Une autre manière de définir une base de connaissance est de dire qu'il s'agit d'une ontologie peuplée par des individus. Une base de connaissance, parfois dénommée système expert, sert à rassembler — de manière centralisée — l'expertise d'un domaine généralement formalisée de manière déclarative.
connaissance
Action, fait de comprendre, de connaître les propriétés, les caractéristiques, les traits spécifiques de quelque chose : La connaissance de la nature. 2. Opération par laquelle l'esprit humain procède à l'analyse d'un objet, d'une réalité et en définit la nature : Connaissance intuitive.
La connaissance est une notion aux sens multiples à la fois utilisée dans le langage courant et objet d'étude poussé de la part des philosophes. Pour certains, la connaissance vient de la raison ou de l'intelligence ou encore de l'âme. Elle donne le savoir permanent, universel, le même pour tout humain.
Pour l'anthropologue, la première connaissance est celle que les hommes ont d'eux-mêmes et de leur environnement, et qui, dans les sociétés primitives, assure leur survie quotidienne. C'est aussi cette connaissance qui structure le groupe humain.
La théorie de la connaissance (TdC) joue un rôle particulier au sein du Programme du diplôme du Baccalauréat International® (IB) en donnant aux élèves la possibilité de réfléchir sur la nature de la connaissance et sur la façon dont nous connaissons ce que nous affirmons connaître.
Restez à l'écoute. Faire connaissance en ligne, c'est instaurer un dialogue. Laissez l'autre répondre à vos questions sans le submerger d'informations ou de demandes. Montrez vous curieux et intéressé par rapport à ce qu'il ou elle aime.
La meilleure connaissance est celle qui mène les hommes vers les hommes.
Dans le Théétète (189a-192c) de Platon, la connaissance est définie comme une opinion vraie « pourvue de raison » (logos). L'opinion est un mode de connaissance qui se distingue de l'ignorance pure et simple – qui est sans objet – et de l'intelligence – qui porte sur ce qui est.
Si le ressouvenir des formes intelligibles constitue pour Platon la connaissance parfaite ou la science (ἐπιστήμη), il n'en demeure pas moins que dans la République Platon reconnaît divers niveaux ou degrés de connaissance : la connaissance sensible, la connaissance mathématique et la connaissance dialectique ou ...
On retient généralement trois types de connaissances : les connaissances déclaratives, les connaissances procédurales et les connaissances conditionnelles.
L'objet de la connaissance constitue en quelque sorte une limite jamais atteinte. Par ailleurs, le sujet lui-même n'est pas donné une fois pour toutes. Il évolue au contact de la réalité, il élabore de nouveaux instruments de connaissance qui modifient, à des degrés divers, sa manière d'appréhender l'objet.
La connaissance est un rapport actif au monde qui vise à s'en faire une représentation et à l'expliquer. Cette activité associe généralement l'action et la réflexion. Il existe divers types de connaissances plus ou moins efficaces, plus ou moins fiables et réalistes.
Les limites cognitives concernent l'existence de domaines qui resteront hors de portée du savoir. De telles limites apparaissent en mathématiques dans l'étude de nombres parfaitement définis, mais qui ne sont pas calculables – des nombres dont on ne peut déterminer, au mieux, qu'un nombre fini de décimales.
La connaissance humaine se situe sur deux plans ; le premier plan comprend celle qui est basée sur l'activité sensorielle et qui a son principe d'activité propre : l'esprit - « spiritus » ; le second plan comprend la connaissance intellectuelle à laquelle les sens ne participent plus directement et dont le principe est ...
Le savoir est lié à une communauté, une connaissance ou un individu. La connaissance est quant à elle le processus d'assimilation individuelle de ce savoir. Elle fait ainsi référence à des objets plus spécifiques mais surtout à l'expérience individuelle de ce savoir.
de connaissance. Comme ses prédécesseurs, Aristote est d'avis que les sensations que nous transmettent nos différents sens, qui sont en contact immédiat avec les choses extérieures, servent de fondement à toute connaissance.
La connaissance, comme on vient de le voir, procède d'un mode de description ou d'explication centré sur le monde, indépendamment du point de vue du sujet ; la croyance procède du regard que le sujet porte sur le bien-fondé des événements et des actions de l'homme.
Aux origines de cette maxime
C'était une invitation à connaître sa condition, sa place dans le monde, entre les bêtes et les dieux, donc à déterminer ce à quoi le destin nous porte sans chercher à en dépasser les limites.
Le secret de la connaissance, c'est que tout ce qui nous entoure est à l'image de cet univers. Chaque chose, chaque être, de la plus infime poussière au plus gigantesque colosse, est semblablement composé de millions d'étoiles.
L'émerveillement est le premier pas vers la connaissance et le respect.
Le développement des compétences peut se faire via différents biais, via la formation professionnelle, mais aussi les conférences, le coaching, les forums professionnels, les salons, les événements formels ou informels ainsi que dans toutes les situations propices aux échanges de bonnes pratiques.
Du point de vue chronologique, la perception constitue le fondement de la connaissance, dans la mesure où toute connaissance du monde se fonde sur la perception de celui-ci. Ainsi est-il nécessaire, pour définir la chaleur, d'avoir au préalable fait l'expérience sensible de divers objets ou phénomènes liés à celle-ci.
La connaissance de soi est le savoir qu'une personne acquiert sur elle-même, en termes psychologiques ou spirituels, au cours de sa vie à l'occasion de ses expériences.
Il est très difficile de se connaître soi-même, d'une part parce qu'une partie de nous-mêmes est inaccessible (cf. Freud, "le moi n'est pas maître de sa propre maison"). D'autre part, parce qu'un sujet ne peut devenir objet pour lui-même. En ce sens, la connaissance d'autrui est plus aisée.