Les antihistaminiques : dimenhydrinate (Mercalm®, Nausicalm®) ou diphénhydramine (Nautamine®) Ces médicaments diminuent les risques de nausées.
Les médicaments utilisés contre le mal des transports sont souvent : La métopimazine (Vogalib®) : il permet de limiter les vomissements. Les antihistaminiques (Mercalm®, Nausicalm® ou Nautamine®) : ils diminuent les risques de nausées.
Avant de partir naviguer, que ce soit pour une longue durée ou non, au préalable, le repos est essentiel. Privilégiez une bonne nuit de sommeil plutôt qu'une nuit courte pour limiter les risques. La fatigue et le stress sont des facteurs qui vont amplifier le mal de mer.
3/ Médecine naturelle
Le gingembre est un remède naturel bien connu pour le mal des transports. Vous pouvez en mettre dans une limonade ou une eau gazeuse par exemple si vous n'aimez pas en manger comme ça. La menthe poivrée peut également avoir des effets calmants sur l'estomac.
utiliser des médicaments de type diménhydrinate, métopimazine, antiémétique ou scopolamine ; prendre du gingembre (frais, séché, en poudre, ou en jus) ; pratiquer une stimulation optocinétique.
Aujourd'hui, les médicaments ne sont plus les seules solutions pour contrer le mal de mer. Même s'ils restent des traitements efficaces pour les navigateurs occasionnels, ils ne doivent pas être utilisés régulièrement et peuvent causer des effets indésirables, et nuire aux professionnels.
Oui ! Au bout de quelques jours en mer, le cerveau s'habitue : c'est la période d'amarinage. À l'inverse, lors du retour à terre, le cerveau a besoin de se réaccoutumer à ce nouvel équilibre. Les sensations sont alors les mêmes que lorsqu'on a le mal de mer...
Tout le monde peut subir le mal de mer, qu'on soit grand navigateur, pêcheur ou skipper professionnels, plaisancier du dimanche ou simple croisiériste. En général, 25 à 30 % des personnes sont touchées par le mal de mer.
Comprimé : Adulte : 2 comprimés 3 fois par jour, à prendre la veille et le jour du voyage. 2 comprimés dès l'apparition des symptômes pendant le voyage, à renouveler si nécessaire.
Le mécanisme
Le mal de mer est le fruit d'une contradiction sensorielle entre : votre oreille interne, l'organe de l'équilibre, votre vue, votre système musculaire, qui cherche à compenser le mouvement pour vous garder en équilibre.
Le mal des transports correspond à une série de troubles apparaissant au cours d'un voyage en voiture, bateau, avion, train ou autres moyens de transports. Il entraîne souvent des nausées, parfois des vomissement, une sensation de malaise, des sueurs froides, des vertiges ou encore des maux de tête.
Scientifiquement parlant, il n'y a aucune explication à ce phénomène mais il semble bien qu'un petit bout de sparadrap posé sur le nombril de la personne sujette au mal des transports soit la solution miracle pour ceux qui avaient déjà tout essayé vainement.
La meilleure place
Le conseil est le même sur un bateau, "tenir la barre peut également aider, cela nous donne la sensation d'être stable", complète le médecin. On peut aussi préférer les cabines du milieu pour moins ressentir la houle et les vagues.
Vous pouvez parfois être intimidé par le vent, le roulis, ou autre chose. Or, la peur est un facteur qui peut vous donner le mal de mer. Enfin, si vous êtes déshydraté, vous augmentez également le risque d'être malade. La soif sera votre ennemie lors d'un voyage en bateau, pensez à boire de l'eau !
Dans l'oreille interne, il existe des microcristaux qui sont agglomérés sur un support ciliaire, des petits cils. Il arrive que ces cristaux se détachent après des chocs. On ressent alors des vertiges ».
Vous pouvez prendre l'amoxicilline pendant ou en dehors des repas. Pour lutter contre l'infection avec une efficacité maximale, les prises d'amoxicilline doivent être réparties à intervalles réguliers tout au long de la journée.
COCCULINE®, comprimé orodispersible est un médicament homéopathique traditionnellement utilisé : dans les nausées et les vomissements sans fièvre.
Ce médicament doit être pris avec un peu d'eau, une demi-heure avant le départ. La prise peut éventuellement être renouvelée au cours du voyage, en respectant un intervalle de 6 heures.
Vous pouvez également demander à votre médecin de vous prescrire des médicaments comme la diphénhydramine (Nautamine) ou le diménhydrinate (Mercalm, Nausicalm) pour atténuer les réponses de l'oreille interne. Certains existent en patch à coller derrière l'oreille ou en bracelet.
Le bracelet anti-mal de mer et l'acupressing
Pour le positionner, il faut qu'il soit en contact avec le point Nei-Kuan, que vous trouverez en positionnant 3 doigts sur votre poignet, le point étant au niveau de votre index. Pour fonctionner, il faut quand même investir dans deux bracelets, un pour chaque poignet.
Les symptômes sont eux aussi très variables. Ils se manifestent généralement dans un premier temps par une sensation de malaise, suivie de nausées. Votre visage devient pâle, vous salivez beaucoup et transpirez. Le mal de mer peut également provoquer une forte somnolence, voire une confusion de l'esprit.
Le froid entraine le mal de mer
Il faut tout d'abord savoir que lorsque l'on navigue en voilier ou en catamaran, le froid peut fortement favoriser le mal de mer. Il est donc fortement conseillé pendant votre croisière de vous tenir au chaud, peu importe la durée de navigation.
Privilégiez une nourriture solide plutôt que liquide. Renoncez à l'alcool, au tabac et au café, avant et pendant le voyage. Maintenez la tête droite, sans faire de mouvements brusques pendant le voyage. En voiture, installez-vous à l'avant à côté du conducteur, ou à l'arrière au milieu, et regardez loin devant vous.
Le mal des transports commence par une sensation de malaise et un manque d'appétit. Puis surviennent des nausées, souvent accompagnées d'une transpiration abondante, de vertiges et d'une salivation plus ou moins importante. Des vomissements surviennent jusqu'à ce que l'estomac soit vide, et même au-delà.