L'intestin et le cerveau sont étroitement connectés. Le système nerveux central est en interaction permanente avec le tube digestif. Cette connexion est bidirectionnelle et se fait, avant tout, par les voies nerveuses sympathiques (nerfs splanchniques) et parasympathiques (nerfs vagues) du système nerveux autonome1.
« Quand certaines bactéries sont surreprésentées, le système immunitaire réagit et il y a de l'inflammation. Le cerveau répond à cette inflammation avec des symptômes dépressifs. Pensez au malaise qu'on ressent quand on est malade, on ne se sent pas bien, au-delà de la douleur. » L'étude de 2018 de M.
Les nutriments présents dans l'intestin stimulent la libération d'hormones, pour informer le cerveau, mais des minutes, voire plus, après l'ingestion de nourriture. Jusqu'à présent on pensait que ces cellules sensorielles n'agissaient que par la voie lente des hormones comme la cholécystokinine.
Il s'agit du second système nerveux de l'organisme, d'où le nom de « deuxième cerveau ». Concrètement, ces neurones présents dans nos intestins échangent de manière continue avec les neurones du cerveau, via les voies sanguines, mais surtout par le nerf vague, pour transmettre tout un tas d'informations.
Le système nerveux entérique est la partie du système nerveux autonome qui contrôle le système digestif aussi bien pour l'activité motrice (péristaltisme, vomissements, complexes moteurs migrants, réflexes entériques) que pour les sécrétions et la vascularisation.
Les scientifiques sont pour une fois d'accord sur quelque chose : l'homme est l'espèce la plus intelligente sur terre.
L'encéphale représente la partie majeure du cerveau humain et est associé à des fonctions supérieures comme le contrôle des comportements volontaires. Penser, percevoir, planifier, et comprendre un langage, toutes ces fonctions sont sous le contrôle des hémisphères cérébraux.
Il peut avoir un rôle dans l'apparition des addictions, de l'anxiété ou de la dépression par exemple. On suppose même que ces bactéries pourraient jouer un rôle dans les troubles du spectre autistique, la maladie de Parkinson ou Alzheimer.
Des neurones dans l'intestin
Mais il y a mieux : comme notre cerveau, notre ventre produit également de la sérotonine, un des neurotransmetteurs qui participent à la gestion de nos émotions ! Et pas qu'un peu : 95 % de la sérotonine totale de notre corps, selon les dernières découvertes.
Des neurones par millions
Dire que le ventre est le deuxième cerveau du corps humain n'est pas qu'une expression. Notre système digestif compte en effet 200 millions de neurones, et compte de nombreuses interactions avec le cerveau. C'est ce qu'on appelle le « système nerveux entérique ».
L'intestin grêle continue la digestion et absorbe les éléments nutritifs. Le gros intestin absorbe l'eau des aliments partiellement digérés, les façonne en selles et les emmagasine jusqu'à leur évacuation du corps lors de la défécation.
L'occlusion intestinale, c'est le blocage partiel ou complet de l'intestin grêle ou du côlon. Ce blocage empêche les aliments, les liquides et les gaz de circuler normalement dans l'intestin.
On compte des milliards de neurones un peu partout dans un organisme humain (cerveau, moelle épinière et nerfs). Plusieurs formes de neurones sont possibles, mais ils possèdent tous les trois structures de base : l'axone, le corps cellulaire et les dendrites.
Par exemple, certaines souches Lactobacillus et Bifidobacterium produisent de l'acide gamma-aminobutyrique (GABA), un des principaux neurotransmetteurs inhibiteurs dont les anomalies retentissent sur les phénomènes d'anxiété et de dépression.
Les causes d'un manque de sérotonine
le stress, qui a tendance à diminuer la quantité de sérotonine produite au sein du cerveau. ou une mauvaise alimentation, donnant lieu à une carence en tryptophane, l'acide aminé dit “précurseur de la sérotonine”, qui est nécessaire à la production de sérotonine.
Ces sensations peuvent donc à la fois être la simple conséquence d'un repas trop copieux ou d'un vêtement trop serré à la taille, mais aussi les symptômes de pathologies digestives diverses ou d'une intolérance alimentaire, voire d'une grossesse.
Œsophage. L'œsophage est un tube musculaire qui relie la bouche à l'estomac.
Lactibiane Référence (Pileje), le plus pointu. Dans sa gamme Microbiote, Pileje a développé des produits ciblant différents troubles avec des souches de probiotiques très spécifiques. Lactibiane référence est le plus indiqué en cas de stress avec troubles digestifs.
L'intestin et le cerveau sont étroitement connectés. Le système nerveux central est en interaction permanente avec le tube digestif. Cette connexion est bidirectionnelle et se fait, avant tout, par les voies nerveuses sympathiques (nerfs splanchniques) et parasympathiques (nerfs vagues) du système nerveux autonome1.
COMMUNIQUE DE PRESSE - Le stress modifie le microbiote intestinal, qui à son tour perturbe la mémoire. C'est en étudiant un modèle surprenant, la caille japonaise, qu'une équipe d'INRAE a mis en lumière l'interconnexion entre stress, état du microbiote et troubles de la mémoire.
Le test de Folstein permet de vérifier que votre cerveau est toujours en forme. Il est très utile, car il arrive, quand on atteint un certain âge, que l'on ait des trous de mémoire ou des troubles de l'attention.