L'air expiré ne contient plus que 17% d'oxygène. En échange, la teneur en CO2 augmente de 0,04% à 4%. Le corps brûle de l'oxygène dans les muscles, générant du dioxyde de carbone comme produit résiduaire. La distribution de l'oxygène capté est une tâche du sang.
Le gaz carbonique est naturellement produit par tous les organismes vivants, lors de la respiration des animaux et de la photosynthèse des végétaux. Ces sources naturelles de gaz carbonique existent depuis la nuit des temps et ne contribuent pas au changement climatique.
En inspirant, nous inhalons l'oxygène ambiant et en expirant, nous rejetons du dioxyde de carbone. Chaque inspiration peut contenir jusqu'à quatre litres d'air. La respiration interne est un processus biochimique qui permet de libérer l'oxygène dans les cellules et de produire de l'énergie pour le corps.
L'expiration ou souffle correspond à la phase de la sortie de l'air des poumons lors de la ventilation pulmonaire, par le relâchement du diaphragme et la contraction des muscles intercostaux.
Elle produit de l'eau, et un déchet, le dioxyde de carbone (CO2, qui doit être éliminé). Elle libère également de l'énergie, dont le corps a besoin. Les nutriments sont apportés par la digestion. La respiration se manifeste donc par une consommation de dioxygène et un rejet de dioxyde de carbone, que l'on peut mesurer.
Le diazote n'est donc pas absorbé par l'organisme lors de la respiration. Le nom "azote" vient d'ailleurs de cette propriété. Antoine Lavoisier a choisi ce nom pour la raison suivante. Le préfixe "a " signifie "sans ", et "zoe " en grec signifie "vivant ".
Le dioxyde de carbone peut principalement être trouvé dans l'air, mais aussi dans l'eau en tant que partie du cycle du carbone. Vous pouvez consultez la page sur le cycle du carbone.
La respiration est une fonction biologique assurée par l'inspiration et l'expiration. Elle a pour but d'acheminer l'air riche en dioxygène (O2) à l'intérieur de l'organisme et de rejeter l'air riche en dioxyde de carbone (CO2) à l'extérieur de l'organisme.
Le gaz le plus important dans l'air est le diazote : il constitue 78,2 % de l'atmosphère terrestre. Dans l'air expiré, il y a la même quantité d'azote que dans l'air inspiré, ce qui prouve que notre corps n'en a pas besoin.
À des concentrations élevées, le dioxyde de carbone peut déplacer l'oxygène de l'air, privant ainsi le corps d'oxygène, ce qui peut causer une perte de conscience. Le dioxyde de carbone agit également comme un puissant dépresseur du système nerveux central.
L'échange gazeux se produit entre les millions d'alvéoles pulmonaires et les capillaires qui les enveloppent.
La seule et unique façon d'ajouter vraiment du carbone dans l'atmosphère consiste à le prendre de combustibles fossiles comme le pétrole et le charbon dans lesquels il est stocké depuis des centaines de millions d'années et de le répandre dans l'atmosphère en les brûlant.
800 ppm : provoque des maux de tête, vertiges et nausées. Cette concentration en CO entraîne la perte de connaissance en 45 min, et la mort en 2 à 3 heures. 12 800 ppm : entraîne la perte de connaissance immédiate et la mort entre 1 et 3 minutes.
Le méthane est le principal responsable de la formation de l'ozone troposphérique, un polluant atmosphérique dangereux ainsi qu'un gaz à effet de serre, dont l'exposition provoque chaque année un million de décès prématurés (en anglais). Le méthane est également un puissant gaz à effet de serre.
Une fois émis, le gaz est en partie absorbé par les puits de carbone naturels. Cette absorption du dioxyde de carbone a doublé en cinquante ans (de 1960 à 2010) mais cela ne suffit pas pour compenser la hausse des émissions : la moitié du CO2 rejeté par les activités humaines s'accumule dans l'atmosphère.
Le gaz de ville était composé de dihydrogène et de monoxyde de carbone, gaz très toxique et indolore. Le gaz naturel est composé d'hydrocarbures gazeux constitués de méthane (en grande majorité), éthane, propane et butane.
Conclusion : l'air n'est pas un corps pur, c'est un mélange de gaz. Les deux principaux sont le diazote (80% ou 4/5) et le dioxygène (20% ou 1/5). Parmi eux, c'est le dioxygène qui est indispensable à la vie. L'air contient quatre fois plus de molécules de diazote que de molécules de dioxygène.
Parmi les besoins physiologiques de l'organisme, nous retrouvons le besoin en oxygène (O2) et le besoin d'éliminer un déchet, en l'occurrence, le gaz carbonique (CO2).
Les alvéoles pulmonaires sont le lieu de passage du dioxygène de l'air dans le sang. Le dioxygène traverse la paroi des alvéoles puis celle des vaisseaux sanguins pour rejoindre le sang.
Fonction pulmonaire
L'air inspiré est composé principalement d'azote (78%) et d'oxygène (21%). Le dioxyde de carbone (CO2) ne représente que 0,04% de l'air inhalé. L'air expiré ne contient plus que 17% d'oxygène. En échange, la teneur en CO2 augmente de 0,04% à 4%.
L'abdomen ne se gonfle que parce que le diaphragme, en se tendant et s'abaissant, pousse les viscères, qui viennent appuyer sur la paroi abdominale. On parle donc de respiration abdominale par simplification, et pour éviter une respiration trop haute.
Le dioxygène est une molécule composée de deux atomes d'oxygène, d'où le préfixe "di-". Sa formule chimique est O2. Exemple : Le dioxygène est un des gaz composant l'atmosphère terrestre.
Le dioxyde de carbone, plus communément employé sous sa formule moléculaire CO2 (pour un atome de carbone et deux atomes d'oxygène), est un gaz sans couleur ni odeur.
Hypercapnie : comment se définit-elle ? L'hypercapnie désigne une augmentation de la concentration de gaz carbonique (CO2) dans le sang : C'est un signe d'hypoventilation alvélolaire : diminution des entrées et des sorties d'air dans les alvéoles pulmonaires.