Le deuil compliqué est caractérisé par une perturbation du travail de deuil qui ne s'engage pas ou qui ne parvient pas à son terme. Le deuil pathologique est caractérisé par la survenue de troubles psychiatriques durant la période du deuil.
Il existe trois formes de deuils compliqués : Le deuil différé, le deuil dans lequel le refus initial de la perte va être beaucoup trop long. Le deuil inhibé qui est caractérisé par l'absence d'expression des émotions.
La durée d'un deuil est très variable, suivant la souffrance de la personne. Elle peut s'étendre de plusieurs semaines à plusieurs mois ou même plusieurs années. Néanmoins quand le deuil fait suite à la perte d'un proche, la première année est souvent décisive afin de revisiter toutes les grandes dates anniversaire.
A la fatigue s'ajoute parfois l'épuisement des années d'accompagnement du proche malade. Que la mort soit annoncée ou pas, un état de stress chronique peut s'installer, entraînant des perturbations biologiques, dont une baisse transitoire des défenses immunitaires, qui peuvent faire le lit d'une maladie.
L'absence de deuil ou le deuil-non-fait en est une complication grave à l'origine de désordres somatiques et psychologiques et d'une entrave au bon développement psychique chez l'endeuillé et même sa descendance.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
Tranxène, Lysanxia, Lexomil, Xanax, Valium… sont recommandés pour calmer les troubles de l'angoisse ou de l'anxiété.
Accueillir totalement notre souffrance
Laisser venir la douleur qui tord ses entrailles, se laisser traverser totalement par elle, la vivre le plus profondément possible. C'est une étape indispensable pour accomplir son deuil. Plus tôt on se confronte à sa souffrance, plus tôt on s'en libère.
Ces complications sont de quatre types : des difficultés personnelles, des difficultés relationnelles avec autrui, une relation inadaptée avec la personne disparue et une identité cristallisée sur le statut de « personne en deuil ».
Qu'est-ce que le deuil pathologique ? Le deuil pathologique est un état qui survient lorsque la personne endeuillée développe les symptômes d'une pathologie, physique ou psychologique, qu'elle n'avait jamais manifestée jusque-là.
Le chrysanthème, la "fleur des morts"
Déposer des chrysanthèmes sur la sépulture est ancré dans l'Histoire de France. C'est pourquoi le chrysanthème symbolise la mort.
Troisième étape du deuil : le marchandage
Vers quelque chose de plus grand que nous qui pourrait changer le destin de notre proche. C'est ce sentiment d'impuissance qui nous pousse à réagir de la sorte. Cela donne un semblant de contrôle sur quelque chose qui n'est pas de notre ressort.
Le déni : le refus de la mort comme mécanisme de défense
La souffrance du deuil se trouve alors anesthésiée. « La personne peut sembler dépassée, silencieuse et même ahurie.
Parfois, exprimer ce que vous ressentez à quelqu'un d'autre peut vous aider à surmonter ces émotions. Après un décès, recherchez le soutien de vos amis et des membres de votre famille qui vous comprennent. Parlez-leur de vos sentiments et recherchez du confort et du soutien X Source de recherche .
Les benzodiazépines anxiolytiques agissent en augmentant la capacité de relaxation et en diminuant les manifestations physiques de l'anxiété. Leur action est rapide. Elles ne peuvent pas constituer un traitement de fond.
Pour envoyer de la lumière à un défunt vous pouvez : Visualisez la personne défunte, souriante, heureuse et entourée d'une belle lumière protectrice. Dites-lui que vous l'aimez. Dites lui comme vous souhaitez qu'il aille bien, qu'il soit heureux.
Inspirez profondément environ 5 secondes et relâchez doucement votre respiration pendant la même durée. Recommencez autant de fois que nécessaire, jusqu'à ce que vous ayez retrouvé votre calme. En vous concentrant sur votre respiration, vous videz votre esprit et vous évacuez votre tristesse, sans pleurer.
Comptez sur des personnes moins affecté par la douleur. Évitez absolument de vous repliez sur vous-même ; continuer à sortir, à voir votre famille, vos proches, vos amis. Restez seul chez vous ne fera que vous rappelez la mort de votre conjoint (surtout si vous habitez toujours le même logement).
Il est possible de parler au défunt autrement que dans le souvenir et le chagrin. La mort n'a pas le pouvoir d'interrompre le dialogue. Elle peut seulement le forcer à muter, à trouver d'autres voix, à emprunter d'autres voies. Passée la stupeur et la sidération, le dialogue renaît car il doit renaître.
Les blessures de l'âme sont le rejet, l'abandon, l'injustice, la trahison et l'humiliation. Tout problème que vous vivez, qu'il soit d'ordre physique, relationnel, monétaire, professionnel, sexuel, d'estime de soi, etc., peut être attribué à une ou plusieurs de ces cinq blessures.