– Littéraire : répudiation. Contraire : acceptation, accord, adhésion, admission, adoption, approbation, assentiment, assimilation, ralliement.
Ce qui s'oppose à. Synonyme : antipode, antithèse, contrepartie, contre-pied, envers, inverse, négation, opposé.
Fait de refuser, de ne pas admettre ; abandon : Le rejet d'une requête.
Fidélité manifestée par la conduite aux engagements pris, au respect des règles de l'honneur et de la probité.
Contraire : fanatisme, intolérance, sectarisme.
Contraire : audace, dérision, désinvolture, impertinence, insolence. – Littéraire : irrespect, irrévérence.
Entre tolérer l'autre et le reconnaître ou le respecter, il y a un pas. La tolérance suppose d'être bien disposé envers ce qui est différent et étrange ; le respect suppose d'approuver, de donner une valeur à l'autre pour lui-même, à ses actes ou à ses attitudes.
Qui trahit ou est capable de trahir. ➙ déloyal, félon, infidèle. On l'accusa d'être traître à sa patrie.
traïtresse « femme qui trahit » (La Fille mal gardée, éd. P. Meyer ds Romania, t.
Lorsqu'on se sent trahi, c'est souvent par quelqu'un qui est important pour nous. Comme l'autre nous aime, il ressent nos attentes et essaie de les combler. Pourquoi avons-nous autant d'attentes? Parce qu'on croit que l'autre nous prouve qu'il nous aime s'il y répond.
La réponse est que notre cerveau est structuré pour répondre de cette façon. Lorsque nous sommes rejetés, abandonnés ou subissons une perte, les mêmes zones du cerveau impliquées dans la douleur physique sont activées, à savoir l'insula antérieure et le cortex cingulaire antérieur.
Oser en parler avec les personnes concernées par ce sentiment de rejet, soit en leur parlant de vive voix, soit en leur écrivant une lettre. "L'idée est de prendre le témoignage de tous sans critique ni jugement et pouvoir faire du tri", précise-t-elle.
Les contraires sont des mots de sens opposés qui permettent d'exprimer un autre état ou une autre idée. Deux mots de sens contraires s'appellent des antonymes. Les contraires d'un mot appartiennent tous à la même classe grammaticale (ils sont de même nature).
Contraire : animosité, antipathie, aversion, désaffection, haine, hostilité, inimitié.
On peut former le contraire de certains mots en ajoutant un préfixe de sens négatif : in-, im-, il-, ir-, dé-, dés-. Ex. : possible, impossible ; lisible, illisible. Les deux contraires sont alors de la même famille (faire/défaire ; ranger/déranger ; vendu/invendu.)
Lorsque l'infidélité est par exemple réciproque, il n'y a pas d'adultère. Par ailleurs, si la tromperie découle du comportement fautif d'un des conjoints, l'adultère peut-être aussi contestée. Mais tout est bien sûr laissé à l'appréciation du juge.
Sur les 743 membres interrogés, 27 % considèrent que l'infidélité commence dès les premiers messages 'osés' envoyés à un partenaire. Pour 22%, il faut au moins un baiser et pour 23%, infidélité il y a à partir de la première relation sexuelle.
Dans certains textes, le mot « adultère » désigne n'importe quelle relation sexuelle hors mariage (donc par exemple entre célibataires), cependant, en français, le terme consacré pour ceci fut fréquemment « fornication » (mot largement tombé en désuétude de nos jours).
Il faut tout d'abord laver la société de la souillure qu'elle a subi, la libérer de l'impureté. La punition a une fonction cathartique manifeste et le sang du traître paraît être, en bien des situations, l'instrument idéal de purification. Le traître doit surtout être mis au supplice, le plus longtemps possible.
La blessure de trahison est donc intimement liée à la peur de l'abandon ou de la séparation avec ses parents. "On peut même dire que lorsqu'elle n'est pas traitée, la blessure d'abandon peut se transformer en blessure de trahison. La peur de la trahison est l'étape d'après la peur de l'abandon, précise notre experte.
Pourquoi est-on rejeté ? Naturellement chez l'être humain, ce qui est différent suscite la méfiance, voire, la peur, surtout chez les personnes insécures. Ce qui est différent d'un groupe est inconsciemment considéré comme une menace pour l'unité de celui-ci.
Car une société de vraie tolérance, ce n'est pas simplement une société où l'on accepte que des gens différents vivent à côté de nous. Une société de vraie tolérance, c'est où l'on accepte de vivre avec les autres, de vivre ensemble nos différences. La journée mondiale de la tolérance est là pour nous le rappeler.
La vertu de tolérance est acceptée comme une valeur de morale sociale. Toute liberté ou tout droit implique nécessairement, pour s'exercer complètement, un devoir de tolérance. Selon John Locke, la tolérance signifie « cesser de combattre ce qu'on ne peut changer ».