Le « disciple bien-aimé » a souvent lui-même été identifié à Jean, fils de Zébédée, l'un des Douze apôtres. Mais des historiens comme Oscar Cullmann ont distingué deux Jean, l'apôtre et l'évangéliste, ce dernier étant identifié dans ce cas au « disciple bien-aimé ».
La tradition chrétienne attribue à l'apôtre Jean la rédaction de l'Évangile de Jean (elle identifie l'apôtre au « disciple que Jésus aimait »), ainsi que celle de trois épîtres et de l'Apocalypse (dans cette dernière, l'auteur se présente comme ayant reçu une vision de Jésus-Christ dans l'île de Patmos) : c'est le ...
Jean 13:23 suggère la proximité personnelle qu'il avait avec le Seigneur : « Un des disciples, celui que Jésus aimait, était couché sur le sein de Jésus. » Tout au long des siècles, l'art chrétien a reflété cette image, représentant Jean comme un jeune homme, souvent reposant dans les bras du Sauveur.
Un des thèmes principaux de Matthieu est que Jésus-Christ est venu établir son royaume sur la terre. Matthieu mentionne de nombreuses fois « le royaume des cieux » et il est le seul auteur des évangiles à inclure des enseignements dans lesquels Jésus parle d'« église » (voir Matthieu 16:18 ; 18:17).
Les quatre Évangiles ont été choisis par le Concile de Nicée en 325, combien étaient les autres dits apocryphes ?
Marc et Matthieu étaient proches des milieux juifs, Luc, des cercles hellénistiques. Jean, lui, «le disciple que Jésus aimait», évoluait parmi les chrétiens d'Ephèse, en conflit ouvert avec leurs frères juifs, dont ils commençaient à se démarquer.
Et aujourd'hui Il nous enseigne tous à prier comme nous l'imaginons priant à Gethsémané, disant : « Toutefois, que ma volonté ne se fasse pas, mais la tienne » (Luc 22:42). Quand vous priez, voulez-vous vraiment, réellement, que sa volonté soit faite et non la vôtre ?
Récits bibliques
Chacun des quatre Évangiles rapporte qu'après l'arrestation de Jésus, l'apôtre Pierre, par peur de risquer lui aussi la mort, nie trois fois avoir eu aucune relation avec celui-ci.
Accomplissant une prescription de la loi juive — « Tout mâle premier-né sera consacré au Seigneur » (Ex 13,2,11-13) — les parents de l'enfant Jésus le présentent et l'offrent au Temple de Jérusalem. Il y est reçu par le vieillard Syméon.
Le « disciple bien-aimé » a souvent lui-même été identifié à Jean, fils de Zébédée, l'un des Douze apôtres. Mais des historiens comme Oscar Cullmann ont distingué deux Jean, l'apôtre et l'évangéliste, ce dernier étant identifié dans ce cas au « disciple bien-aimé ».
Pour Luc, vi, 12-16, et Actes, i, 13, les Douze sont Pierre et André, son frère, Jacques, Jean, Philippe, Barthélemy, Matthieu, Thomas, Jacques, fils d'Alphée, Simon, appelé le zélote, Jude « de Jacques », et Judas l'Iscariote.
Saint Jean étant l'apôtre de l'amour, l'apôtre du Sacré-Cœur, est nécessairement le patron et le modèle des Prêtres du Sacré-Cœur. Il a été le disciple privilégié de Notre-Seigneur, le disciple privilégié du Sacré-Cœur. Dès qu'il eut entendu le Sequere me, il s'attacha à Notre-Seigneur.
Dès l'entrée, Jésus est présenté comme Sauveur (cf. Mt 1,21), Emmanuel (1,23), roi (2,2), Messie (2,4), Fils de Dieu (2,15), en accomplissement de toutes les prophéties.
D'autre part, l'aigle convient tout particulièrement à Jean de par la nature même de cet Evangile. En effet, on reconnait à sa lecture qu'il s'est élevé très haut dans la contemplation de la nature divine du Verbe (Logos). Les écrits en sont tout particulièrement poétiques et très fortement symboliques.
[JOHANNA LEGUERRE - AFP] Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
Dans l'Invention de la croix par Protonikè (BH0 211), conservée dans deux versions en syriaque qui datent au plus tôt des IV e – V e siècle, il est rapporté que la croix de Jésus a été confiée d'abord à Jacques le frère du Seigneur et ensuite à Siméon, fils de Clopas, devenu évêque de Jérusalem vers 73 et martyrisé ...
Dans les évangiles synoptiques (Marc, Matthieu, Luc), Gethsémani ou Gethsémané (en grec ancien : ΓεΘσημανή, Gethsēmani, en hébreu : גת שמנים, en araméen : גת שמנא, Gat Šmānê, « le pressoir à huile ») est le lieu où Jésus de Nazareth a prié avant son arrestation (« Heure sainte »).
« La messe est prière, a-t-il ainsi affirmé, ou plutôt elle est la prière par excellence, la plus haute, la plus belle, et en même temps la plus “concrète” ». C'est une rencontre avec le Seigneur.
Dans la foi chrétienne, la prière est une relation, une parole adressée à quelqu'un. Une conversation entre un moi humain et un Vous/Tu transcendant auquel on s'adresse ou que l'on écoute. Il y a une dimension d'attachement, on cherche une proximité intérieure avec une présence.
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Dans certaines églises du mouvement de la nouvelle réforme apostolique, il y a la présence de cinq ministères; ceux d'apôtre, prophète, évangéliste, pasteur, enseignant.
BIEN QUE SECOND DANS LE NOUVEAU TESTAMENT, MARC EST LE PREMIER ÉVANGILE, ÉCRIT VERS 69/70 EC. Dans les Actes des Apôtres, Luc écrit que Pierre avait un disciple nommé Marc, ou Jean Marc, qui l'accompagnait dans ses voyages.