En Bretagne « En 2050, la température qui sera relevée dans la région sera ainsi, selon les secteurs, 1,1 à 1,4 °C plus élevée que celle qui y était relevée entre 1976 et 2005 », développe Ouest-France. Une grande partie de la Bretagne pourrait donc connaître 10 à 15 jours de chaleur de plus qu'entre 1976 et 2005.
Les Glénan, Molène, la côte du Pays bigouden, L'Île-Tudy, Fouesnant, le littoral autour de Morlaix ou encore Landerneau pourraient se trouver sous les eaux en 2050… Dans sa dernière étude, l'association Climate Central montre un littoral finistérien grignoté par la mer.
Selon l'outil ClimatHD de Météo France, la région Provence-Alpes-Côte d'Azur devrait par exemple connaître "peu d'évolution des précipitations annuelles d'ici la fin du 21 e siècle". En cela, ce territoire peut être privilégié par les Français souhaitant accéder à la propriété d'ici 2030.
Réchauffement climatique : "La Bretagne pourrait bénéficier d'un climat un peu privilégié" Le réchauffement de la planète pourrait atteindre le seuil de +1,5°C dès 2030, soit dix ans plus tôt qu'estimé, selon les experts climat de l'ONU qui publient un nouveau rapport ce lundi 9 août.
Une nouvelle étude a identifié les endroits du monde les plus résilients en cas d'effondrement économique ou climatique majeur. Les îles au climat tempéré et à faible population comme l'Islande ou la Nouvelle-Zélande figurent en tête de liste.
Plus spécifiquement pendant la période estivale, le Finistère, notamment sa partie ouest, est plus frais que les autres départements bretons. En revanche, la côte sud du Morbihan, bénéficiant d'un microclimat ensoleillé, est une des parties les plus chaudes de Bretagne.
Privilégier le centre-ville
Quand on a étendu les villes en créant des zones pavillonnaires, on a créé des zones de risque. Les extensions des communes sont aujourd'hui les plus exposées aux impacts croissants du réchauffement climatique : vent, inondations sécheresses, canicules et même incendies.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
La Bretagne est particulièrement bien représentée dans le classement puisque huit autres communes figurent dans le top 100 : Lannion (15e), Quimper (21e), Lamballe-Armor (36e), Questembert (41e), Vitré (48e), Quimperlé (59e), Vannes (78e) et Landerneau (90e).
Bordeaux est en tête du classement grâce à son dynamisme économique et sa proximité aux Landes et à l'océan Atlantique. Viennent ensuite les villes du Sud Aix-en-Provence et Toulouse de par leur climat souvent ensoleillé et leurs nombreuses perspectives professionnelles.
L'édition 2024, la cinquième, a été dévoilée par Le Journal du Dimanche . La tête du classement de l'édition 2024 demeure inchangée : Angers garde la première place, et est suivie d'un trio du Pays basque (Bayonne, Biarritz et Anglet).
Son patrimoine, son environnement sauvage et verdoyant, ses stations balnéaires, son bassin d'emplois attractif, son offre culturelle étoffée, ses villes à taille humaine, sa lumière… Cette région française cumule les bons points et offre à ses habitants, une qualité de vie enviée bien au-delà de nos frontières.
S'il s'agit d'un environnement où il fait bon vivre, la Bretagne est aussi un territoire dans lequel il est facile de s'épanouir au niveau professionnel. Les opportunités y sont nombreuses – dans tous les secteurs – et le marché de l'emploi demeure attractif.
La Bretagne est une région où il fait bon vivre et les villages sont globalement tous bien entretenus et fleuries et bien aménagé. Le contraste des géraniums et des hortensias sur les vielles pierres leurs donnent un charme fou. Il y a des pistes cyclables partout aussi pour les amoureux du vélo.
Dans combien de temps les Humains (et les autres mammifères) ne pourront-ils plus vivre sur Terre ? Dans 250 millions d'années, a répondu ce mardi 26 septembre 2023 une étude publiée dans la revue Nature Geoscience et repérée notamment par Le Temps .
En 2050, les logements sont modulables, conçus pour se transformer au gré des besoins, à géométrie variable, de leurs occupants. Ainsi, on peut regrouper ou diviser des pièces, grâce à des cloisons amovibles ; les maisons sont faciles à rehausser et on y crée des studios indépendants…
en moyenne montagne à l'horizon 2050. des cumuls de pluie en été. Les sécheresses sont plus longues en été jusqu'à 5 à 10 jours supplémentaires. tropicales en plus sur la moitié nord de la France, et jusqu'à 50 nuits sur les régions méditerranéennes.
Les pays qui rassemblent tous les atouts sont donc moins touchés par les conséquences du réchauffement climatique. On peut citer la Norvège, la Finlande, la Suède et l'Islande.
La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes. La planète sera confrontée à des défis démographiques, économiques et climatiques de plus en plus importants. Ils doivent être pris en compte sans tarder pour éviter que l'inertie ne rende la situation irréversible.
Plus bas dans le classement (22e et 23e), on trouve Lorient (Morbihan) et Brest (Finistère) avec 6 jours de pluie par mois. Aucune autre ville bretonne ne figure dans le top 30.
Des microclimats
Les reliefs de l'ouest, les monts d'Arrée, les montagnes Noires et les monts du Mené, jouent un rôle de barrière physique et reçoivent plus de précipitations que le reste de la région. Grâce aux brises de mer, le soleil est beaucoup plus présent en été sur le littoral que dans l'Argoat.
Les monts d'Arrée et les Montagnes noires enregistrent ainsi des cumuls de pluie proches de 1 400 à 1 500 mm en moyenne par an quand ceux du Penthièvre ou du bassin rennais sont deux fois moins importants.