Après un AVC, des troubles émotionnels peuvent apparaître : comportements impulsifs, sautes d'humeur, indifférence affective, apathie, manque d'initiative sont fréquents ainsi que d'autres troubles.
Faites le point régulièrement avec votre proche sur ses difficultés et aidez-le à trouver des solutions adaptées. Vous pouvez tenir un carnet des progrès réalisés pour encourager la personne malade et valoriser ses efforts. Consultez-le avec lui pour lui montrer l'évolution.
L'agressivité est souvent plus difficile à surmonter. Il est important de veiller à la sécurité physique de la personne victime d'un AVC et l'aidant. En cas de danger, vous devez demander une aide psychologique ou médicale rapidement.
Les troubles de l'attention, de la mémoire, du langage, de l'exécution des tâches sont des troubles cognitifs fréquents après un AVC. Les rééducateurs mettent tout en œuvre pour vous aider à réduire vos difficultés, à les surmonter et à les détourner.
Les séjours à l'hôpital durent de 1 à 3 semaines, selon la gravité de l'AVC et de ses séquelles. Pendant cette période, les patients collaborent ardemment avec une équipe d'experts qui évaluèrent leur état et leurs séquelles, y compris les troubles physiques ou cognitifs.
Limiter les boissons sucrées et les boissons alcoolisées ( cidre, bière, vin apéritif... ) Assaisonnement - les herbes (persil, estragon, ciboulette...), les épices (cannelle, muscade, poivre...), oignon, ail, échalote. Utiliser le sel avec modération.
Il a été révélé que ceci affecte l'humeur d'une personne, et la capacité de participer au rétablissement après un AVC ou aux activités quotidiennes. La fatigue peut être de courte durée ou durer pendant des mois ou même des années.
Un mini-AVC est une forme moins grave d'AVC. Il se produit lorsque la circulation sanguine vers une partie du cerveau est interrompue. Il est généralement causé par un caillot sanguin qui bloque une artère qui alimente le cerveau en sang.
À la suite d'un AVC, les capacités physiques comme marcher, s'habiller et manger ne sont parfois plus les mêmes. Les capacités mentales, comme la mémoire, la communication et l'organisation, peuvent aussi avoir été touchées. Les deuils liés à ces pertes de capacités sont souvent la cause de la détresse.
Concrètement, le patient est debout, assis ou allongé, on lui installe des capteurs sur les articulations que l'on souhaite faire travailler (coudes, épaules, hanches, genoux), le médecin sélectionne sur l'écran une activité (marcher, dessiner un triangle, ouvrir une bouteille), son intensité et sa durée.
Les signes d'un AVC 1 mois sont le plus souvent un engourdissement du visage ou des membres, des troubles de la parole et de la compréhension, un mal de tête intense, des pertes d'équilibre, des vertiges, des troubles de la vision, un essoufflement inexpliqué ou encore un pouls irrégulier.
Les différents types d'AVC
L'hémorragie cérébrale (20 % des cas) ; c'est la plus dangereuse en termes de mortalité et de séquelles. Le plus souvent, elle provient d'un anévrisme (section dilatée d'une artère) qui prive le cerveau d'oxygène et provoque une compression sur les tissus environnants.
Un accident vasculaire cérébral (AVC) est la perte brutale d'une fonction du cerveau. Il existe des AVC ischémiques et des AVC hémorragiques. Ils surviennent souvent chez des personnes présentant des facteurs de risque. Comme l'AVC, l'accident ischémique transitoire (AIT) est une urgence.
Parmi les troubles cognitifs observés à la suite d'un AVC, les troubles de la mémoire sont fréquents et peuvent subsister plusieurs années après la survenue de l'accident. Ils peuvent aggraver la dépendance du patient, provoquer une détresse psychologique et même mettre en jeu sa sécurité.
Des études ont montré que le risque d'AVC ischémique était augmenté par la prise d'antipsychotiques, médicaments aux propriétés antidopaminergiques[2] communément prescrits en psychiatrie.
Le sang continuera de passer avec difficulté là où l'artère est bouchée. La position allongée, elle, aidera le passage du sang et donc celui de l'oxygène à votre cerveau.
Après un AVC modéré à sévère ayant nécessité une rééducation, au minimum un mois après l'AVC, vous devrez bénéficier d'une évaluation de vos capacités de conduite automobile. Elle pourra être prescrite par un médecin (médecin traitant, neurologue, de rééducation, du travail …) ou demandée par vous-même.
L'arrêt du tabagisme est un des plus importants changements au mode de vie pour prévenir un futur AVC. Il diminue de 50 % le risque d'un autre AVC et améliore le goût, l'odorat et votre qualité de vie en général.
DOIS-JE ÉVITER CERTAINS ALIMENTS ? Une consommation excessive de sel, de sucre et de graisses saturées est associée à un risque accru d'AVC. Le sel fait augmenter votre tension artérielle, ce qui est le principal facteur de risque d'AVC.
Des symptômes différents des hommes
Chez l'homme, une douleur dans le thorax, qui irradie dans le bras gauche et jusqu'à la mâchoire fait penser à un infarctus. Chez la femme, il existe parfois d'autres symptômes plus subtils.
L'AVC chez la femme peut être lié au manque d'oxygène d'une région du cerveau qui n'est plus irrigué par son artère. On parle alors d'accident vasculaire cérébral ischémique. Dans ce cas, les médecins peuvent pratiquer ce que l'on appelle une thrombolyse dans les premières heures qui suivent l'apparition des symptômes.
L'accident ischémique transitoire (AIT) est responsable de déficits neurologiques soudains et transitoires. Il est un signal d'alarme de l'accident vasculaire cérébral (AVC), plus grave. Identifier ce signe d'alerte et réagir dans les 24 heures permettrait de sauver de nombreuses vies !
Un AVC silencieux peut survenir sans provoquer les signes et symptômes habituels d'un AVC, comme un engourdissement, de la confusion et des étourdissements soudains.