L'éducation est l'apprentissage de diverses connaissances. Elle commence chez les plus jeunes par l'acquisition des connaissances élémentaires, c'est-à-dire l'alphabétisation. À ce stade, les enfants apprennent à lire et à écrire grâce à l'enseignement primaire et l'encadrement des parents.
La gratuité, la laïcité, la liberté de l'enseignement sont des principes qui ont longtemps été un combat et un idéal dans la construction de l'école de la République. Ces symboles sont forts et suscitent les passions. Ils ont permis au système éducatif de devenir un véritable service public d'éducation.
L'objectif général de l'éducation est de développer au maximum le potentiel de l'enfant et de lui offrir un maximum de chances de participer pleinement et de façon responsable à la vie d'une société libre.
le style permissif. le style anti-autoritaire. le style égalitaire. le style positif.
Éducation formelle, apprentissage informel et, au milieu, les ressources métissées de l'éducation non formelle, métissées mais quand même définies par défaut de formalisation.
Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie; p. méton., moyens mis en œuvre pour assurer cette formation.
Selon Kant (2004 : 104), rappelons-le, l'éducation vise à sortir l'humain de l'animalité pour le destiner à l'humanité. Pour lui, il existe des germes du bien en l'humain à partir desquels il doit se déployer pour « s'améliorer lui-même, se cultiver lui-même, et s'il est mauvais, développer lui-même sa moralité ».
L'éducation est un puissant facteur de changement. Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
L'instruction, c'est l'acquisition de connaissances grâce à l'enseignement. L'éducation, c'est le développement de la capacité à être soi tout en étant avec les autres, à ménager ses relations avec eux, à participer à la vie sociale, à intérioriser la culture commune.
On définit généralement l'éducation positive comme étant un accompagnement des enfants basé sur la non-violence, l'écoute et le respect des besoins de chacun.
Mais toutes les performances chiffrées qu'ils analysent concourent au même constat : les enseignements « explicite » ou « direct » sont plus efficaces, notamment en milieu défavorisé, que les pédagogies qui se veulent « centrées sur l'élève ».
Car aller à l'école, c'est s'épanouir, acquérir des compétences et des connaissances pour pouvoir choisir son avenir. C'est briser le cycle de la pauvreté et sa transmission d'une génération à la suivante. C'est aussi apprendre à se protéger et à protéger les autres des maladies.
Voici donc la définition que nous proposons : L'éducation est l'ensemble des processus et des procédés qui permettent à tout enfant humain d'accéder progressivement à la culture, l'accès à la culture étant ce qui distingue l'homme de l'animal.
Toute la vie, notre milieu est notre éducation, et un éducateur à la fois sévère et dangereux.” “L'éducation consiste à nous donner des idées, et la bonne éducation à les mettre en proportion.” “Chacun est le fruit d'une éducation mais le plus grand éducateur, c'est la personne elle-même.”
L'éducation permet à l'enfant de s'insérer dans le tissu socio-économique local et d'accéder à un emploi stable et durable. Elle stimule la productivité, l'innovation et l'entreprenariat.
Rawls, l'éducation contribue à créer et à accroître, chez les individus le respect d'eux-mêmes, à renforcer leur autonomie et à garantir la cohésion sociale. A. Sen souligne que l'éducation est une condition nécessaire du développement économique.
Or justement, chez Platon, comme il l'explique dans la République, la fin de l'éducation est en quelque sorte duale. Elle prend pour finalité l'accès à l'Un-Bien, l'accès aux essences et au principe anhypothétique. Elle a donc une finalité métaphysique en ce sens précis.
Pour Aristote, la finalité de l'éducation est identique à la finalité de l'homme. Évidemment, toute éducation vise, explicitement ou implicitement, un idéal humain. Mais, pour Aristote, l'éducation est indispensable pour l'actualisation complète de l'homme. Le bien suprême auquel tout homme aspire, c'est le bonheur.
C'est que le moyen (la discipline) semble ici contredire la fin visée (la liberté et l'autonomie). On comprend dès lors qu'aux yeux de Kant, « un des plus grands problèmes de l'éducation [soit] de concilier sous une contrainte légitime la soumission avec la faculté de se servir de sa liberté ».
L'éducation est un problème en raison de la nature même de l'être humain. Contrairement aux autres êtres vivants, l'être humain n'est pas donné à la naissance, ni dans son développement physique ou intellectuel, ni dans son histoire sociale.
L'objectif de l'Education à la vie Familiale est de fournir des compétences de vie ainsi que le programme de l'Education destiné aux genres afin d'aider le développement complet des élèves pour qu'ils puissent atteindre leur potentiel total et deviennent des adultes responsables.
Qu'est-ce qu'un objet de l'éducation ? C'est ce dont il est question dans telle situation éducative particulière, c'est-à-dire ce dont on traite, ce à quoi on a affaire quand on apprend ou que l'on enseigne quelque chose de déterminé.
L'éducation « travaillait » l'enfant en vue de le rendre conforme à un modèle idéal répondant à des normes sociales. Dans l'optique de Rousseau, la situation doit changer du tout au tout. Selon lui, il ne faut pas traiter l'enfant comme un moyen, mais plutôt comme une fin absolue.
L'éducation doit consister, non à le façonner par un enseignement artificiel, mais à lui faire tirer de son propre fonds les principes qui y sont latents, à développer les heureuses dispositions que lui a inculquées la nature.