Dans un poème, le mètre se définit par le nombre de syllabes du vers. Pour mesurer un vers, il faut compter les syllabes prononcées. Exemple : C'était l'heure tranquille où les lions vont boire (Victor HUGO).
Les mètres les plus courants sont : l'alexandrin (12 syllabes), le décasyllabe (10 syllabes), l'octosyllabe (8 syllabes).
Mesure, rythme du vers. Dans la poésie française, le mètre dépend du nombre des syllabes qui composent un vers. Se dit aussi parfois du vers lui-même. Choisir pour mètre l'alexandrin, le décasyllabe.
Subst. La métrique, l'ensemble des règles qui gouvernent, en poésie, le rythme et la répartition des syllabes.
Comment compter les syllabes
Attention, les règles de la poésie ne sont pas celles de la prose. En effet, si le mot « maître » ne fait normalement qu'une syllabe, dans un poème, il peut compter pour deux syllabes.
Les vers de 1 à 12 syllabes sont appelés : monosyllabe, dissyllabe, trisyllabe, tétrasyllabe (ou quadrisyllabe), pentasyllabe, hexasyllabe, heptasyllabe, octosyllabe, ennéasyllabe, décasyllabe, hendécasyllabe, alexandrin (ou dodécasyllabe).
En poésie, pour compter les syllabes d'un vers, il faut prendre en compte la règle dite des e muets. On compte le e lorsqu'il est placé devant une consonne et on ne le compte pas lorsqu'il est placé devant une voyelle, ou bien lorsqu'il est en fin de vers.
Le calcul de la métrique utilise comme référence de bande-passante : 100M (100 Mbit/s). Puisque le débit est directement utilisé pour calculer la métrique, voici deux exemples : un lien à 100M = 100/100 à coût OSPF égal à 1. un lien à 1G = 100/1000 à coût OSPF égal à 0,1 (impossible donc OSPF par défaut le compte à 1).
Dans ce cas là, un vers (défini par son nombre total de syllabes) recouvre donc deux mètres différents. Ainsi l'ennéasyllable peut être un mètre 3+6 ou 4+5. Le décasyllabe peut être une composition de 4 + 6 syllabes ou de 5 + 5 syllabes, mètre dit taratantara, (mais non de 2 + 8 ou 3 + 7 syllabes).
La poésie est souvent en vers, mais il existe aussi de la poésie en prose. Le vers Le vers traditionnel commence par une majuscule et se termine par un retour à la ligne. Il se définit par sa métrique, c'est-à-dire le nombre de ses syllabes.
Dans un poème, une ligne s'appelle un vers. A la fin de chaque vers, on va à la ligne et on met une majuscule. Un vers comporte un nombre précis de syllabes. Pour compter les syllabes, il faut faire attention au "e" muet.
On compte une syllabe dès lors qu'un groupe de lettres comporte une voyelle. Exemples : Ti/pi : 2 syllabes contenant chacune une voyelle. Sû/re/ment : 3 syllabes contenant chacune une voyelle.
La césure correspond à une pause ou à un arrêt dans un vers dont elle ne doit pas briser le sens. La césure marque le rythme du poème. Dans le cas des alexandrins classiques, la césure peut être au même endroit que l'hémistiche.
La disposition des rimes (plates, croisées, embrassées)
Voici les principales possibilités. Des rimes se suivent directement (AABB). Différentes rimes s'alternent (ABAB). Une rime encadre une autre rime (ABBA).
Les vers. Un vers, c'est une ligne d'un poème. Il commence le plus souvent par une majuscule par une majuscule, et ne se termine pas forcément par un point. Il est donc différent de la phrase.
Il crée un effet de continuité rythmique, de fluidité. Pour un poème en alexandrin, le rythme est régulier quand les alexandrins ont un rythme 6/6 avec césure à la fin de la 6ème syllabe, sinon le rythme est irrégulier.
Dans des éditions anciennes, les strophes pouvaient n'être repérables que par leur cohérence interne (par exemple par la ponctuation ou la disposition rimique). Une strophe peut être assimilée au paragraphe d'un poème isolé typographiquement.
Les strophes
Une strophe est un ensemble de vers qui forme une unité dans un poème. Elle est caractérisée par une disposition de rimes, ainsi qu'une certaine versification. 👉 Souvent, 1 strophe = 1 idée.
- une strophe de 2 vers s'appelle un distique - une strophe de 3 vers s'appelle un tercet - une strophe de 4 vers s'appelle un quatrain - une strophe de 5 vers s'appelle un quintil - une strophe de 6 vers s'appelle un sizain - une strophe de 8 vers s'appelle un huitain - une strophe de 10 vers s'appelle un dizain → Un ...
Comme C = n/V, on peut donc écrire : Cm = C * M.
Aujourd'hui, les États-Unis sont le seul pays qui continue d'utiliser les unités anglo-saxonnes pour les activités intéressant directement le grand public ou le consommateur : signalisation routière, météorologie, indications de longueur, de surface, de volume, de masse sur les produits de grande consommation, etc.
Analyser un poème ou une chanson
Pour faire une analyse, il faut lire plusieurs fois la chanson ou le poème et chercher les figures de style qui s'y cachent. Ce n'est pas toujours évident, mais à force de se pratiquer, cela deviendra plus facile. Un truc, c'est d'essayer de repérer le langage figuré dans le texte.
L'alexandrin est, en métrique française classique, un vers composé formé de deux hémistiches (ou sous-vers) de six syllabes chacun, soit un total de douze syllabes. Les deux hémistiches s'articulent à la césure, qui est le lieu de contraintes spécifiques.
Un décasyllabe est un vers de dix syllabes.