La vaccination contre la variole a pris fin en France et dans l'ensemble de l'Union européenne en 1984. Deux vaccins, dits de 3e génération, interchangeables, sont utilisés pour la variole du singe : Imvanex et Jynneos. Le schéma de vaccination comporte 2 doses, espacées de 28 jours.
Administration du vaccin contre la variole
La vaccination est réussie si une petite boursouflure apparaît après environ 7 jours. Dans le cas contraire, la personne reçoit une autre dose.
Il existe deux vaccins Imvanex® et Jynneos® pour prévenir l'infection chez l'adulte par les virus de la variole du singe et le virus de la variole.
La variole est une maladie extrêmement contagieuse due au virus de la variole, un orthopoxvirus. La mortalité est d'environ 30%. L'infection naturelle a été éradiquée.
Le Tecovirimat est un médicament utilisé dans le traitement des infections aux orthopoxvirus, la famille des virus de la variole, dont l'infection par le virus Monkeypox. C'est un médicament antiviral qui va empêcher le virus de se propager dans l'organisme. Le tecovirimat est disponible sous forme de gélules à 200 mg.
Aucun médicament spécifique n'a été testé cliniquement pour améliorer la santé des patients atteints de la variole, car la maladie a été éradiquée. Les antibiotiques ne sont d'aucune efficacité contre les virus et les antiviraux n'ont pas été testés.
L'arrêt de la vaccination contre la variole n'a donc été décidé que longtemps après la survenue du dernier cas de variole dans le monde, en 1977, en Somalie, et surtout après que l'éradication totale de la variole eut été officiellement déclarée par la trente-troisième assemblée mondiale de la santé, en 1980.
La variole est une maladie virale systémique qui se caractérise par une éruption cutanée et dont le taux de mortalité peut être de 15 à 45 % ou plus dans une population non immunisée. La variole d'origine naturelle a été éliminée en 1977 grâce à un programme de vaccination mondial.
La vaccination antivariolique n'est plus obligatoire depuis 1979. Cela est dû à l'éradication de la maladie.
INDICATIONS DE LA VACCINATION
La vaccination antivariolique a été obligatoire en France entre 1901 et 1979 (loi du 2 juillet 1979) pour la primovaccination (avant l'âge de 2 ans), et pour les rappels à 11 ans, 21 ans et tous les trois ans pour les voyageurs, jusqu'en 1984 (loi du 3 mai 1984).
Un homme de 41 ans porteur de la variole du singe est mort jeudi dernier au Brésil. Il s'agissait du premier décès lié à la maladie hors d'Afrique et du sixième au total, ont annoncé vendredi les autorités locales.
Dans les années 1950-1960 se développent également les vaccins à plusieurs valences, notamment le vaccin trivalent diphtérie-tétanos-poliomyélite (DTP) et le vaccin trivalent rougeole-oreillons-rubéole (ROR).
Une petite cicatrice peut demeurer après la guérison, qui peut prendre de 2 à 5 mois. Le vaccin BCG provoque souvent une enflure du ganglion lymphatique qui se trouve sous l'aisselle ou au-dessus de la clavicule – il s'agit d'une réponse immunitaire tout à fait normale.
Mais, entre-temps, d'autres vaccins sont devenus obligatoires : la diphtérie en 1938, le tétanos en 1940, la tuberculose (le BCG) en 1950 (suspendue en 2007), et la poliomyélite, en 1964.
La peste noire : 75 à 200 millions de morts (1334-1353)
Cette vaccination est réalisée avec l'unique vaccin disponible : Imvanex® du laboratoire danois Bavarian Nordic. Au 21 septembre, 102 446 doses contre la variole du singe ont été administrées.
Histoire de la maladie
La variole remonterait à 10 000 avant J.C. et serait apparue en premier au nord-est de l'Afrique, en Chine ou dans la vallée de l'Indus. D'après les connaissances actuelles il s'agirait d'un virus animal qui se serait progressivement adapté à l'Homme (7).
La variole présente d'abord des symptômes semblables à ceux de la grippe (forte fièvre, fatigue, maux de tête, maux de dos). Des douleurs abdominales et des vomissements peuvent également survenir. Les symptômes apparaissent habituellement entre 7 et 19 jours à la suite de l'exposition au virus.
Toutefois, dans les cas de varicelle, les lésions sont surtout concentrées sur le tronc, alors que les éruptions dues à la variole sont davantage présentes sur le visage, sur les bras et sur les jambes. Les symptômes de la variole sont beaucoup plus importants (par ex.
Prévenir la propagation de la variole simienne
en maintenant une bonne hygiène des mains et en respectant l'étiquette respiratoire, qui consiste notamment à soit : tousser et éternuer dans un mouchoir ou le creux de son bras. porter un masque bien ajusté
? Vaccination contre la variole du singe
Une vaccination avec un vaccin de 3e génération peut être proposée aux personnes identifiées comme contacts à risque, ainsi qu'aux professionnels de santé exposés au risque sans mesure de protection individuelle.
Dans la plupart des cas, si vous avez déjà eu la varicelle une fois, vous ne l'aurez plus. C'est ce qu'on appelle l'immunité permanente. Toutefois, dans de rares cas, une personne peut l'attraper une deuxième fois, surtout si elle était très jeune lorsqu'elle l'a eue la première fois.
L'infection au virus de la variole est hautement contagieuse et se transmet très rapidement d'un individu à un autre. L'infection s'effectue par la transmission de gouttelettes et de particules, depuis une personne infectée, à un individu sain.