La CIDE, convention internationale des droits de l'enfant, a pour but de reconnaître et protéger les droits spécifiques des enfants.
La convention met en avant quatre principes fondamentaux concernant les enfants : la non-discrimination, l'intérêt supérieur de l'enfant, le droit de vivre, survivre et se développer ainsi que le respect des opinions de l'enfant.
La Convention relative aux droits de l'enfant est le premier instrument juridique international ayant force de loi qui reconnaît à l'enfant des droits civils, culturels, économiques, politiques et sociaux. Elle fut signée le 20 novembre 1989 et entra en vigueur en 1990 avec la ratification de 20 États.
La Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE), ou Convention relative aux droits de l'enfant, est un traité international adopté par l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies, le 20 novembre 1989 dans le but de reconnaître et protéger les droits spécifiques des enfants.
Le droit international définit les responsabilités juridiques des États dans leurs relations les uns avec les autres et les rapports que peuvent avoir ces États avec les individus qui vivent sur leur territoire.
Les Etats-Unis sont et la Somalie, seul pays au monde à n'avoir pas ratifié la Convention internationale des droits de l'enfant.
Qui peut nous saisir ? En cas de désaccord avec un service public qui porte atteinte à vos droits ou libertés : La personne qui a des difficultés avec une administration ou un service public. Ses « ayants droit » (épouse ou époux, enfants, parents...)
Ils ne peuvent jamais être enlevés, bien qu'ils puissent parfois être restreints, par exemple si une personne enfreint la loi ou dans l'intérêt de la sécurité nationale. Ces droits fondamentaux reposent sur des valeurs communes telles que la dignité, l'équité, l'égalité, le respect et l'indépendance.
Ils vont des plus fondamentaux, comme le droit à la vie, à ceux qui rendent notre vie digne d'être vécue, comme les droits à l'alimentation, à l'éducation, au travail, à la santé et à la liberté.
Cinq pays s'abstiennent lors du vote (Arabie Saoudite, Biélorussie (Bélarus), Pologne, Tchécoslovaquie et Ukraine) alors que cinq autres refusent de participer : Honduras, Afrique du Sud, URSS (Russie), Yémen, Yougoslavie.
le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité d'une personne. le droit au respect de la vie privée et familiale. la liberté d'expression. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
On admet habituellement trois catégories principales: 1) les droits civils et politiques (également appelés libertés et droits fondamentaux), 2) les droits économiques, sociaux et culturels (également appelés droits sociaux) et 3) les droits collectifs.
La règle de droit, c'est l'ensemble des règles juridiques, ayant un caractère général, abstrait et obligatoire.
défendre les personnes dont les droits ne sont pas respectés ; permettre l'égalité de tous et toutes dans l'accès aux droits.
Pour veiller au respect des droits et des libertés de chacun, le Défenseur des droits dispose de deux moyens d'action : d'une part il traite en droit les demandes individuelles qu'il reçoit et de l'autre, il mène des actions de promotion de l'égalité.
La perte de nationalité peut intervenir si trois conditions sont remplies : obtenir la nationalité d'un autre État (binationalité) ; se comporter comme un citoyen de cet État ; commettre des actes contraires aux intérêts de la France.
Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. En 1789, les Français renversent leur monarchie et instituent la Première République française.
Les droits fondamentaux découlent principalement des principes suivants : Égalité : égalité des sexes, égalité devant la loi, égalité devant l'impôt, égalité devant la justice... Liberté : liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte, de liberté syndicale, de droit de grève...
- Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Tout enfant a droit à l'éducation à la vie dans le respect de l'ordre public et de bonnes mœurs. L'enfant a droit à la pension alimentaire à charge de ses père, mère ou tuteur, conformément à la loi. L'enfant a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion.
La liberté de religion et de conscience sont en effet les premiers des droits de l'homme.
Les États de l'Union Européenne, ainsi que l'Islande,La France, la Norvège, la Suisse et les autres micro-États européens respectent en général les droits de l'Homme.
I.
La Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) a été rédigée et adoptée le 26 août 1789 par l'Assemblée nationale constituante dans l'immédiateté de la Révolution française. Elle doit donc se lire comme « le but et le programme de la Révolution » (Giorgio DEL VECCHIO).