Yochka est présenté, au début de cet extrait dans son cadre quotidien : une pièce aménagée, dans un milieu urbain désorganisé, dans laquelle s'entassent des enfants perdus que Yochka, à 15 ans, protège et nourrit.
Yochka est un enfant d'une quinzaine d'années qui est pris comme sujet d'un reportage réalisé par Philippe et Jean-Yves Delorce. Ils lui proposent deux cents cinquante dollars. Ce jeune homme vit sous une autoroute délabrée et doit faire vivre sa famille comme il le peut. Il est intrépide et courageux.
3) Yochka est surnommé le « Gavroche de Kotorosk ». Recherchez qui est Gavroche dans la littérature.
Deux journalistes français, Jean- Yves Delorce et son équipier Philippe Zooma (caméraman) couvrent un conflit armé qui s'éternise depuis 1623 jours. Ils vivent depuis plus de quatre mois dans un hôtel délabré le Holiday Inn.
Activités : 1) Quel métier fait Jean-Yves Delorce et quelles sont les raisons de sa présence ? J. Y. Delorce est reporter pour une chaîne de télévision. Il se trouve à Kotorosk, une ville fictive de l'Europe de l'Est, car cette ville est au cœur d'un conflit militaire.
Yochka est présenté, au début de cet extrait dans son cadre quotidien : une pièce aménagée, dans un milieu urbain désorganisé, dans laquelle s'entassent des enfants perdus que Yochka, à 15 ans, protège et nourrit. (« une pièce de quatre mètres sur cinq aménagée entre les deux piliers d'une bretelle.
Un débutant gagne environ 2600 euros bruts et un confirmé environ 3200 euros bruts. Le salaire des plus hauts gradés est de 5000 euros bruts avec les primes.
La nouvelle « Le salaire du sniper » appartient au recueil Passages d'enfer, publié en 1998. L'histoire se déroule à Kotorosk, ville imaginaire d'Europe de l'Est. Deux journalistes français couvrent un conflit armé qui s'éternise. Un jour, leur supérieur les appelle de Paris : l'audience de leur journal baisse.
Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise. La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse. Quelques voitures filaient droit devant, tous phares éteints, sur l'ancienne avenue de la Fraternité.
Bonjour, la chute de la nouvelle est la suivante : l'équipe d'envoyés spéciaux n'ayant aucun reportage digne de ce nom, le directeur de la chaîne les menace, alors le caméraman décide de payer un sniper (à l'insu de son collègue) pour qu'il abatte le jeune garçon en plein tournage, de façon à obtenir le scoop du moment ...
- Le journaliste quant à lui, est dans la même position que le soldat, il a un sac une casquette et un appareil photo avec un gros objectif. Il vient de dégainer son appareil et prend une photo comme en témoigne le « clic ». Interprétation : Les deux personnages semblent se viser l'un l'autre.
Né en 1820, il est le fils des Thénardier qui ne l'aiment pas, ne veulent pas de lui et c'est pour cela qu'il vit dans la rue (il a l'habitude de dire « Je rentre dans la rue » quand il sort d'une maison). Il ne les voit que de temps à autre, mais il aidera tout de même son père à s'évader de prison.
- Il lui raconte l'exemple du couple qui a vécu une séparation pendant 3 mois après la démolition du pont Milva.. Bonne fin de journée !
Réponse. Réponse : Poussé par le journaliste/caméraman et sa volonté d'avoir de belles images, « Yochka » prend beaucoup de risques pour sa vie. Malheureusement, le petit garçon ne parviendra pas à la fin de sa mission : il est tué d'une balle au moment où l'on s'y attend le moins.
Il s'exprime avec agacement lors de l'appel téléphonique car il n'est pas content de faire un si bas chiffre d'audience, « Polex soupira » (phrase que dit Polex avec énervement lors de l'appel téléphonique à Jean Yves) « - Je me fous de la cuisine interne » et autres...
Le personnage au bout du fil est Paul Exarmandia, dit Polex, un des responsables du journal à Paris. Il est est sans doute leur supérieur hiérarchique. Question 7. Pour Polex, quand on fait ce métier, le plus important c'est l'audimat, la part d'audience plutôt que l'information en elle même .
Le cadre spatial est un terme faisant référence à un espace défini ou un espace délimité. Généralement, on parle d'un lieu, d'un espace géographique. Exemple : Le cadre spatial du film était la petite ville de Rumilly.
Limites de temps et de lieu. Extrémités définies de repères à la fois dans un espace géographique et dans une durée de temps.
Selon l'unité à laquelle ils appartiennent, les futurs tireurs d'élite seront formés au centre national d'entraînement des forces de gendarmerie de Saint-Astier ou par des spécialistes du GIGN. Côté police, il faudra intégrer l'ENP (école nationale de police) sur concours dans un premier temps.
Simo Häyhä, considéré comme le meilleur tireur d'élite de toute l'histoire. Il utilisa un fusil à mire métallique durant la guerre d'Hiver (1939 - 1940). Il détient le record de coups au but (542), toutes guerres confondues.
Le sniper (ou tireur embusqué) diffère du tireur de précision (marksman, ou anciennement sharpshooter en anglais) principalement dans la doctrine d'emploi, totalement différente : le sniper agit en petite équipe isolée (en duo, en trio, voire seul), tandis que le tireur de précision appartient à une section d' ...
Marius Pontmercy est un personnage du roman Les Misérables de Victor Hugo. Il tombe amoureux de Cosette et la marie à la fin du roman. Il est l'un des rares personnages qui survivent à la fin de l'histoire.
Couple de personnages des Misérables de Victor Hugo. Couple connu sous les traits des aubergistes auxquels Fantine a remis Cosette, ils ont pour enfants Éponine (qui mourra sur les barricades), Azelma et trois garçons, dont Gavroche.
Origine[modifier | modifier le wikicode]
Le couple Thénardier a eu cinq enfants : deux filles, Eponine et Azelma, puis Gavroche, né en 1820, et après lui, deux garçons.
Apparue au XIXe siècle, “Titi parisien” est une expression familière désignant un enfant de Paris. Issu du milieu populaire, le “titi” est déluré, très dégourdi, farceur, et connaît bien entendu Paris comme sa poche. Il a en général un langage bien à lui.