Le sac de couchage parfait est en duvet d'oie ou de canard :
Si vous souhaitez retrouver toutes ces qualités dans un seul sac de couchage, il est conseillé de choisir un sac de couchage 100% duvet d'oie ou de canard.
En effet, le duvet d'oie a un pouvoir gonflant plus important, il est aussi plus léger et plus compressible mais plus cher. Le duvet de canard, quant à lui est plus abordable en prix mais dispose d'un pouvoir gonflant moins important et il est souvent plus lourd.
Une grappe de duvet de canard mesure en moyenne environ 1,5 cm. En général, plus la grappe de duvet est grande, meilleure est sa puissance thermique. En termes de taille, le duvet d'oie est légèrement supérieur au duvet de canard car il est plus gros.
Le duvet d'oie est plus performant que le duvet de canard. Le poids et le volume : Ils sont directement liés au type de garnissage et à la température de confort du sac. Un sac en duvet d'environ 1,5 kg vous offrira une isolation suffisante. La construction : La forme anatomique permet d'optimiser le volume d'air.
La donne change en montagne où, même en été, il est impératif de descendre la température de confort entre 5°C et -5°C en fonction de l'altitude. En hiver, -15°C et -25°C/-35°C sont des minimums respectivement pour la moyenne et haute montagne.
Pour le couchage, un duvet léger ou même un drap de soie suffiront. Vous trouverez souvent des couvertures dans les gîtes. Vraiment, vous pouvez partir léger, d'autant plus que les marques proposent maintenant des produits techniques, protecteurs et poids plumes.
Ensuite, il est indispensable d'appliquer le système des trois couches : la première, qui est à même la peau, doit être respirante ; la seconde, apporter de la chaleur sans bloquer l'évacuation de la transpiration ; et la troisième, protéger sans freiner, là aussi, l'évaporation de la sueur.
Garder la (précieuse) chaleur : ne pas attendre d'avoir froid au bivouac pour s'habiller. Monter un petit muret de protection contre le vent (pierres, talus, neige, etc.) : en plus d'isoler contre le vent, c'est un excellent moyen pour… … faire monter la chaleur corporelle (mais pas trop, pour ne pas transpirer).
Cela veut dire qu'à une température de confort égale, un sac de couchage en duvet sera toujours plus léger et plus compressible (plus petit une fois dans sa housse) qu'un sac de couchage en synthétique.
Quelle taille de duvet choisir ? En général, un duvet doit déborder de chaque côté du lit (compter 30 à 50 cm) pour des raisons de confort mais aussi d'esthétisme. Il est donc préférable de choisir une taille supérieur au matelas. Vous pouvez également opter pour deux couettes une personne.
Le matelas mousse ou Z-LITE convient donc parfaitement à une utilisation en été ou par températures clémentes. En camping ou en trekking, lors de périodes assez longues de bivouac type 15 jours à 3 semaines, on privilégiera plutôt un matelas plus épais et plus confortable.
Salut, Calcul grossier : la température moyenne annuelle en france est d'à peu près 13°C, on va supposer à une altitude de 200m. En prenant un gradient de température de -6,5°C/1000m, ça donne une moyenne de 0°C à 2200m.
On situe leur température de confort autour de 0°C, à plus ou moins 5°C près. Ils trouveront néanmoins leurs limites en plein cœur de l'hiver, quand les températures passent allègrement sous la barre du zéro.
Pourtant c'est un niveau qui a, lui aussi, toute son importance pour la compréhension des phénomènes météorologiques. Au-dessus de nos régions, on peut dire que la moyenne des températures à cet altitude est d'environ -13/-14°C en hiver et légèrement inférieure à 0°C en été.
Au total le sommeil est une phase de vulnérabilité relative face à l'hypoxie d'altitude : lors des premières nuits en altitude, le sommeil est moins profond, ponctué de micro-éveils et la ventilation est irrégulière avec la survenue de phase d'hypoventilation voire d'apnée du sommeil qui induisent des fluctuations ...
L'altitude entraîne une fatigue importante lors d'efforts en raison du manque d'oxygène. L'adaptation au-delà de 2 000 mètres, ou moins selon les organismes de chacun, peut demander quelques jours.
En outre, dormir en altitude augmente «le risque d'apnée du sommeil et d'hypertension». Il suffit souvent de passer une nuit dans un refuge à 3 000 m pour commencer à souffrir de céphalées, de nausées, d'insomnies ou de vertiges qui caractérisent le mal des montagnes.
Contrairement aux idées reçues, le duvet d'oie n'est pas de qualité supérieure par rapport au duvet de canard. Ce qui différencie les deux est leur niveau de chaleur. En effet, à quantité égale, le duvet d'oie est en moyenne 15% plus chaud que celui de canard.
Entre le duvet d'oie et le duvet de canard, c'est la couette en duvet d'oie qui sera la plus chaude et la plus garnie. Par contre, pour un même apport de chaleur, les couettes en duvet d'oie sont plus légères que les couettes en duvet de canard.