Du latin vulgaire au roman (5e - 10e siècle) Le français prend sa source linguistique dans ce que les philologues nomment le « roman », sorte de créole à base latine et ingrédients celtes et germains, parlé en gallo-romanie, puis sous les Francs et leurs héritiers.
Selon la Constitution du 3 septembre 1791 , les individus nés en France d'un père étranger et qui vivent en France, ou encore les individus qui, après être né dans un pays étranger d'un père français, sont venus en France et ont jurés serment aux droits civils, peuvent devenir des citoyens français.
Les origines de la langue française se trouvent dans le latin vulgaire, tel qu'il était parlé dans le nord de la Gaule, et plus spécialement entre Paris et la Vallée de la Loire. «Vulgaire» est à prendre au sens étymologique: commun, populaire, par opposition au latin classique; le mot n'a rien de péjoratif.
L'ancien français (parfois appelé le vieux français, ou le françoys en ancien français) est l'ensemble des langues régionales françaises parlées entre 842 (les Serments de Strasbourg puis la Séquence de sainte Eulalie) et 1339, quand il devient le moyen français, puis le français moderne.
Le français est une langue romane. Sa grammaire et la plus grande partie de son vocabulaire sont issues des formes orales et populaires du latin, telles que l'usage les a transformées depuis l'époque de la Gaule romaine.
Le français, qui n'est autre que la forme évoluée du latin parlé en Gaule (5) a donc hérité des mots grecs que la langue latine avait déjà assimilés. Les plus anciens éléments grecs de la langue française sont donc en fait des éléments "gréco-latins".
En France, c'est le comédien et auteur de pièces de théâtre du 17e siècle Jean-Baptiste Poquelin, mieux connu comme « Molière », qui a donné son nom à la langue française.
Le peuple parlait, dans le Nord, diverses variétés d'oïl: le françois dans la région de l'Île-de-France, mais ailleurs c'était le picard, l'artois, le wallon, le normand ou l'anglo-normand, l'orléanais, le champenois, etc. Il faut mentionner aussi le breton dans le Nord-Ouest.
Jusqu'au XIIIe siècle, bonjour s'écrivait en deux mots, bon jour, et signifiait « jour favorable, temps heureux ». Par la suite, « bon » et « jour » se sont soudés en une formule de salutation.
Les premières interrogations sur la genèse de la langue apparaissent au XVIe siècle, alors qu'elle a déjà cinq siècles d'existence. Des origines à sa reconnaissance officielle en 1539, voici quelques faits marquants de l'histoire de la moins romane des langues romanes.
L'arabe dialectal. Ses trois à quatre millions de locuteurs en font après le français la deuxième langue la plus parlée sur le territoire. Et ce, respectivement devant les créoles et le berbère, l'alsacien, l'occitan, le breton, les langues d'oïl, le francique, le corse et le basque.
C'est une langue celtique, comme le gaélique d'Irlande et d'Ecosse ou le brittonique du Pays de Galles et de Bretagne. Le gaulois est issu de la même souche indo- que le latin, d'où des parentés linguistiques. Des dialectes gaulois locaux ont vraisemblablement existé, mais n'ont pas laissé de traces tangibles.
En effet, on y parlait pas moins de quatre langues, le flamand, le français, l'occitan et le gascon, qui elles-mêmes étaient fragmentées en dialectes15. Dès le xiiie siècle, toutes ces langues avaient accédé au registre de l'écrit littéraire et administratif.
Depuis la fin du XIXe siècle, la France exalte « ses ancêtres les Gaulois ». C'est pourtant à un autre peuple, venu de Germanie, qu'elle doit son nom. Longtemps désunis, les Francs s'allient au Ve siècle sous l'égide de Clovis, qui leur offre à la fois la gloire, des terres et une nouvelle dynastie.
Au 5e siècle, le peuple des Francs prend leur place. Ils prononcent le latin à leur manière, ajoutent leurs mots, et créent ainsi une nouvelle langue : le roman. En 800, Charlemagne remet le latin dans les écoles et les églises. Alors, les gens cultivés parlent latin, et le peuple, roman.
Les ancêtres des Vascons sont les Aquitains désignés ainsi par César, une population qui vivait dans la même région pendant l'Antiquité et qui parlait l'aquitain, ou proto-basque, un ancêtre du basque actuel.
Mais, au Moyen-Âge, on ne disait pas forcément "corvéable", mais on utilisait plutôt l'expression "taillable à merci".
( X e siècle) de l'ancien français mercit (881), issu du latin mercēdem , accusatif de merces « salaire, prix, récompense », tardivement « faveur, grâce ».
Comme aujourd'hui, on souhaite la bienvenue à une personne qu'on accueille avec plaisir: bien veigniez (Perceval 4557), vos soiez H bien venus (ibid.
Le latin est alors la langue maternelle de la majorité de la population de l'Empire d'Occident et partout la langue véhiculaire. Le latin écrit est partout le même, tandis que le latin parlé varie selon les provinces, sans que cela nuise à l'intercompréhension.
Jean-Claude Lefèbvre est retenu au 9e tour, en 64e position Le premier Français et, probablement, le premier « véritable » Européen de l'Histoire.
L'histoire de la langue française commence avec l'invasion de la Gaule par les armées romaines sous Jules César de 58 à 50 av. J. -C.
L'italien est une langue très proche du français, si ce n'est l'une des plus proches qui soit. De plus, sa musicalité en fait une langue très agréable à étudier et à parler.
1. Le chinois mandarin : 955 millions de locuteurs natifs. La langue la plus répandue dans le monde est le chinois mandarin. Le mandarin est parlé en Chine, à Taïwan et à Singapour et est la langue maternelle de près d'un milliard de personnes.
Quel est le mot le plus long en français ? Le plus long mot français officiellement reconnu par l'Académie française est « anticonstitutionnellement », qui comporte 25 lettres. C'est, en d'autres termes, le plus long mot du dictionnaire français.