Car est une conjonction de coordination généralement précédée d'une virgule et qui introduit une explication ou une justification. Dans certains contextes, elle est synonyme de parce que.
Conjonctions « car »
La conjonction car permet d'indiquer une idée de cause entre les deux éléments (jamais davantage) de même nature et même fonction, qu'elle coordonne. En conséquence, les conjonctions « donc » et « car » ne sont jamais répétées, et se placent simplement devant le second élément.
Exprime la cause. Attendu que, car, comme, puisque, etc. Introduit une explication à la proposition suivante.
On comprend mieux alors que la phrase introduite par car ne soit pas une subordonnée : elle exprime plutôt un acte d'énonciation distinct, coordonné au précédent et sur lequel elle s'appuie. En n, la conjonction car permet de lever une ambiguïté lorsque la première des deux phrases coordonnées est négative.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
La conjonction de coordination est un mot invariable qui sert à unir deux mots ou deux groupes de mots en établissant entre eux un lien logique (addition, choix, cause, opposition…). Il n'est pas là, mais il va bientôt arriver. Les conjonctions de coordination sont : mais, ou, et, or, ni, car, soit, voire.
Une proposition subordonnée peut être complément du nom (ou du pronom) antécédent. C'est la fonction la plus fréquente de la proposition subordonnée relative. Ex. : Nous n'avons pas encore mangé le gâteau [que tu as confectionné].
Elles peuvent être conjonctives (introduites par que), interrogatives indirectes (introduites par un mot interrogatif) ou infinitives (sans mot subordonnant et avec un verbe à l'infinitif).
CAR est une conjonction de coordination qui permet aussi d'exprimer la cause. Dans de nombreux cas, CAR s'emploie de la même façon que PARCE QUE.
Car introduit l'explication, la justification de ce qui vient d'être dit : Martine a un bon salaire, car elle peut louer un grand appartement (car équivaut ici à puisque).
La subordonnée introduite par un mot interrogatif « quand, où, pourquoi, combien, comment, qui, si, quel » est dite interrogative indirecte. Elle sert de complément d'objet au verbe de la principale. Pour son anniversaire, je lui demanderai ce qu'elle aimerait recevoir.
Conjonction de coordination indiquant la raison.
CAR: indique une cause. Exemple : Il mange du poulet car il a faim. Consigne : Inscrivez la bonne conjonction de coordination (mais, ou, et, donc, or, ni, car).
Définition de car conjonction
Conjonction de coordination qui introduit une explication (preuve, raison de la proposition qui précède). ➙ parce que, puisque.
Rôle joué par un élément dans un ensemble, destination d'un appareil ; activité, rôle, destination de quelque chose : Quelle est, dans le moteur, la fonction des bougies ? 3. Rôle exercé par quelqu'un au sein d'un groupe, d'une activité : Remplir correctement sa fonction.
Les sept fonctions grammaticales liées au verbe sont le sujet, le COD, le COI, le COS, l'attribut du sujet, l'attribut du COD et le complément d'agent.
La proposition subordonnée complétive conjonctive
Elle occupe le plus souvent la fonction de complément d'objet direct (COD) ou indirect (COI) du verbe de la proposition principale : Je veux que tu viennes. La subordonnée « que tu viennes » est COD de « veux ». Je travaille à ce que le projet réussisse.
La proposition principale, la proposition indépendante ( coordonnée, juxtaposée ou non ) n'ont pas de fonction. La proposition subordonnée relative est toujours complément de l'antécédent du nom. La proposition subordonnée conjonctive a pour fonction Complément circonstanciel (de temps, de manière, de but, de cause...)
Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale). La proposition principale peut également encadrer la subordonnée : Je recontacterai, dès que la décision sera prise (subordonnée), tous les intéressés.
La subordonnée conjonctive circonstancielle de conséquence peut être… introduite par les conjonctions : au point que, de sorte que, de façon que, si bien que ; Exemple : Bob est très intelligent [si bien qu'il réussit sans peine].
Les conjonctions de subordinations des causes se composent de quinze conjonctions, ce sont : comme, parce que, puisque, étant donné que, vu que, du fait que, du moment que, dès lors que, attendu que, d'autant que, surtout que, sous prétexte que, ce n'est pas que, non que, et soit que… soit que.
Les conjonctions de coordination sont celles qui relient des mots, des groupes de mots, des propositions ou des phrases : mais, ou, et, donc, or, ni, car. Elles peuvent marquer l'union (et), l'opposition (mais, pourtant), l'alternative ou la négation (ni, ou), la conséquence (donc), la conclusion (ainsi, enfin).
La principale différence entre la conjonction de subordination que et le pronom relatif que est qu'une conjonction de subordination n'a aucune fonction syntaxique et ne reprend rien dans la phrase, alors qu'un pronom relatif reprend un autre mot que l'on appelle antécédent et occupe une fonction syntaxique.