Loi universelle de la nature qui s'exprime dans chaque être individuel (devoir moral) aussi bien que dans le cosmos par son mouvement cyclique et régulier. (C'est l'une des principales notions de l'hindouisme, du bouddhisme et du jaïnisme.)
Suivre le dharma, c'est donc vivre et agir en harmonie avec la Loi qui régit tout l'univers, afin de reconnaître pleinement ce substrat universel qui n'est pas différent de ce que nous sommes vraiment. Cela demande d'abord de comprendre que le bonheur permanent ne peut pas se trouver dans ce qui change tout le temps.
Il est très facile de s'adonner à des activités du Dharma telles que réciter des mantras, dire des prières, faire des offrandes et des choses de ce genre avec la pensée des huit préoccupations mondaines.
Le Dharmachakra (धर्मचक्र (dharmacakra)), la « Roue du Dharma » ou « Roue de la Loi », est un symbole représentant la doctrine bouddhiste et la diffusion de l'enseignement du Bouddha sur le chemin de l'éveil, depuis le début de la période du bouddhisme indien.
Hindouisme. Article détaillé : Droit hindou. Dans l'hindouisme, le mot a les sens suivants : Ordre universel cosmique ; loi éternelle ; morale, devoir ; vertu ; droiture. L'hindouisme se désigne lui-même en tant que Sanātana-Dharma (सनातन धर्म), « loi éternelle ».
Loi universelle de la nature qui s'exprime dans chaque être individuel (devoir moral) aussi bien que dans le cosmos par son mouvement cyclique et régulier. (C'est l'une des principales notions de l'hindouisme, du bouddhisme et du jaïnisme.)
C'est ce qu'on appelle communément le « karma », sachant que notre futur prend racine dans le présent, lui-même étant le résultat de nos actes passés. Tout ceci est symbolisé par le nœud infini tibétain, dont la forme géométrique parfaite se rejoint en son centre.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
La quatrième noble vérité est celle du chemin (magga) menant à la cessation des souffrances. Ce chemin est le « noble sentier octuple »: la vision juste, la pensée juste, la parole juste, l'action juste, les moyens d'existence justes, l'effort juste, l'attention juste et la concentration juste.
Cette notion vous invite simplement à découvrir votre plein potentiel puis à exprimer vos talents ou dons personnels et uniques afin de vous épanouir tout en faisant le bonheur des autres. Résultat : du positif pour tout le monde, y compris vous !
Pour un bouddhiste, la vie est une préparation de la mort. Pour atteindre le Nirvana où il sera libéré des maux de ce monde et de toutes les sources de souffrance, le bouddhiste doit vivre en respectant le Dharma ou les lois.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Dieu le Père et Jésus.
Dans cette chaîne infinie, trois types de karma peuvent être distingués : le karma passé ( Sanchit Karma ), le karma présent ( Prarabdha Karma ) et le karma futur ( Agami Karma ).
Il s'agit de prendre sa part de responsabilité, de regarder à l'intérieur de soi... Il est conseillé de cultiver la gratitude, de remercier et de choisir d'avoir des actions très positives pour essayer de réparer ses erreurs passées.” Bonne nouvelle, rien n'est écrit et personne n'est obligé de subir un mauvais karma.
un bol pour recueillir sa nourriture (patta) ; un rasoir (vasi) ; une aiguille (nécessaire à couture) pour réparer ses vêtements (suchi) ; un filtre à eau, pour ôter les êtres vivants de son eau afin que ni lui ni eux ne soient blessés (parissavana).
Textes du theravâda
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
Le premier d'entre eux est de s'abstenir de mentir, ou plutôt, doit-on dire, de tromper. Le bouddha historique lui-même pouvait donner des réponses différentes en fonction de l'interlocuteur auquel il s'adressait.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir. Cela laisse tout de même tous les autres produits issus de la nature à l'exception des alliacés (ail, oignons, etc) considérés comme impurs.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».