Faire travailler sa mémoire en s'amusant
Si être féru de mots croisés, de Tetris ou de sudoku est un bon point de départ, mieux vaut diversifier les activités afin de stimuler les différentes zones de la mémoire. Et elles sont nombreuses : mémoire de travail, à court terme, du langage,etc…
Puzzles, mots croisés, sudokus et autres petits jeux : autant de bons moyens d'entretenir son cerveau et de travailler sa mémoire à court terme ! Et plus vous pratiquez, plus vous progresserez, en améliorant votre logique et vos capacités intellectuelles.
Exercer son corps à améliorer ses capacités mentales. Faites des exercices d'aérobic. De nombreuses recherches ont montré que l'exercice physique est l'une des façons les plus efficaces d'améliorer vos capacités mentales et le fonctionnement de votre cerveau.
La pratique d'une activité physique régulière est recommandée pour entretenir sa mémoire. Cela contribue à l'oxygénation du cerveau. En plus d'activer les neurones, le sport aide aussi à maintenir les capacités motrices. Avec l' âge, on peut opter pour une activité physique "douce" : marche, golf, aquagym...
Jouez aux cartes pour améliorer la mémoire à court terme
Les cartes sont une excellente activité, à la fois conviviale et ludique, permettant de bien faire travailler sa mémoire en passant un bon moment. Les jeux basés sur la concentration plutôt que le hasard seront les plus intéressants.
Mémoire, apprentissage... Booster son cerveau grâce à l'alimentation. "Il n'y a pas de "meilleure" façon d'entraîner son cerveau, tout compte ! Bien se nourrir, pratiquer une activité physique régulière, apprendre de nouvelles choses, en faisant de la musique, en lisant, en jouant, en sortant et en se "sociabilisant".
Un outil particulièrement remarquable, c'est de lire, lire, lire. Ce que vous voulez, même les magazines, car cela stimule le cerveau. Cela fait faire des associations, vous parlez dans votre tête, cela stimule énormément de zones. C'est vraiment le sport le plus complet pour le cerveau.
La musique maintient la vivacité intellectuelle
Selon Amy Clements-Cortes PhD, musicothérapeute chevronnée, la musique peut améliorer l'humeur, soulager la douleur, diminuer le stress et maintenir la vivacité intellectuelle de même que les habiletés sociales.
Exercice : observez quelques secondes une liste de mots au hasard, comme une liste de courses par exemple, et retenez-les. Essayez, ensuite, de les réciter dans l'ordre. Petite astuce : pendant que vous apprenez ces mots, serrez à plusieurs reprises un objet dans votre main gauche.
Se mettre à la méditation. La pratique d'une activité méditative régulière permet d'activer certaines zones du cerveau qui commandent plusieurs fonctions cognitives : l'attention, les émotions, ou encore la capacité de concentration.
L'orque a un CE de 2,57, le dauphin de la Plata de 1,67, le dauphin du Gange de 1,55, le grand dauphin de 4,14, et le sotalia de 4,56. C'est moins que l'être humain (CE de 7,44), mais plus que celui des chimpanzés à 2,49, des chiens à 1,17, des chats à 1,00 et de la souris à 0,50.
Une récente étude de l'université américaine de Rochester menée par le chercheur Maiken Nedergaard démontre que la position latérale serait la meilleure pour retrouver un cerveau tout neuf au saut du lit puisqu'elle permet une élimination plus efficace des déchets cérébraux.
Comme la plupart des cellules, les neurones peuvent mourir de deux manières différentes : par nécrose ou par apoptose. La nécrose est produite par un traumatisme aigu, chimique ou mécanique. La cellule gonfle puis se détruit (lyse) et son contenu se disperse dans le milieu extracellulaire.
Pour avoir des neurones tout neufs pratiquer aussi une activité physique. On sait maintenant que les muscles fabriquent des substances chimiques et qu'ils utilisent la voie sanguine pour agir directement sur la production de neurones.
Le stress, la musique écoutée trop fort, l'absence de vie sociale, la consommation de psychotropes, ou le fait de ne pas faire travailler son cerveau sont autant de facteurs pouvant accélérer le phénomène.
Les médicaments qui agissent sur le cerveau, comme les anxiolytiques, les antidépresseurs, mais aussi les somnifères. En modifiant la manière dont les neurones communiquent, ils perturbent la mémoire et la concentration. Le stress.