Le lymphome de Burkitt est un cancer qui se développe à partir des cellules (lymphocytes B) des ganglions mais aussi d'autres organes et en particulier la moelle osseuse, l'intestin, et les amygdales. C'est un lymphome non Hodgkinien qui évolue très rapidement (agressif).
Dans la majorité des cas, un lymphome hodgkinien se manifeste par une augmentation de volume d'un ou plusieurs ganglions.
Maladies liées aux ganglions
des maladies infectieuses comme la toxoplasmose et la mononucléose infectieuse, des cancers du sang comme les lymphomes et les leucémies, des maladies inflammatoires comme la sarcoïdose.
La présence de ganglions envahis traduit le pouvoir métastatique d'une tumeur et est le signe de la présence probable de métastases diffuses microscopiques. Elles rendent ainsi le pronostic plus incertain et incitent souvent à la prescription d'un traitement adjuvant de radiothérapie et/ou de chimiothérapie.
C'est aussi l'un des cancers que l'on soigne le mieux. Il se développe selon 2 pics de fréquence : chez de jeunes adultes, entre 20 et 35 ans, ou après 70 ans.
Il y a les facteurs génétiques et les facteurs environnementaux. Certains facteurs environnementaux comme l'exposition à des pesticides en particulier, à des substances comme des solvants, peuvent favoriser l'émergence de différents types de cancers, pas seulement des lymphomes, mais également des leucémies.
Les symptômes d'un lymphome qui doivent pousser à consulter sont les suivants : un épuisement général, des transpirations nocturnes, une perte d'appétit ou de poids inexpliquée, des démangeaisons, un gonflement et/ou des douleurs au niveau des ganglions lymphatiques.
Il faut absolument consulter un médecin sans tarder si : un ganglion reste gonflé ; le ganglion est dur au toucher ; l'adénopathie est généralisée.
Les ganglions sont présents en temps normal dans notre corps sans que cela soit une source d'inquiétude. Mais lorsqu'ils augmentent de volume et deviennent palpables (on parle d'adénopathie), il faut se méfier car cela peut correspondre au développement d'une infection ou d'une tumeur dans le territoire de drainage.
Les ganglions : dans la majorité des cas, leur gonflement ne dure pas plus d'une semaine. S'ils persistent davantage ou s'ils s'accompagnent de douleur, il faut consulter. « Seul un médecin pourra faire la différence entre un ganglion gonflé, douloureux mais bénin, d'un ganglion tumoral », souligne le Dr Bensoussan.
Chaque ganglion atteint par le cancer ne mesure pas plus de 2 mm.
C'est ainsi que se développe une leucémie (un cancer du sang) si cette accumulation se fait dans le sang et la moelle osseuse. On parle de lymphome (un autre type de cancer) lorsque cette accumulation se fait dans les ganglions et le système lymphatique.
Le lymphome de Burkitt est un cancer qui se développe à partir des cellules (lymphocytes B) des ganglions mais aussi d'autres organes et en particulier la moelle osseuse, l'intestin, et les amygdales. C'est un lymphome non Hodgkinien qui évolue très rapidement (agressif).
Beaucoup de patients soignés pour un lymphome sont traités soit par chimiothérapie, radiothérapie ou thérapie biologique, soit par une association de toutes ces thérapies. Une greffe de cellules souches autologus ou allogénique est parfois nécessaire.
L'espérance de vie des patients est de près d'une quinzaine d'années, avec un traitement initial de 6 mois, reposant sur l'association d'une chimiothérapie à des injections de Rituximab. Le problème : près de la moitié des patients rechute après 3 à 5 ans.
Le traitement des lymphomes fait appel à la chimiothérapie anticancéreuse, éventuellement associée à des thérapies ciblées. Ce sont des anticorps dirigés contre certaines protéines indispensables à la prolifération des cellules cancéreuses. Parfois, un traitement par radiothérapie est également administré.
Chez la femme, le cancer du sein est toujours le plus mortel, suivi de près par le cancer du poumon et le cancer colorectal. Chez l'homme, le cancer du poumon est le plus mortel devant les cancers colorectaux et de la prostate. le cancer de la prostate, avec près de 50 000 nouveaux cas chaque année en France.
"Les cancers du pancréas sont tous considérés comme agressifs." "Les cancers du pancréas sont tous considérés comme agressifs" ajoute le spécialiste. Le cancer anaplasique de la thyroïde fait également partie de ces cancers agressifs. "Cependant, ce caractère agressif est relatif, indique le Pr Gonçalves.
La plupart des cancers ont tendance à se propager plus souvent à un emplacement plutôt qu'à d'autres. Par exemple, le cancer du sein et le cancer de la prostate se propagent le plus souvent aux os. Le cancer colorectal a plutôt tendance à se propager au foie.
Les lymphomes non hodgkiniens se traduisent habituellement par une adénopathie, c'est-à-dire l'augmentation de volume d'un ou plusieurs ganglions. Ceux-ci ne sont ni douloureux ni inflammatoires et grossissent lentement.
Comment évoluent les lymphomes ? Aujourd'hui, en France, le taux de survie cinq ans après le diagnostic d'un lymphome varie de 50 à 90 % selon le type de lymphome et l'âge du patient. Chez les enfants, le taux de survie cinq ans après un lymphome est d'environ 90 %.
Les cancers sont généralement classés en 3 catégories, à savoir les carcinomes, les sarcomes et les tumeurs hématopoïétiques : Le carcinome : les cellules cancéreuses se développent dans les tissus qui recouvrent les organes. Les tissus externes (l'épiderme) peuvent aussi être touchés.
Peut-on en guérir ? "Dans des cas très exceptionnels, il est possible de guérir d'un cancer métastatique, mais cela reste très rare, précise l'experte. La maladie n'est pas curable mais traitable. On arrive à faire régresser les métastases et à contrôler la maladie pour éviter ses complications.