Le chez soi protège des agressions extérieures, il réchauffe. Il est donc particulièrement important lorsque l'on traverse des épreuves (rupture, séparation, deuil…), ou que l'on se sent vulnérable de vivre la maison comme un lieu protecteur.
La fierté pour sa maison
Notamment les rapports sociaux avec les voisins ou les amis que l'on invite chez soi. La déco joue dès lors un rôle important dans le sentiment de fierté. Près de trois quarts des gens qui améliorent l'aspect de leur maison sont fiers du lieu où ils vivent.
Plus de 500 personnes y ont répondu, ébauchant une définition du « chez-soi » : le lieu où l'on vit et mène nos activités de la vie quotidienne dans l'intimité et dans un sentiment de bien-être apprécié.
Se sentir mal chez soi parce qu'on subit une situation
Des choses simples peuvent vous aider à vous approprier un lieu : accrocher des rideaux, fixer un joli tableau au mur, investir dans une nouvelle parure de lit à votre goût, mettre des bougies LED dans une jolie lanterne pour un décor plus cosy…
Un sentiment de sécurité
Même en colloc' avoir un espace intime c'est très important. Si tu partages ton appart' ou même ta chambre, définis avec ton colloc' des endroits bien à toi où personne n'a le droit d'aller sans ton autorisation (ta chambre, ton lit, ton placard, l'espace du haut du frigo…).
L'étude « GoodHome » publiée en juin 2019 a démontré que notre logement contribué pour 15 % à notre bonheur global, faisant de lui l'un des facteurs les plus importants du bonheur, loin devant les facteurs de revenu (6 %), de métier (3 %) et de situation familiale (3 %).
Le chez-soi noue sécurité et liberté : il pose les limites à la présence des autres, il permet de s'en protéger et rend possible par là-même l'expression de sa singularité, de sa liberté (chez soi, pas de comptes à rendre). C'est au creux de ce double rapport (sécurité/liberté) que s'établit l'identité du soi.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
Selon nos confrères, éclairés par les lumières du cardiologue et nutritionniste Frédéric Saldmann, les méfaits de la sédentarité se manifestent dans un premier temps par une perte de forme physique. Ne pas se dépenser ni bouger pendant plusieurs heures, peut entraîner une prise de poids.
"On sait que 30 minutes d'exercice physique par jour permettent de baisser de 40 % les risques de cancer, de maladies cardio-vasculaires ou d'Alzheimer", insiste Frédéric Saldmann.
Un sentiment de stabilité
Se sentir chez soi, c'est sentir le sol ferme sous ses pieds, comme si la maison était un rocher dans l'océan, un port d'attache. C'est à cette condition que l'on se sent paisible, mais aussi que l'on éprouve du plaisir à évoluer dans son environnement.
La maison est un cadre vital pour l'homme, c'est un lieu presqu'organique d'habitation et de cohabitation ; elle a le sens d'une « coquille » qui s'ajuste à chaque type social.
La maison traverse le temps à la manière de notre corps : comme lui, elle vieillit ; on l'entretient ; elle se transforme. Les murs symbolisent la peau qui enveloppe la famille et chaque pièce incarne une fonction vitale (se reproduire, se nourrir, se laver, s'amuser, etc.).
Elle est un lieu d'intimité, de ressource, de retrouvailles entre proches. Elle touche au bien-être, à l'authenticité, puisque nous y vivons en huis clos, sans avoir l'inquiétude du regard extérieur. Dans ce sens, elle est notre enveloppe et sécrète un lien invisible qui unit ceux qui l'habitent.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Selon la science, ne rien faire serait bon pour la santé. Explications. Lorsque le corps humain est inactif, son cerveau se met alors en mode « par défaut » et fait le tri des informations qu'il contient. C'est ce que démontre une étude menée par le neuropsychologue Francis Eustache qui exerce au CHU de Caen.
L'agoraphobie est un trouble dont la définition psychiatrique peut se résumer par la peur de sortir de chez soi ou de ne pas pouvoir s'échapper facilement d'un endroit. Cette phobie peut avoir des conséquences lourdes sur la vie quotidienne et sociale du patient, et cela ne se guérit pas du jour au lendemain.
Habiter un lieu, c'est exister et prendre place dans la société, c'est pratiquer les usages communs du quotidien qui sont directement liés à l'habitat : manger et se faire la cuisine, recevoir, se divertir et se détendre, travailler, dormir dignement en étant protégé, prendre soin de soi, avoir une intimité, etc.
Miroir et refuge à la fois, la maison nous dévoile et nous protège. Elle raconte notre personnalité, notre histoire et nos rêves secrets. Elle suscite en nous des sentiments contradictoires, souvent passionnés, car elle est un lieu de partages, amoureux et familiaux, mais également de conflits.
La première phrase (ou les deux premières si besoin) doit évoquer le thème abordé, c'est la phrase d'accroche. Si le sujet de l'écriture personnelle contient une courte citation, il faut la recopier dans l'introduction. Si la citation est longue ou s'il n'y en a pas, il faut paraphraser le sujet et citer les mots clés.
Une base d'envol. C'est qu'une maison n'est pas une prison : elle est faite pour être quittée. Un endroit où l'on se sent heureux, c'est aussi une base d'ouverture au monde. Les travaux sur la psychologie de l'attachement nous rappellent que l'on n'explore bien – avec bonheur !
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.