Depuis le 1er janvier 2017, le divorce par consentement mutuel est conventionnel par principe. Ainsi, les époux qui souhaitent divorcer à l'amiable ne passent plus devant le juge aux affaires familiales. Enfant à naître et divorce par consentement mutuel extrajudiciaire.
Convention déposée chez un notaire. Le divorce par consentement mutuel par convention déposée chez un notaire vous permet de divorcer sans passer devant un juge. Attention : si vous êtes étranger, vérifiez si votre pays d'origine accepte un divorce qui n'est pas validé par un juge.
Un divorce sans juge !
Le premier des avantages du divorce à l'amiable est lié à la nouvelle procédure qui l'encadre. Désormais, il n'est plus nécessaire de passer devant le juge aux affaires familiales. Dès lors que les époux sont d'accord entre eux sur les conséquences de leur divorce, la justice n'intervient plus.
En dehors de cas complexes, il est désormais possible de divorcer par consentement mutuel, sans que cela ne nécessite la présence d'un juge, mais seulement d'avocats et d'un notaire spécialiste de la gestion de patrimoine à Rennes. On parle de droit collaboratif, privilégiant les échanges et la discussion.
Par ailleurs, il pourrait y avoir un déséquilibre entre les intérêts des époux, lequel serait accentué par l'absence du juge qui aurait agi en tant que tiers impartial et désintéressé18. Par là, le divorce sans juge renforce la nature contractuelle du mariage au détriment de son caractère institutionnel19.
Le divorce amiable en s'adressant à un notaire est plus simple et plus rapide. En effet, une fois la convention rédigée par les époux et leurs avocats, elle est déposée dans un délai de 7 jours à compter de la date de signature chez le notaire. Celui-ci l'enregistrera et le divorce sera immédiatement prononcé.
Une convention de divorce sera donc rédigée par l'avocat du couple et reprendra toutes les conséquences de ce dernier : pension alimentaire, garde des enfants, prestation compensatoire, partage des biens … Tous les points doivent être envisagés et les époux peuvent décider eux-mêmes des conséquences.
Quel est le coût moyen d'un divorce ? Un divorce par consentement mutuel peut coûter entre 1000 et 4000 euros (divorce amiable). Pour un divorce contentieux, les coûts varient de 2000 à 8000 euros. Le coût pour faire enregistrer une convention de divorce par un notaire est de 49,44 € TTC.
Coût moyen :
De 1 000 à 4 000 € pour un divorce par consentement mutuel (amiable). De 2 000 à 8 000 € pour un divorce conflictuel. 49,44 € TTC pour les frais d'enregistrement de la convention de divorce par un notaire.
L'époux demandeur doit faire appel à un avocat pour présenter sa requête au juge. Cette requête doit faire part des motifs du divorce et de la demande de mesures provisoires. Attention, en aucun cas la requête doit présenter le fondement juridique ni les faits qui sont à l'origine du divorce !
C'est l'article 229 du Code civil qui dispose que les époux peuvent consentir mutuellement à leur divorce par acte sous signature privée contresigné par avocats, déposé au rang des minutes d'un notaire. Il apparait donc qu'il n'est pas possible de divorcer sans avocat.
L'intervention du juge peut aussi avoir un caractère obligatoire ; tel était le cas, par exemple, pour le changement de régime matrimonial, en application de la loi de 1965, ou pour le divorce par consentement mutuel, en vertu de la loi de 1975.
La convention de divorce
Cette convention est rédigée par les avocats des deux parties. Chaque époux dispose d'un délai de réflexion de quinze jours avant de la signer, sans pouvoir renoncer à ce délai. Elle est ensuite déposée au rang des minutes d'un notaire, ce qui lui confère date certaine et force exécutoire.
Dans le cas où l'un des époux s'oppose au principe même du divorce, il faut envisager un divorce contentieux. Ainsi, l'époux peut seul introduire une requête en divorce sans l'accord de son conjoint. Les époux seront alors convoqués à une audience de conciliation.
La rédaction de la convention n'en sera que plus rapide. Une fois la requête déposée, il faut compter entre un et deux mois pour la convocation devant le tribunal. Pour les cas les plus simples, la procédure peut durer 3 ou 4 mois. RAPIDE : Un divorce enregistré en 1 minimum.
Divorce pas cher et rapideDivorcez en 1 mois dès 159€ Le divorce par consentement mutuel est le divorce le plus simple, le plus rapide et le moins cher. Le divorce pas cher est envisageable uniquement si les deux époux sont d'accord sur le divorce et ses conséquences.
Sur le plan financier, le divorce par consentement mutuel sans juge est l'option la moins coûteuse : son coût peut varier entre 1000 et 1500 euros par couple.
Ainsi, lorsqu'un époux, pendant la procédure de divorce, quitte le domicile conjugal, toutes les charges afférentes à ce bien doivent être supportées ensemble par les deux époux.
Se séparer sans divorcer vous permet de réfléchir sur votre séparation, et de ne pas rompre les liens du mariage trop rapidement. Vous pouvez alors opter pour une séparation de corps ou une séparation de fait.
S'agissant du coût du divorce par consentement mutuel, chaque époux supporte en principe les frais de son propre avocat et partage par moitié les frais notariés.
Comment divorcer gratuit ? Non, divorcer gratuitement n'est pas possible. Même dans le cadre d'un divorce amiable par consentement mutuel, la présence d'un avocat par époux est nécessaire. Toutefois, il est possible de recevoir une aide juridictionnelle prenant en charge une partie ou la totalité des frais d'avocat.
La principale différence :
Le divorce amiable (jargon : Consentement Mutuel) c'est le principe du divorce où les époux sont d'accord sur tout : Enfants, pensions, biens, etc. Le divorce Accepté : c'est quand les époux sont uniquement d'accord sur un divorce aux torts partagés.
Oui, chaque époux doit avoir son propre avocat dans une procédure de divorce. C'est le cas pour un divorce judiciaire (divorce devant le juge) ou dans une procédure de divorce amiable et sans juge (divorce par consentement mutuel).
La prestation compensatoire peut prendre différentes formes : un capital, une rente mensuelle, un abandon en propriété… En tant que femme qui héberge habituellement les enfants, vous avez également le droit à une pension pour l'éducation et l'entretien des enfants.