Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
1 000 000 000 se lit "un milliard". 1 000 000 000 000 se lit "mille milliards", ou un billion.
Le gogol et le Gogolplex
10 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 : pourrais-tu lire ce nombre ? C'est le gogol (ou googol), un très grand nombre, égal à 10100 (1 suivi de 100 zéros) !
Un nouveau nombre premier a été identifié, qui a la particularité d'être le plus grand connu jusqu'ici. Il s'agit du nombre 277232917 – 1 (c'est encore un nombre de Mersenne), qui s'écrit en base 10 avec 23 249 425 chiffres.
Le zéro a été inventé aux alentours du Ve siècle en Inde. Le mathématicien et astronome Brahmagupta dessine le vide, le néant, le rien. Il invente un signe pour l'absence et ouvre le chemin de la représentation de ce qui n'était pas représentable jusque-là.
Au-dessus du milliard, on trouve le billion (12 zéros), le billiard (15 zéros), le trillion (18 zéros), le trilliard (21 zéros), le quadrillion (24 zéros), le quadrilliard (27 zéros)... » Billions.
En effet, les nombres entiers sont les nombres entiers relatifs, qui incluent les nombres entiers négatifs, jusqu'à la limite de l'infini négatif. En revanche, le plus petit des nombres entiers naturels est 0, et le plus petit nombre entier naturel non nul est 1.
Au delà du milliard, on trouve un billion, qui était aussi égal à mille milliards, ou un million de millions. Puis, un billard, qui est mille billion. Puis un trillion qui est un million de millions de millions. Puis un trillard qui est mille trillions.
Un trillion est l'entier naturel qui vaut 1018 (1 000 000 000 000 000 000) dans l'échelle longue, soit mille billiards ou un milliard de milliards, ou encore un million de millions de millions. Un trillion est ainsi égal à 1 000 0003, d'où le terme, formé de tri- et de million.
Ces deux systèmes définissent différemment les mots « billion », « trillion », « quadrillion », etc. L'échelle longue définit aussi les noms « billiard », « trilliard », « quadrilliard », etc.
Un billiard est l'entier naturel qui vaut 1015 (1 000 000 000 000 000) ou 1 000 0002,5, soit 1 000 billions ou 1 million de milliards. Par exemple, « 1 288 269 950 042 115 » représente 1 billiard 288 billions 269 milliards 950 millions 42 mille 115.
Dans les textes suivis, les grands nombres (mille, million, milliard, billion, billiard, trillion, etc. )
Un billion est l'entier naturel qui vaut 1012 (1 000 000 000 000) ou 1 000 0002, soit mille milliards dans l'échelle longue (notamment utilisée dans les pays francophones).
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
En résumé, l'imagination mathématique de l'Homme n'a qu'une seule limite : l'infini.
En 2007, l'Américain Jeremy Harper a compté jusqu'à un million en y dédiant seize heures par jour. Il a mis quatre-vingt-neuf jours, soit quatre fois plus que le temps escompté.
Le symbole de l'infini, en mathématiques et au-delà des mathématiques, est « ∞ », inventé par le mathématicien John Wallis au XVII e siècle, signe dont l'origine est controversée et dont la forme peut évoquer un « 8 » horizontal (mais ce n'est pas en référence au chiffre 8 que ce signe fut choisi) ; cette forme a été ...
Il est beaucoup trop grand pour être écrit grâce à la notation scientifique et nécessite une notation permettant d'écrire de très grands nombres. Toutefois, il est possible d'obtenir ses derniers chiffres sans trop de difficulté. Ainsi ses dix derniers chiffres sont 2464195387.
Les nombres réels sont les nombres, comme e = 2,7182818284590…, qui écrits en base 10 par exemple, peuvent se poursuivre indéfiniment (c'est le cas du nombre e). Ceux qui ne se poursuivent pas indéfiniment (comme le fameux 6,55957) sont les décimaux.
Le mathématicien australien Gordon Royle, qui s'est pris de passion pour le sujet, les recense, les traque de par le monde et sa collection contient près de 50 000 spécimens. Mais aucune grille avec seulement 16 indices. Il a donc été conjecturé que le "nombre de Dieu" était 17.
Le chiffre 7 est parfois considéré comme un « chiffre magique » ou sacré.
Les nombres parfaits sont des entiers égaux à la somme de leurs diviseurs. Ainsi, 6 se divise par 2, 3 et 1. En additionnant 2, 3 et 1, on arrive à 6 ! Même chose pour 28, somme de 1 + 2 + 4 + 7 + 14.