En 2022, afin de profiter encore des aides financières, il vaut mieux choisir une chaudière gaz à condensation.
Évitez à tout prix les petits chauffages d'appoint électriques qui sont de véritables bombes énergétiques ! Remplacez-les par un chauffage d'appoint au bois, le combustible le moins cher en 2022 ! De plus en plus performants, les poêles à bois apportent également une ambiance très chaleureuse dans votre intérieur.
Parmi toutes les chaudières présentes sur le marché, la chaudière biomasse est l'une des plus économiques en fonctionnement. Celle-ci fonctionne comme les autres : la chaleur produite après combustion va chauffer le circuit de chauffage central. Il est même possible de produire de l'eau chaude sanitaire (ECS).
Aujourd'hui, il existe de nombreuses installations de chauffage performantes et durables, avec une durée de vie pouvant atteindre 20 ans ! Parmi les meilleures marques, on retrouve : Saunier Duval, Vaillant, Frisquet et elm. leblanc.
Pour réduire l'émission de gaz à effet de serre, l'installation d'équipements de chauffage ou de production d'eau chaude fonctionnant au fioul sera interdite à partir du 1er juillet 2022, sauf en cas d'impossibilité d'usage d'autres sources d'énergie.
Les chaudières gaz seront bien interdites — finalement en 2022 et non en 2021 comme cela était prévu aux prémices du projet —, mais seulement dans des conditions bien précises qui n'ont pas d'impact sur la consommation des ménages.
Leur fort impact carbone participe à l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Pour cette raison, l'installation des chaudières à gaz dans les constructions neuves est interdite depuis le 1er janvier 2022, pour les permis de construire déposés à partir de cette date.
Solution rentable : les chaudières bois
Une des solutions économique par excellence à l'usage reste la chaudière bois. En effet, le bois est l'énergie la moins chère avec un budget de 765 € par an (soit 65€/stère), ce qui fait de la chaudière bois l'une des solution les plus rentables à l'usage.
La chaudière la plus économique à l'achat est la chaudière électrique. Elle offre cependant un rendement faible qui ne la rend pas très économique à l'utilisation. Pour limiter la consommation de la chaudière électrique, il est essentiel que le logement soit parfaitement bien isolé.
La chaudière à bois permet de bénéficier du combustible le moins cher du marché ce qui rend ce système très économique. De plus, vous pouvez bénéficier du crédit d'impôt de 30 %. Moyen. La chaudière fioul à condensation permet de réaliser jusqu'à 35 % d'économie par rapport à une chaudière fioul classique.
L'un des inconvénients de la chaudière à granulés de bois, est sa taille imposante. Si votre chaudière nécessite un chargement manuel des granulés, le réservoir se situe à l'intérieur de la chaudière, la rendant donc volumineuse. Lorsque l'alimentation est automatisée, un silo accompagne votre chaudière.
L'installation de chaudières à gaz est l'alternative la moins coûteuse aux autres types de chaudières (granulés de bois et fioul). Mais le prix du gaz est très volatile en ce moment et risque de l'être encore plus en 2023. Le prix du gaz était peu élevé grâce à des tarifs réglementés et un marché favorable.
Les systèmes de chauffage possibles pour une maison ancienne, du meilleur au pire : pompe à chaleur, chauffage au bois, au gaz, au fioul. Opter pour un système électrique est aussi possible, à condition de ne pas avoir de trop grandes pièces et une bonne isolation.
Une pompe à chaleur
Voici l'une des principales solutions d'avenir en matière de chauffage domestique. La pompe à chaleur (PAC) de par ses vertus aussi écologiques qu'économiques, séduit de plus en plus de ménages français. Et elle peut être parfaitement adaptée à un logement ancien !
Pour une superficie de 100 à 120 m2, qui correspond à la moyenne des maisons françaises, plusieurs solutions sont envisageables : Si vous vous orientez vers un chauffage central, optez pour une chaudière à condensation. Une chaudière au sol, parfaite pour une maison, occupe, au plus, un demi-mètre carré.
Une PAC air/eau est particulièrement rentable, car elle permet des économies d'énergie considérables. On estime qu'elle peut faire baisser vos factures de 1000 € par an environ. Le retour sur investissement est rapide et se ressent au bout de 6 à 7 ans la plupart du temps.
la chaudière à plaquettes, ou bois déchiqueté.
L'avantage du bois est qu'il s'agit d'un combustible peu onéreux, qui produit une énergie propre et renouvelable. La chaudière biomasse peut être utilisée pour chauffer toute votre maison, via le chauffage central. Il s'agit d'un équipement avec un très bon rendement.
Le coût d'une chaudière à granulés de bois varie entre 10 000 et 15 000 €.
Le phénomène se voit principalement sur le prix du granulé de bois, ou pellet. Ce dernier voit son prix fortement augmenter. Comme le relève Total Énergies, le prix de la tonne a ainsi quasiment doublé en un an, passant de 280 € en juillet 2021 à 550 € fin juillet 2022. Et ce phénomène ne semble pas s'arrêter !
Chaudière ou poêle à bois
Le bois est l'énergie la plus abordable sur le marché des énergies, qu'il s'agisse de bûches de bois ou de granulés. Le poêle à bois est souvent considéré comme l'équipement de chauffage le plus économique et le plus rentable. Ce type d'installation allie performance, écologique et économies.
Pour se chauffer au meilleur prix, on remarque que l'énergie la moins chère est le bois, et en particulier le bois non transformé. Les énergies gaz propane et électricité sont quant à elles les plus onéreuses actuellement.
Le gaz étant une énergie fossile, il entre en contradiction avec la transition énergétique. C'est pourquoi la nouvelle réglementation énergétique RE2020 interdit l'usage du chauffage au gaz, dès son entrée en vigueur en janvier 2022.
L'ensemble des tarifs réglementés de gaz naturel sera supprimé le 1er juillet 2023. Pour les clients résidentiels (et les copropriétés consommant moins de 150 000 kWh ), les tarifs réglementés de gaz naturel disparaitront le 1er juillet 2023.
Si bien que les chaudières gaz sont également sur la sellette. La nouvelle réglementation thermique et environnementale des logements (RE 2020) est en préparation. Elle pourrait les exclure des logements individuels neufs dès son entrée en vigueur, et de l'immobilier neuf collectif en 2024.