Le meilleur exemple de ce phénomène est la formation de l'Himalaya qui résulte de la confrontation entre la plaque indienne et la plaque eurasienne. La collision et la subduction se produisent lorsque les plaques se rapprochent. On parle également dans ces deux cas de convergence des plaques.
Les plaques tectoniques sont de grands morceaux de la lithosphère qui se déplacent en surface du manteau terrestre. Ces plaques peuvent s'éloigner les unes des autres, se frotter, entrer en collision ou glisser l'une sous l'autre. L'écorce terrestre n'est pas homogène.
Plaques principales
plaque antarctique. plaque australienne (parfois intitulée indo-australienne ou australo-indienne) plaque eurasiatique.
Le mouvement des plaques est lié à l'existence de forces gravitationnelles qui les entraînent. Elles sont "tirées" par un morceau en subduction (et ont alors les vitesses les plus grandes). L'expansion océanique est également associée à une force qui fait s'écarter les plaques, beaucoup plus lentement.
La plaque du Pacifique et la plaque nord-américaine sont deux des plus grandes plaques tectoniques de la planète. Ces plaques se frottent ou dérivent pour se dépasser l'une l'autre en un mouvement constant.
Pour simplifier, on peut dire que la lithosphère, c'est ce qui est suffisamment rigide et "cassant" parce que froid, alors que l'asthénosphère correspond à la part du manteau supérieur sous- jacent, moins rigide et plus ductile parce que plus chaud...
Leur agencement, très particulier, intrigue depuis longtemps les géologues : en effet, il existe seulement sept grandes plaques (plaques américaine, pacifique, eurasiatique, africaine, australienne et antarctique), qui couvrent 95 % de la surface terrestre, et 46 plus petites (Caraïbes, Philippines,…).
Le mouvement de convergence peut aboutir à la fermeture complète d'un océan et provoquer la collision entre deux plaques continentales. La collision des continents est à l'origine de la formation d'une chaîne de montagnes. Les pressions exercées provoquent la déformation des roches.
La convection du manteau terrestre est le moyen qui permet d'évacuer la chaleur interne de la Terre, la pellicule superficielle transférant la chaleur par conduction. Il existe un couplage entre la plaque rigide en surface et le manteau ductile en mouvement entraînant la plaque (on parle de couplage mécanique).
En géologie, la convergence est le rapprochement de deux plaques lithosphériques. Elle se déroule en général en deux étapes consécutives : la subduction de la lithosphère océanique ; la collision éventuelle des deux masses continentales portées par les plaques tectoniques.
Ces séismes se trouvent au contact des deux plaques tectoniques qui subissent donc un mouvement de rapprochement : la plaque de Nazca d'origine océanique passe sous la plaque sud-américaine d'origine continentale et plonge dans l'asthénosphère. De la lithosphère océanique disparaît donc au niveau de cette fosse (doc.
Cette théorie de la « dérive des continents » s'appuie sur des arguments géologiques, paléontologiques et géographiques. La complémentarité de formes des masses continentales, notamment le côté est de l'Amérique du Sud et l'ouest de l'Afrique, est un argument en faveur d'une liaison passée de ces deux continents.
Convection dans le manteau
Afin d'évacuer sa chaleur, le manteau terrestre a adopté un mécanisme de convection thermique. Des courants de matière chaude et légère montent depuis les profondeurs vers la surface.
Les zones de divergence s'observent là où deux plaques tectoniques d'éloignent l'une de l'autre. Elles font l'objet d'un volcanisme intense. Sous la surface des océans, elles correspondent donc aux dorsales ou rides médioatlantiques, et peuvent dans certains cas abriter des îles, comme les Açores ou l'Islande.
La divergence des plaques continentales donne naissance à un rift continental qui peut s'écarter jusqu'à la remontée d'un magma. En refroidissant, ce magma est à l'origine de la croûte océanique. La lithosphère océanique ne peut s'étendre indéfiniment.
La rotation et ses conséquences
Cette rotation s'accompagne de plusieurs conséquences. Ce sont: La succession des jours et des nuits. L'existence des parallèles (ce sont des lignes imaginaires parallèles à l'équateur numéroté de 0 à 90° Nord et Sud) Tous les points situés sur la même parallèle ont la même latitude.
En haute mer, le changement climatique, dû aux gaz à effet de serre, est le principal responsable. L'eau se réchauffe trop en surface et empêche l'oxygène d'atteindre les profondeurs de l'océan (l'eau chaude étant moins « lourde » que l'eau froide).
La France est sous l'influence du rapprochement des plaques tectoniques eurasienne et africaine. Mais la zone de frottement de ces deux plaques est située environ 1000 kilomètres au sud de l'hexagone.
Ces plaques se déplacent, entraînées par la convection dans le manteau. Les vitesses de ces déplacements vont de presque rien à plusieurs centimètres par an, jusqu'à 20 cm/an dans certaines région du Sud-Est asiatique (Papouasie-Nouvelle Guinée) et du Pacifique (Tonga-Kermadec) !
La collision de l'Inde avec l'Asie, générant une réduction de la vitesse de la subduction de la plaque Indienne, coïncide en effet avec le changement de direction de la plaque Pacifique. Mais la façon dont ces différents événements tectoniques sont liés n'est cependant pas claire.
L'asthénosphère (du grec ἀσθένης (asthénes), sans résistance) est la partie ductile du manteau supérieur terrestre. Elle s'étend de la lithosphère jusqu'au manteau inférieur vers 700 km de profondeur.
Le ralentissement des ondes sismiques est interprété comme étant dû à des conditions de température et de pression voisines de celles nécessaires à la fusion partielle des péridotites du manteau ce qui expliquerait un comportement ductile à l'origine du découplage mécanique de la lithosphère et donc permettant les ...