est toujours fendu.
Nous vous conseillons d'éviter les bois tels que le châtaignier et le platane. Ils ont tendance à éclater et peuvent donc être dangereux.
Les essences de bois qui provoquent des crépitements
Ainsi, les bois résineux, issus de conifères, produisent plus de gaz que la quantité nécessaire pour alimenter le feu. Résultat : l'excédent est éliminé « en force » des fibres du bois. C'est ce phénomène qui est à l'origine de ces crépitements.
Un poêle trop puissant ne fonctionnera pas de manière optimale: la combustion sera incomplète et ne produira pas de belles flammes. Voici ce qu'il faut faire pour avoir un joli feu dans votre appareil : Utilisez toujours du bois sec et non traité. Vos bûches doivent être à < de 20% d'humidité.
Le premier facteur qui pourrait expliquer que le bois que vous souhaitez utiliser comme combustible ne brûle pas est son taux d'humidité. Il s'agit en effet du premier facteur qui influe sur la qualité de votre flambée, c'est-à-dire sur l'intensité de la chaleur dégagé par le bois et sur sa durée de combustion.
La réponse est OUI car c'est une énergie locale et bon marché, dont le coût n'est pas soumis aux crises géopolitiques ni aux conflits internationaux comme le sont les énergies fossiles importés.
Les catégories sont donc : Les bois tendres, comme le peuplier ou le bouleau, offrent une combustion très rapide, car elle produit très peu de braises. Ils sont très utiles comme allume-feu, mais ne sont pas les plus adaptés pour un chauffage efficace.
Les différentes essences du bois: le hêtre et le chêne occupent les premières positions: pouvoir calorifique et bonne braise.
En règle générale, le temps de séchage du bois de chauffage va de 1,5 an à 3 ans.
Un taux d'humidité important dans le bois
Si votre bois est bien trop humide, alors il est tout à fait normal que celui-ci ne brûle pas mais devienne noir ! On ne le dira jamais assez : pour que votre bois brûle, celui-ci doit être sec, et cela peut prendre plus d'une année…
Fendre du bois permet de réduire le diamètre de votre bois de chauffage. Cela permet un gain d'espace pour son stockage, mais fendre du bois de chauffage permet surtout de favoriser son séchage et donc d'améliorer le pouvoir calorifique de vos bûches de bois.
L'amboine (Pterocarpus indicus), est un bois à grain fin et veinage enchevêtré utilisé en loupe sous forme de placage. Sa rareté et son prix sont élevés depuis le XX e siècle.
Comme nous le disions plus haut, certains bois ne donnent pas beaucoup de chaleur calorifique (tremble, épinette), mais représente une excellente forme de bois d'allumage. Vous pouvez aussi utiliser le bois de l'année précédente car ce bois est devenu, avec le temps, un bois très sec.
Le bois de cèdre rouge fait l'unanimité pour sa durabilité et sa faible densité, ce qui en fait une option de choix pour les bardages en bois massif. Considéré comme un matériau haut de gamme, il est plus cher que d'autres types de bois, avec un coût au mètre cube variant de 1900 € à 3200 €.
Les fumées et les odeurs se dégageant du sapin en feu peuvent incommoder votre entourage. Ils peuvent aussi alerter les services d'hygiène de votre mairie. Enfin, brûler vos arbres de Noël présente surtout un risque d'incendie qui peut être dramatique.