En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Au lieu d'être 10 milliards en 2050, ce que prévoit l'ONU, on ne sera que 2 ou 3 milliards. Donc, soit on sera mort, soit on aura des proches, des amis morts. Ce sera une espèce de tristesse, de dépression mondiale. Tout cela à cause du réchauffement climatique ?
Les scientifiques conviennent que la planète se réchauffe plus rapidement que jamais en raison des grandes quantités de gaz à effet de serre que l'homme rejette dans l'atmosphère, notamment par la combustion d'énergies fossiles (charbon, pétrole et gaz), l'utilisation des voitures et l'abattage des forêts.
En l'an 3000, l'évolution de l'espèce humaine donnera naissance à des individus plus grands, aux grands yeux mais avec de plus petits cerveaux, d'après des prévisions de science-fiction du quotidien The Sun.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
Elle peut tout d'abord découler de l'activité humaine (pollution, épuisement des ressources naturelles, effet de serre). Le réchauffement climatique est susceptible d'entraîner une diminution de l'oxygène dans l'air par mort du plancton et une libération de sulfure d'hydrogène mortel pour la majorité des organismes.
Selon le biologiste Luc Bussière, la principale cause d'une extinction prochaine de l'humanité est la guerre nucléaire. Avec la prolifération de ce type d'armes, un conflit d'ampleur mondiale déclencherait certainement un hiver nucléaire prolongé amenant à la disparition de la majorité des espèces animales sur Terre.
On sera assez cheum
Un phénomène qui commence déjà puisque de plus en plus d'enfants naissent sans dents de sagesse, ces dernières ne servant plus à rien. Il se peut également qu'on ait des super méga double-mentons, et beaucoup moins de poils et des bras et des doigts très longs.
Contrairement à une idée reçue, l'homme continue d'évoluer. Le corps et le cerveau de nos ancêtres étaient aussi différents des nôtres que le seront ceux de nos descendants.
La France dans dix ans sera aussi plus urbaine : ses grandes villes ont à la fois un potentiel de développement économique et de limitation des dommages environnementaux. Elle offrira davantage d'emplois qualifiés, mais elle court aussi, si on n'y prend garde, le risque d'un dualisme du marché du travail.
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
Dans 20 ans, «nous devrions comprendre le climat bien mieux qu'aujourd'hui», répond Alain Royer. Présentement, on a du mal à prévoir les effets de rétroaction. Par exemple, le réchauffement climatique, dû principalement au CO2 dans l'atmosphère, permet aux plantes de pousser plus vite et plus tard en automne.
L'Humanité surexploite la planète et menace son propre bien-être en provoquant le déclin de la flore et des animaux sur la Terre, confrontée à la première extinction d'espèces depuis celle des dinosaures, ont alerté vendredi des experts du monde entier.
Les changements climatiques vont continuer à s'aggraver, mais même si les plus récents rapports scientifiques, dont celui dévoilé lundi par l'ONU, n'ont rien de particulièrement réjouissants, les chercheurs sont unanimes à dire qu'il n'est pas trop tard pour sauver la planète ou l'humanité.
La sixième extinction de masse s'accélère et met en péril la survie de la population humaine : c'est ce qu'affirme une étude, publiée le 1 er juin dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.
Une planète invivable à 35 °C
Lorsqu'elle dépasse les 37 ou 38 °C, la température du corps atteint un seuil létal (42-43 °C) et c'est l'hyperthermie. Mais cela dépend aussi de l'humidité qui réduit la capacité d'évaporation.
L'éducation sera accessible à tous, n'importe où, en tous temps. Parce qu'elle sera essentiellement numérique, et donc décentralisée et démocratisée. Il n'y aura plus les contraintes physiques que nous connaissons aujourd'hui, comme le besoin de se réunir à plusieurs dans une même salle.
Les mutations de l'être humain
Dans 900 ans, à force d'avoir ses yeux rivés vers le bas pour consulter son smartphone, l'être humain aurait le dos voûté et une bosse. Son coude serait naturellement plié à 90 degrés, car adapté à la position prise pour tenir le téléphone. Le Text Claw (griffe à texto) serait généralisé.
Le risque d'extinction de l'humanité a été "dangereusement sous-exploré". C'est l'alarmante conclusion d'une étude réalisée par des climatologues et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 1er août 2022.
D'abord, au bout d'un an seulement, les arbres et les plantes pousseraient sans aucun contrôle et les animaux (sauvages ou domestiques), eux, se reproduiraient comme ils auraient envie. Puis, le CO2 serait absorbé. Et ce, de plus en plus rapidement. Conséquence, les hivers redeviendraient de plus en plus froid.
La revue Nature nous dévoile que l'Homo erectus a survécu jusqu'à il y a un peu plus de 100 000 ans. Ce qui est bien plus récent que ce qui était cru jusqu'alors. En effet, cette espèce ancêtre de l'homme moderne a évolué il y a 2 millions d'années et est la première connue à marcher debout.
Le réchauffement climatique rend la terre invivable
« Avec une température supérieure à 35 °C et un taux d'humidité de 100 % empêchant toute évaporation, les gens meurent en seulement six heures », avancent les chercheurs.
Sur l'horloge de l'apocalypse, minuit représente la fin du monde.
Plusieurs points de basculement majeur de notre Planète seront probablement atteints avec +1,5 °C de réchauffement, selon une conférence donnée pour la Commission européenne. Or, selon l'Organisation météorologique mondiale, ce seuil sera peut-être atteint dans les cinq ans à venir.