Les feuillus durs restent les bois de chauffage le plus adapté au chauffage domestique. Chêne, hêtre, charme, frêne : ils ont tous la particularité d'être plus denses et de dégager plus de chaleur, rendant votre poêle à bois plus performant.
Les résineux présentent l'avantage d'un haut pouvoir calorifique, mais brûlent trop vite. Les bois les plus adaptés sont les feuillus durs comme le chêne, le charme, le hêtre, l'orme, le robinier ou le frêne, qui cumulent les atouts. Un stère de chêne fournit 1 700 kWh, contre 1 300 pour un stère de peuplier.
Celles-ci sont classées en trois groupes, du plus fort pouvoir calorifique au plus faible : Le chêne, le charme, le hêtre, le frêne, l'orme et l'érable offrent le meilleur rendement : 2 000 kWh par mètre cube apparent.
Le bois le plus rentable pour un poêle à bois
Si vous vous demandez quel bois de chauffage chauffe le mieux dans un poêle à bois, optez pour le hêtre ou le frêne qui ont une écorce fine. Vous utiliserez du bouleau au bois tendre pour amorcer votre feu. Pourquoi ne pas opter pour une alternative au bois traditionnel ?
Éviter les bois tendres
Comme le tilleul ou le peuplier. Ils brûlent vite et peuvent aider à l'allumage du feu, mais ne tiennent pas la longueur sur la durée.
Le bois de chauffage de sapin
S'il est bien sec, le sapin peut fournir un apport calorifique de 2 300 kWh. Mais surtout, c'est un résineux qui, lorsqu'il brûle, dégage une senteur très agréable. De quoi parfumer efficacement vos pièces à vivre !
L'ADEME (l'Agence de la transition écologique) explique que le taux de rendement d'une cheminée classique se situe en moyenne aux alentours de 15 %. L'insert peut faire monter ce taux de rendement jusqu'à 85 %. Les poêles à bois se distinguent aussi par un très bon rendement pouvant aller jusqu'à 90 %.
Pour cela, il faut qu'il soit fendu et coupé l'hiver, car il n'y a pas de sève, et correctement entreposé tout au long de l'été à l'abri de la pluie. Afin de reconnaître si le bois est sec, il suffit de les cogner l'une contre l'autre. Si elles sonnent creux, c'est bon signe!
Le chêne. Le Chêne est le bois type de la combustion nocturne. Il dégage sensiblement la même quantité de chaleur que les quatre essences précédentes mais sur une période beaucoup plus longue.
La plupart du temps, il est entre 50 € et 70 €.
La durée de séchage de ces derniers est de 24 mois minimum. Le charme est la seule exception à cette règle. On peut utiliser cet arbre comme bois de chauffe après seulement une année de séchage. Le chêne quant à lui doit être séché pendant au moins 36 mois en raison des nombreux tanins qu'il contient.
Conseils pour choisir le bon bois de chauffage
Par contre il est conseillé d'éviter le Saule, le Tilleul et le Peuplier ainsi que tous les résineux tels que le Pin, le Sapin, le Mélèze. Moins denses, ces derniers brûleront plus vite et risquent de provoquer un goudronnage.
Acacia, aulne, baumier, bouleau blanc, châtaignier, érable acer negundo), merisier, noisetier et noyer, orme, peuplier et tilleul sont des bois tendres excellents comme bois d'allumage et bois de feu d'accompagnement.
meter fournit une mesure précise pour une utilisation adéquate du bois en menuiserie ou chauffage. Le bois vert fraîchement coupé contient entre 35 % et 100 % d'humidité. Le bois est dit « sec » lorsque son taux d'humidité est inférieur à 19 %, et « mi-sec » lorsque son taux d'humidité est compris entre 20 % et 35 %.
La réponse est OUI car c'est une énergie locale et bon marché, dont le coût n'est pas soumis aux crises géopolitiques ni aux conflits internationaux comme le sont les énergies fossiles importés.
L'avenir du bois de chauffage
Le prix du bois de chauffage a considérablement augmenté en un an, mais il reste une énergie économique. En France, l'avenir du bois de chauffage devrait être prometteur pour différentes raisons : source d'énergie renouvelable et locale.
Parmi eux, on compte le chêne, le hêtre, le charme ou encore le frêne. Ils ont l'avantage de se consumer plus lentement et de générer plus de chaleur. En outre, les feuillus durs ont tendance à produire des braises abondantes, ce qui permet de maintenir la chaleur à l'intérieur du poêle à bois ou de la cheminée.
Ainsi, les bois résineux, issus de conifères, produisent plus de gaz que la quantité nécessaire pour alimenter le feu. Résultat : l'excédent est éliminé « en force » des fibres du bois. C'est ce phénomène qui est à l'origine de ces crépitements.
Les bois résineux (pin, épicéa, douglas, etc.) Les bois exotiques (ipé, cumaru, padouk, etc.) Les bois nobles et feuillus (chêne, châtaignier, etc.)
Lors de leur combustion, les bois de feuillus durs génèrent ainsi une quantité normale de gaz, qui est rapidement évacuée et brûlée lors de la combustion. Par contre, d'autres essences comme celles de résineux, produisent plus de gaz à la combustion que la quantité nécessaire pour alimenter le feu.
Selon les dimensions, le bois occupera une certaine partie du stère (en quantité). Une fois votre bois bien rangé, vous pouvez connaître son volume en multipliant le volume en mètre cube (L x l x H) avec le coefficient de conversion. Vous obtiendrez le nombre de stères exact qui vous a été fourni par votre vendeur.
Qu'on utilise une poêle antiadhésive ou pas (les puristes préfèrent saisir la viande dans une poêle traditionnelle), qu'on se serve d'un corps gras ou pas, il faut vraiment attendre que la poêle soit CHAUDE avant d'ajouter la viande! Sinon, ça risque de coller!
Vérifier que votre conduit d'aération soit bien dimensionné En cas de besoin, installer un régulateur de tirage. Vérifier que les trappes permettant l'arrivée d'air frais soient suffisamment ouvertes pour garantir une bonne combustion.
Il est possible d'installer un poêle à bois dans une cheminée, à condition de respecter certaines étapes et de prendre quelques précautions. Tout ce qu'il faut savoir pour une installation réussie et sécuritaire.