L'acétaminophène (Tylenol®, Tempra®) est l'antidouleur recommandé en premier lieu en cas d'arthrose. Ce médicament est fort efficace, surtout si l'arthrose est légère.
Le paracétamol
Les médicaments contenant du paracétamol (voir liste ici) sont recommandés en premier lieu. Dans le traitement de l'arthrose, le paracétamol peut être pris à la dose de 1 gramme, quatre fois par jour, mais uniquement sur prescription médicale. Le paracétamol est habituellement bien toléré.
La douleur arthrosique se traite par des médicaments antalgiques, la prise d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) par voie orale ou locale, ou par des injections intra-articulaires de corticoïdes ou d'acide hyaluronique hors contre-indication individuelle.
Trois familles d'antidouleurs sont disponibles sans ordonnance : Les dérivés du paracétamol (Doliprane, Efferalgan, Dafalgan…) Les dérives de l'acide acétylsalicylique (Aspirine, Aspégic…) Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (Advil, Nurofène, Voltarène…)
Les produits laitiers sont acidifiants et entretiennent l'inflammation latente qui rend les articulations douloureuses. Ne vous en privez-pas totalement mais préférez le lait de chèvre ou le lait de brebis (ou les yaourts) ainsi que les fromages frais, plus digestes.
C'est le cas des anti-TNF, une nouvelle classe thérapeutique issue du génie génétique (biothérapie) utilisée avec succès dans plusieurs indications rhumatologiques pour limiter la réaction inflammatoire mais totalement inefficace sur l'arthrose.
La douleur est le principal symptôme de l'arthrose et constitue le cœur de cible des traitements actuels, qu'ils soient médicamenteux ou non. Très handicapante au quotidien, cette maladie rhumatismale occasionne des douleurs chroniques et d'autres encore plus virulentes lors de poussées ou crises aiguës d'arthrose.
L'arthrose primitive peut être favorisée par certains facteurs, comme le vieillissement ou la surcharge mécanique de l'articulation (surpoids, anomalie architecturale de l'articulation) ; les anomalies du métabolisme (diabète, etc.) et peut-être une origine hormonale.
"Le bicarbonate de soude en tant qu'aliment alcalin, permet de contre-balancer l'acidité présente au niveau des articulations et de soulager les douleurs articulaires." Il est possible de l'utiliser sous forme de cataplasme (directement sur un linge humide ou mélangé à du miel par exemple) à laisser poser sur l' ...
«Lors d'une nuit de sommeil, notre organisme produit moins de cortisol, une hormone naturellement anti-inflammatoire.» Ces douleurs positionnelles de repos sont encore plus vives avec les pathologies d'origine inflammatoire, telle l'arthrite, où les œdèmes articulaires sont omniprésents.
Il n'existe actuellement aucun moyen de guérir l'arthrose. Il existe cependant des façons de gérer les symptômes et d'améliorer les fonctions.
Il fait partie des aliments à oublier en cas d'arthrose pour ses pouvoirs acidifiants et les déchets qu'il génère. Il est également très calorique favorisant la prise de poids, démarche contreproductrive.
Effectivement, les fruits alcalinisants dont la banane participe au bon rétablissement de l'équilibre acido-basique dans l'organisme et d'autant plus au niveau du cartilage.
La membrane d'oeuf a fait ses preuves. Des études cliniques ont démontré l'excellente capacité de la membrane d'oeuf à réduire la douleur, la rigidité articulaire au niveau de la hanche et du genou chez des personnes souffrant d'arthrose et chez les sportifs sains².
Une cure de citron peut s'avérer très bénéfique pour soulager les manifestations articulaires. Prenez chaque matin un jus de citron bio pressé dans lequel vous pouvez rajouter un peu de miel et de vinaigre de cidre.
Ainsi, dans les aliments contre l'arthrose, citons tous ceux qui sont riches en antioxydants : fruits (notamment les baies, les agrumes, les cerises et les dattes), légumes (les crucifères, les poivrons, les artichauts, le céleri, les épinards, etc.), légumineuses, noix et graines.
Les lésions arthrosiques sont irréversibles. Outre les déformations, le malade atteint d'arthrose voit ses articulations se raidir, ce qui peut devenir invalidant et entraîner chutes et perte d'autonomie.
Le tramadol provoque fréquemment des troubles digestifs, comme les nausées et la constipation, des vertiges, la bouche sèche, une somnolence. La revue Prescrire soulignait le risque de troubles du rythme cardiaque et d'hypoglycémie, particulièrement dangereuse chez les personnes âgées.
La morphine est l'antalgique puissant de référence aujourd'hui, même si d'autres molécules dérivées de la morphine ont été développées depuis. L'usage de la morphine n'est plus aujourd'hui réservé aux cas extrêmes ou aux soins palliatifs.
Aucune différence significative d'effet antalgique n'a été démontrée, sur une étude de 460 patients suivis pour douleurs lombaires ou arthrosiques, comparant paracétamol 325 + tramadol 37.5 à paracétamol 300 + codéine 30.