Le rendement moyen varie de 0,31 t/ha au Venezuela à 9,86 t/ha en Irlande. Depuis mars 2010, la Nouvelle-Zélande détient le record mondial actuel de 15,64 t/ha.
La Russie était le plus gros exportateur de blé au monde en 2021/2022. Elle en exportait 33 millions de tonnes. L'Union Européenne, avec 30 millions de tonnes, était le second exportateur mondial, juste devant l'Australie. En quatrième position se trouvaient les États-Unis.
par Atlasocio.com | Mis à jour le 27/06/2022
Les principaux États producteurs de blé au monde sont la Chine, l'Inde, la Russie, les États-Unis et le Canada. Les pays ayant les plus faibles productions de blé sont le Qatar, le Koweït, le Cameroun, le Venezuela et le Malawi.
La France est le 1er pays producteur de blé tendre de l'Union euro- péenne. À l'échelle mondiale sur la campagne 2018/19, il s'agit du 5e producteur derrière la Chine, l'Inde, la Russie et les États-Unis.
par Atlasocio.com | Mis à jour le 08/06/2022
Les principaux États d'Afrique producteurs de blé sont l'Égypte, l'Éthiopie, l'Algérie, le Maroc et l'Afrique du Sud. Les pays du continent africain ayant les plus faibles productions de blé sont le Cameroun, le Malawi, l'Eswatini, Madagascar et le Botswana.
Il y a d'abord celui des aléas climatiques tels que les inondations, les sécheresses ou le gel, qui, depuis plusieurs années, touchent les récoltes, entraînant une baisse importante de la production céréalière.
Quelles sont les zones importatrices de céréales françaises ? La filière céréalière française exporte près d'une tonne sur deux de céréales chez nos voisins de l'Union européenne et vers les pays tiers (pays du Maghreb, d'Afrique subsaharienne de l'Ouest, du Proche et Moyen-Orient et Chine).
Les céréaliers britanniques, qui ont récolté un blé d'une qualité raisonnable cette année, sont des fournisseurs réguliers de la France mais en général plutôt de blé fourrager pour l'alimentation animale», indique Damier Vercambre, courtier chez Inter Courtage.
Retrouver l'article synthèse : Où part donc le blé français ? L'Algérie est à ce jour le principal débouché du blé français à l'export. Les quantités exportées varient selon les années vers cette destination et dépendent principalement des productions algériennes et françaises, mais aussi des prix des concurrents.
La France ne manquera jamais de rien parce que nous avons des productions qui sont très abondantes en tout et que nous restons le premier pays producteur de blé, en Europe, la moitié de notre production étant exportée.
Chaque année, ce sont plus de 50 millions de tonnes de céréales qui sont récoltées par plus de 245.000 exploitations en France. Environ 50% de cette production est destinée à l'export.
Les principaux États d'Europe producteurs de blé sont la Russie, la France, l'Ukraine, l'Allemagne et la Turquie. Les pays du continent européen ayant les plus faibles productions de blé sont le Monténégro, Malte, Chypre, le Luxembourg et le Portugal.
La Russie représente 19,5 % des importations mondiales de blé. Viennent ensuite le Canada (13,9 %), les États-Unis (13,7 %), la France (9,26 %) et l'Ukraine (8,97 %). Les autres exportateurs qui se dégagent dans une moindre mesure sont l'Australie, l'Allemagne, l'Argentine, la Lituanie et la Pologne.
Parmi les pays les plus dépendants des céréales d'Ukraine ou de Russie, la Somalie, le Pakistan qui importent plus de 80% de blé depuis l'Ukraine. Le Liban importe plus de 60% de son blé. En Afrique, la Tunisie, l'Algérie et la Libye sont à plus de 40% de blé en provenance d'Ukraine.
Le premier acheteur de blé russe reste l'Égypte avec 13 à 14 millions de tonnes de blé par an, mais beaucoup de céréales vont aussi en Turquie (entre 6 et 8 millions de tonnes chaque année) ou en Algérie (pour 2021-2022, 10 % du blé acheté par l'Algérie est d'origine russe).
Le maïs est le produit le plus exporté d'Ukraine parce qu'il restait de gros stocks à sortir », a-t-il expliqué. « Pour le blé, les exportations sont faibles. La première destination reste la Turquie, suivie des pays les plus fragiles (Égypte, Soudan, Yémen, Somalie, Djibouti) », a-t-il dit.
L'Algérie est pratiquement totalement dépendante du blé tendre français pour approvisionner le marché local, car le cahier des charges afférent à l'importation du blé de l'OAIC ne permettait pas à certains pays de pénétrer le marché algérien à cause des proportions d'impuretés que contient le produit, cas des punaises ...
Ukraine et Russie
Au 3 avril 2022, 404 162 tonnes sont entrées dans l'UE depuis la Fédération, ce qui correspond à 20,9 % des importations de blé européennes.
Le blé, fleuron du marché mondial des céréales
Avec quelque 130 millions de tonnes par an, la Chine est de loin le premier producteur de blé au monde, suivie de l'Inde (90 millions de tonnes), des États-Unis et de la Fédération de Russie, avec plus de 60 millions de tonnes chacun.
Le blé dur se différencie du blé tendre par son grain à albumen vitreux et sa plus haute teneur en protéines. Le blé dur est plus sensible au froid que le blé tendre, et plus résistant à la sécheresse.
Le maïs s'avère de loin la céréale la plus produite, à raison d'une récolte de près de 1 100 millions de tonnes en 2018/2019, suivi du blé (734 millions de tonnes) et du riz (495 millions de tonnes). Ces trois céréales totalisent environ 90 % de la production céréalière mondiale.
L'Algérie, rappelons-le, figure parmi les plus gros importateurs de blé dans le monde. Elle dépend à hauteur de 60 % des achats sur le marché mondial pour satisfaire ses besoins de consommation qui s'élèvent en moyenne à environ 11 millions de tonnes par an.
Avec 19 millions de tonnes, la production reste trois fois supérieure à la consommation annuelle de blé par l'Ukraine. S'ajoutent à cette production les stocks de la récolte précédente, qui s'élèvent encore à 10 millions de tonnes, selon la même source.
La superficie globale réservée actuellement à la culture céréalière est estimée à 2,9 millions d'hectares avec une valeur de production de 111,6 milliards de dinars, a-t-il soutenu.
La France est le premier pays agricole de l'Union européenne (UE) avec 18 % de la production agricole européenne en valeur (hors services agricoles et activités secondaires) en 2015. Viennent ensuite l'Allemagne, l'Italie, l'Espagne, le RoyaumeUni, les Pays-Bas et la Pologne.