D'après l'ONU, « l'égalité de genre et l'autonomisation des femmes et des filles n'est pas seulement un but en soi, mais aussi un élément essentiel au développement durable, à la croissance économique et à la paix et la sécurité ».
Elle lutte pour l'émancipation de la femme, pour la reconnaissance de sa place sociale et politique. Elle milite également pour l'abolition de l'esclavage.
cit., Article I, de l'occupation, Art. II, du…, ainsi que les principaux devoirs d'une femme mariée : la pratique de la religion, l'éducation des enfants, les relations avec son mari, et plus généralement les mœurs.
Les femmes ont un rôle vital dans la gestion de l'environnement et le développement. Leur pleine participation est donc essentielle à la réalisation d'un développement durable.
L'empathie, l'attention aux autres, la coopération et la solidarité, ces valeurs qualifiées de « féminines » seraient de puissants vecteurs de changement, face à un monde exclusivement masculin où auraient longtemps régné la compétition, l'agressivité, la violence.
D'une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
En 1944, l'ordonnance du 21 avril du Gouvernement provisoire de la République française installé à Alger accorde le droit de vote et l'éligibilité aux femmes.
La femme concourt avec le mari à assurer la direction morale et matérielle de la famille, à pourvoir à son entretien, à élever les enfants et à préparer leur établissement.
Arrêtée le 20 juillet 1793, alors qu'elle placardait elle-même ses affiches, elle est condamnée à mort et exécutée le 3 novembre 1793. C'est à la mi-septembre 1791, qu'Olympe de Gouges a publié sa Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
Ces droits sont : la liberté, la prospérité, la sûreté et surtout la résistance à l'oppression. Article 3. Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation, qui n'est que la réunion de la femme et de l'homme ; nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
États précurseurs. 1893 : la Nouvelle-Zélande adopte le suffrage universel, permettant aux femmes (y compris les femmes maori) de voter lors des élections législatives cette année-là. Mais les Néo-Zélandaises doivent toutefois attendre 1919 pour obtenir le droit de se porter candidates.
Le rôle traditionnellement attribué aux femmes dans la société est un rôle de second plan. La société entretient un idéal de "femme au foyer" qui s'occupe de l'éducation des enfants et qui doit faire montre d'un caractère discret et soumis à son mari.
La République Centrafricaine, le Niger, l'Afghanistan, le Tchad, le Mali et la Guinée suivent dans le bas du classement. Le travail, source de revenu, est un premier pas vers l'indépendance des femmes que de nombreux pays ne veulent pas franchir.
C'est ainsi que l'article 4 du Protocole II prévoit que les femmes sont expressément protégées contre «les traitements humiliants et dégradants, le viol, la contrainte à la prostitution et tout attentat à la pudeur. »
Donner aux femmes le pouvoir d'agir
connaissent leurs droits : cela passe par l'éducation, à la liberté d'accéder à l'information. puissent revendiquer leurs droits : qu'elles aient une voix au sein leur famille tout comme dans la sphère publique, notamment en étant représentées dans les organes de décisions.
À travers son préambule et ses dix-sept articles , elle définit des droits « naturels et imprescriptibles » que sont la liberté, la propriété, la sûreté, la résistance à l'oppression, elle reconnaît l'égalité devant la loi et la justice, et elle affirme le principe de la séparation des pouvoirs.
Les inégalités de genre sont particulièrement saillantes dans le monde du travail. C'est notamment le cas au niveau des salaires, les femmes continuant d'être moins bien rémunérées que leurs homologues masculins, mais aussi en ce qui concerne l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle.
En France, la réponse est oui ! Car, aujourd'hui, la loi accorde les mêmes droits aux femmes et aux hommes.
Les défenseurs de l'égalité entre les hommes et les femmes au sein des en- treprises privées apportent la preuve qu'un taux plus élevé d'occupation des femmes peut améliorer la prise de décision, améliorer la valeur de l'actionnariat et réduire la prise de risques dans une entreprise.
Le masculinisme est une forme spécifique d'antiféminisme qui prétend que les problèmes des hommes (le décrochage et l'échec scolaires des garçons, le suicide chez les hommes et la « perte d'identité masculine ») sont causés par la « domination des femmes » et par le féminisme.
Les résultats que nous pouvons obtenir en défendant les droits des femmes sont immenses. Le monde serait plus agréable à vivre si les femmes bénéficiaient de l'égalité des droits, et il y aurait moins de discrimination : moins de personnes seraient discriminées en raison de leur sexe ou de leurs croyances religieuses.
Elles revendiquent l'égalité sociale (égalité de salaire, droit à un compte bancaire, droit à une éducation égale) et luttent pour obtenir le droit des femmes à disposer de leurs corps (« droit de contrôler leur utérus » et médiatisation autour des violences patriarcales).